Remerciements

1Notre gratitude va d’abord à Gilles Pécout, professeur à l’École normale supérieure de Paris, qui a dirigé à l’École pratique des hautes études la thèse dont ce livre est issu. Ses conseils de recherche nous ont été infiniment précieux. Les professeurs Jean-François Chanet, Michel Espagne, Marie-Anne Matard-Bonucci et Jean-Claude Zancarini ont beaucoup enrichi notre approche. Cette enquête a bénéficié d’un soutien continu de la part de l’École française de Rome qui nous a accueilli lors de bourses de recherche puis comme membre scientifique. Nous en remercions sa directrice, Catherine Virlouvet, et les directeurs des études Jean-François Chauvard et François Dumasy. Plusieurs institutions d’Italie nous ont ouvert leurs archives : la Société Dante Alighieri, le ministère des Affaires étrangères (la Farnesina), les Archives centrales de l’État et l’Institut français de Florence. En France, nous remercions la bibliothèque de l’École normale supérieure de Paris, les Archives nationales, le Centre des archives diplomatiques de Nantes, de même que les parents et amis d’italianisants qui nous ont confié leurs témoignages ou ouvert leurs archives privées. Les échanges avec des membres du Service d’histoire de l’éducation puis de l’équipe Histoire de l’éducation du LARHRA à l’École normale supérieure de Lyon nous ont beaucoup apporté. À l’université Paris-Diderot, puis à l’université du Littoral, et désormais à l’université de Reims Champagne-Ardenne, au laboratoire CERHIC et au sein de l’ESPE de Charleville-Mézières, les échanges avec nos collègues ont été propices à l’achèvement de cet ouvrage. Nous remercions Alain Messaoudi et Emmanuelle Picard pour leurs conseils dans le champ de l’histoire de l’éducation, Ilka Milanov et Marie Conjat pour leur travail éditorial sur ce livre et Marie-Anne Matard-Bonucci pour sa relecture attentive. Notre reconnaissance va enfin, pour tous les apports qu’ils nous ont suggérés, à Xavier Boniface, Ivan Brovelli, Miguel Canas, Marion Fontaine, Alban Gautier, Anne-Claire Ignace, Raphaël Muller, Paul Rabot, Simon Sarlin et Thomas Wieder, ainsi qu’à notre famille et à Judith Syga à qui ce livre est dédié.