Version classiqueVersion mobile

L’autogestion à l’épreuve du travail

 | 
Isabelle Chambost
, 
Olivier Cléach
, 
Simon Le Roulley
, 
et al.

Partie 2. Les sentiers de l’autogestion

Chapitre 5. Gérer en et pour l’Autogestion : les chemins, raccourcis et détours, de la mise en pratique

Jean Cartellier

Les formats HTML, PDF et ePub de cet ouvrage sont accessibles aux usagers des bibliothèques et institutions qui l'ont acquis dans le cadre de l'offre OpenEdition Freemium for Books. L’ouvrage pourra également être acheté sur les sites des libraires partenaires, aux formats PDF et ePub, si l’éditeur a fait le choix de cette diffusion commerciale. Si l’édition papier est disponible, des liens vers les librairies sont proposés sur cette page.

Extrait du texte

L’Autogestion, « une idée riche, mais confuse, une pratique vivante, mais incertaine »…

Au début des années 1980 après des décennies riches en analyses et en expérimentations autogestionnaires, Claudie Weill (2003, p. 60) souligne que « l’autogestion (…) reste trop souvent une idée riche, mais confuse, une pratique vivante, mais incertaine ».

La définition que l’Encyclopédie internationale donne de l’autogestion1, met en valeur ses deux dimensions, comme objectif et comme processus. Elle laisse cependant aux autogestionnaires le soin d’appréhender très concrètement ses déclinaisons au quotidien, et ce au sein d’une société dont les structures économiques, juridiques et politiques peuvent habiliter et/ou conditionner les mises en œuvre autogestionnaires : le préambule de la Constitution de 1946, découlant du Conseil National de la Résistance et repris par la Constitution actuellement en vigueur (celle de 1958) ne mentionne-t-il pas que « Tout travailleur participe, par l’intermédiaire ...

Le texte et les autres éléments (illustrations, fichiers annexes importés) sont sous Licence OpenEdition Books, sauf mention contraire.

Rechercher dans OpenEdition Search

Vous allez être redirigé vers OpenEdition Search