Écrire et faire écrire dans l’enseignement postobligatoire
Enjeux, modèles et pratiques innovantes
Il est désormais admis qu’on apprend à écrire non seulement à l’école, mais aussi tout au long de la vie. Il n’en demeure pas moins vrai que des questions essentielles se posent quand il s’agit de l’enseignement postobligatoire. Quelles compétences développer ? Quels modèles convoquer ? Quels dispositifs expérimenter ?
L’ouvrage apporte des éléments de réponse à ces interrogations. La première partie porte l’accent sur les modèles qui sous-tendent les formations à l’écriture académique ou pro...
While it is now accepted that people learn to write not only in school but also throughout life, essential questions arise when it comes to post-compulsory education. Which skills to develop, which models to use, which devices to experiment with?
Éditeur : Presses universitaires du Septentrion
Lieu d’édition : Villeneuve d'Ascq
Publication sur OpenEdition Books : 29 janvier 2020
ISBN numérique : 978-2-7574-2917-4
DOI : 10.4000/books.septentrion.76533
Collection : Éducation et didactiques
Année d’édition : 2019
ISBN (Édition imprimée) : 978-2-7574-2849-8
Nombre de pages : 400
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Sylvie Plane
PréfaceMaurice Niwese, Jacqueline Lafont-Terranova et Martine Jaubert
IntroductionPremière partie. Des modèles théoriques pour une formation à l’écrit(ure) académique et (pré)professionnel(le)
Élodie Lang, Martha Makassikis, Jean-Paul Meyer et al.
Littéracies universitaires dans l’enseignement supérieur : quelques aspects de la compétence scripturale des étudiants allophonesChristiane Morinet
Fonction du couple oral-écrit dans la littératieFrançoise Boch, Julie Sorba et Pascal Bessonneau
« Quelle conscience de mes compétences à l’écrit ? » Étude du « degré de lucidité » chez les étudiantsCéline Beaudet et Véronique Rey
Écrire dans les professions : peut-on apprendre de l’écriture des experts en communication ?Katell Bellegarde
Appropriation de l’écrit chez des adultes en parcours d’insertion : étude des transformations et résistances conceptuellesDeuxième partie. Les écrits universitaires comme révélateurs des compétences du scripteur
Maurice Niwese et Patricia Schneeberger
Conceptualisation, polyphonie et énonciation dans les mémoires de master MEEF en français et en sciencesMartine Jaubert et Yann Lhoste
La polyphonie discursive dans les écrits de recherche en formation des enseignantsCatherine Dolignier
Des formes et fonctions du plagiat dans le mémoire en formation d’enseignantsSylvain Doussot
Écriture longue de recherche et rupture didactique chez les apprentis enseignants d’histoireMarie-Laure Elalouf et Stéphanie Perrin
Entre recherche et formation, quels usages des corpus de textes scolaires ?Véronique Paolacci et Nathalie Rossi-Gensane
Les emplois de la virgule dans des écrits d’étudiants se destinant à devenir enseignantsAmina Saoussany
Approche descriptivo-analytique des lettres de prospection de clientèle produites en milieu universitaire marocainMartine Jaubert
Retour sur la deuxième partie : les écrits universitaires comme révélateurs des compétences du scripteurTroisième partie. Dispositifs et pratiques innovantes
AMarie Petitjean
De l’atelier d’écriture à l’écriture créative : quand la comparaison internationale infléchit la perspectiveJacqueline Lafont-Terranova
Des ateliers d’écriture pour des futurs informaticiens : de la réassurance à la réflexivitéChantal Dompmartin-Normand
Passerelles translinguistiques et progression stylistique en atelier d’écriture pour des étudiants de français langue étrangèreMuriel Cros et Noëlle Mathis
Choisir ses langues et stratégies d’écriture en contexte universitaire d’appropriation du FLE : comment les identités plurilingues émergent de l’expérience vécue de l’espaceJacqueline Lafont-Terranova
Retour sur la troisième partie : des pratiques et des dispositifs innovants, innovants en quoi et pour quels bénéfices ?En guise d’épilogue. Former à l’enseignement de l’écriture
Christiane Blaser, Didier Colin, Stéphane Colognesi et al.
Former les enseignants du primaire à l’écriture : qu’en est-il en Belgique francophone, en France, au Québec et en Suisse romande ?
Il est désormais admis qu’on apprend à écrire non seulement à l’école, mais aussi tout au long de la vie. Il n’en demeure pas moins vrai que des questions essentielles se posent quand il s’agit de l’enseignement postobligatoire. Quelles compétences développer ? Quels modèles convoquer ? Quels dispositifs expérimenter ?
L’ouvrage apporte des éléments de réponse à ces interrogations. La première partie porte l’accent sur les modèles qui sous-tendent les formations à l’écriture académique ou professionnelle. La deuxième s’attache aux traces des compétences du scripteur dans des écrits universitaires. La troisième partie est consacrée à des dispositifs innovants. Enfin, un épilogue présente la formation à la didactique de l’écriture de futurs enseignants en Belgique francophone, en France, au Québec et en Suisse romande.
La variété des contextes, des scripteurs (natifs/allophones, lettrés/infrascolarisés), des disciplines, des modèles et des dispositifs concernés permet de nouveaux éclairages sur l’enseignement-apprentissage de l’écriture.
While it is now accepted that people learn to write not only in school but also throughout life, essential questions arise when it comes to post-compulsory education. Which skills to develop, which models to use, which devices to experiment with?
Maurice Niwese (dir.)
Maitre de conférences en Sciences du langage à l’université de Bordeaux. Inscrits dans une perspective pluridisciplinaire, ses travaux portent principalement sur l’enseignement et sur l’apprentissage de l’écriture en formation initiale (contexte universitaire et scolaire) et continue.
Jacqueline Lafont-Terranova (dir.)
Maitre de conférences HDR émérite en Sciences du langage à l’université d’Orléans. La question de la construction du sujet-écrivant et celle du processus d’écriture sont au coeur des dispositifs qu’elle expérimente depuis plus de vingt ans en contexte universitaire, avec une approche linguistique et didactique.
Martine Jaubert (dir.)
Professeur des Universités en Sciences du langage à l’université de Bordeaux. Ses travaux, inscrits dans une perspective historique et culturelle, concernent l’apprentissage du langage oral et écrit et son rôle dans la construction des savoirs de la maternelle à l’université et en formation professionnelle des enseignants.
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