Remerciements
p. 7-8
Texte intégral
1La liste en sera longue, non que je me croie tenue de sacrifier à un rituel obligé, mais parce que nombreux sont ceux que je tiens sincèrement à remercier.
2Le premier volume est le résultat de deux années d’un séminaire tenu à l’université de Paris XII. Quand j’ai songé à sa création, en 1989, j’étais bien convaincue qu’il n’était pas nécessaire d’espérer pour entreprendre. Je tiens d’abord à exprimer ma reconnaissance à tous ceux qui, immédiatement, se sont engagés dans ce pari un peu déraisonnable (il m’arrive encore de me demander pourquoi ils ont bien voulu me prodiguer tant d’aide et de confiance) : en tout premier lieu à Denis O’Brien qui a accepté d’être le co-responsable du séminaire et sans qui rien n’aurait été possible, ainsi qu’à Philippe Hoffmann, Jean Lallot, Alain Le Boulluec et Alain de Libéra, sans oublier mes collègues latinistes François Chaumartin et Carlos Lévy. Quand il a fallu soutenir ce projet et lui permettre de continuer, Pierre Aubenque, Jacques Brunschwig et Claude Imbert ont apporté leur précieuse caution, et nous ont fait l’honneur de venir nous faire profiter du dernier état de leur recherche. Une équipe du C.N.R.S., l’U.P.R. 76, dirigée par Marie-Odile Goulet-Cazé, a accepté de se joindre à nous, et ce volume est la première esquisse d’un travail commun dont je souhaite bien vivement qu’il puisse se prolonger et s’intensifier.
3Un séminaire ne valant que par ceux qui y participent, je n’aurai garde d’omettre ceux qui sont venus y parler et, s’ils commencent à être trop nombreux pour que je les cite, que chacun sache combien son intervention a été précieuse et appréciée. J’adresse aussi mes remerciements sincères à tous les auditeurs, étudiants ou non, dont l’attention vigilante et critique nous préserve de tout sommeil dogmatique et de tout argument d’autorité. Quant à Laurent Boulakia et à Victor Njoh, je les remercie de l’élégance qu’ils ont de faire croire qu’ils improvisent, alors que tout n’est organisé que grâce à eux.
4 Le second volume résulte, pour l’essentiel, d’un colloque tenu à l’Institut Gœthe à Rome, avec le soutien du C.N.R.S., de l’Unesco, du C.I.P.S.H., du British Council et du Centre culturel français de Rome. Que tous ceux qui m’ont alors apporté leur soutien, et en particulier Claire Salomon-Bayet, Jean d’Ormesson, Azzedine Guellouz, Mohammed Sinaceur, Jean Ferrari, Paul Bedarida (aujourd’hui malheureusement disparu), trouvent ici l’expression de ma reconnaissance. Et les participants à ce colloque se souviendront longtemps de la courtoisie amicale et de la générosité de leur hôte, M. Manfred Hutter, alors directeur de l’Institut Goethe à Rome.
5Je remercie Philippe Ghielmetti d’avoir conçu une maquette correspondant aussi exactement au titre et à l’intention de cette collection. Cette dernière doit en grande partie son existence au Président de l’université de Paris XII, Bernard Dizambourg, et au Directeur de la Recherche, Roger Lefèvre, qui ont constamment soutenu et encouragé ces entreprises.
Auteur
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