Table des matières
Jean-François Condette
Introduction. « De guerre lasse », retrouver la classe ? L’École, les acteurs éducatifs et les réalités de la guerre- 1. « Les grandes misères de la guerre » touchent les écoles
- 2. Du tableau noir et de la plume au fusil : La mobilisation des acteurs éducatifs pour la guerre
- 3. « Votre tranchée est votre banc scolaire » : la mobilisation à l’arrière
- 4. Une remarquable aptitude à la survie des institutions éducatives
- 5. « L’école-caserne » ou antichambre du régiment : « Si vis bellum para bellum ». L’École comme outil de préparation à la guerre
- 6. « L’amère patrie » : Écoles et acteurs éducatifs, môles de résistance à l’esprit belliqueux au nom de la paix entre les hommes ?
- 7. La guerre catharsis : le positionnement révélé des uns et des autres
- 8. Les « bienfaits de la guerre » ? La guerre initiatrice de réformes ou créatrice de structures éducatives ?
- 9. « À la recherche du temps perdu » : les difficiles sorties de guerre
Première partie. Prolégomènes. Quatre études antérieures au XXe siècle
Véronique Castagnet-Lars
Chapitre 1. « De la peste, de la guerre, de la famine, délivre-nous Seigneur ». Les collèges jésuites de la province flandro-belge face aux maux du temps (1566-1648)- 1. Une mortalité croissante des jésuites durant la guerre de Quatre-vingt ans
- A) Mortalité classique, mortalité exceptionnelle
- B) Un devenir différencié pour les deux provinces
- C) Un collège disparaît par an, au plus fort de la guerre
- 2. Des brimades incessantes contre les jésuites
- A) En raison de leurs origines géographiques
- B) Une violence populaire à leur encontre
- 3. Œuvrer dans le siècle, subir les maux du temps, ne jamais renoncer
- A) Deux réponses administratives, dans deux contextes opposés
- B) Une réponse pragmatique exceptionnelle : la clandestinité
- C) Un siècle d’essor malgré/grâce à l’adversité
Hélène Vencent
Chapitre 2. Les écoles flottantes (1811-1815). Création d’une école militaire en temps de guerre. Entre restrictions et avancées pédagogiques- 1. Les objectifs des deux écoles spéciales de la marine
- A) Fonder un corps d’officiers
- B) Une formation militaire à renforcer
- 2. Vaisseaux et équipages : des « produits » d’une économie de guerre
- A) Les vaisseaux : recycler ce que l’armée ne peut utiliser
- B) Un encadrement qui ne doit pas pénaliser le service actif
- 3. Le ravitaillement tributaire de la guerre en cours
- A) Le matériel : se superposer à une organisation déjà existante
- B) Les vivres : entre urgence de la guerre et stratégie pour le futur
- 4. La vie à bord d’un navire-école
- A) La discipline scolaire dans un arsenal en guerre
- B) Les incidents de mer
- 5. L’après-guerre des écoles spéciales de marine
- A) L’avenir compromis des écoles spéciales de marine
- B) La carrière ultérieure de ces élèves
Renaud Quillet
Chapitre 3. L’École dans la Somme. Autour de la guerre franco-allemande (1870-1871)- 1. De la déclaration de guerre au 4 septembre 1870
- A) L’école dans la Somme avant la guerre
- B) Pas de mobilisation militaire des enseignants mais une réelle participation à l’effort de guerre
- 2. La Défense nationale et l’occupation allemande
- A) La Somme isolée : tenter de maintenir le lien avec le gouvernement
- B) Les locaux scolaires réquisitionnés et les combats
- C) L’occupation allemande
- D) Une libération rapide
- 3. Après la guerre : volonté de réforme scolaire et enjeux de mémoire
- A) le retour à la « normale » au niveau scolaire sans changement notable
- B) Des volontés de réformes
- C) Les évolutions politiques : les progrès républicains
- D) Construire la mémoire de la guerre au service de la patrie
Stéphanie Dauphin
Chapitre 4. Les écoles parisiennes dans la tourmente (1870-1871)- 1. L’école Républicaine s’installe dans une capitale assiégée
- A) Jules Simon, ministre de l’Instruction publique
- B) Un nouveau chantier scolaire
- C) Les nombreuses contraintes d’une situation de crise
- D) Les Parisiens, les élections et l’armistice
- 2. La Commune et ses projets scolaires
- A) Le coup de force de Montmartre
- B) Communards et Versaillais
- C) Une autre voie pour l’école
- D) La laïcisation à l’ordre du jour
- 3. La reprise en main de l’enseignement
- A) Le retour de l’administration « officielle »
- B) Les maîtres en procès
- C) Octave Gréard face à l’épuration des personnels
Seconde partie. Au cœur de la Première Guerre mondiale (1914-1918)
Hugues Marquis
Chapitre 5. L’École primaire de la Charente dans la Grande Guerre. Un aspect de l’effort de guerre par la mobilisation patriotique- 1. L’école primaire perturbée par la guerre et ses mobilisations
- A) La mobilisation des personnels au front et ses conséquences
- B) Les effectifs des élèves et la fréquentation
- C) La mobilisation des personnels à l’arrière : garderies et accueil des réfugiés
- D) La réquisition des écoles
- 2. La mobilisation de l’École pour la guerre
- A) Les actions entreprises pour soutenir l’effort de guerre
- B) Justifier la guerre auprès des enfants et de leurs familles
- 3. La mémoire de l’École en guerre dans le département de la Charente
- A) Le livre d’or de l’enseignement primaire de la Charente
- B) Le monument aux instituteurs morts à la guerre
- C) La revue Études locales
- D) La fête du cinquantenaire de l’École laïque
Agnès Graceffa
Chapitre 6. Médiévistes en guerre : Un engagement patriotique. Analyse comparée entre 1870-1871 et 1914-1918- 1. Qui sont les médiévistes ?
- A) L’affirmation du terme « médiéviste »
- B) L’institutionnalisation universitaire
- 2. L’impact de la guerre sur l’enseignement universitaire et la recherche
- A) Une mobilisation armée significative et des pertes importantes
- B) Maintenir l’enseignement coûte que coûte
- 2. L’autre front : un engagement patriotique unanime ?
- A) Préserver la médiévistique française
- B) De la dénonciation des crimes de guerre à la lutte contre la barbarie
Laurence Messonnier
Chapitre 7. Le Manuel général de l’instruction primaire (1914-1919). Pédagogie heuristique, rémanence revancharde et mobilisation patriotique- 1. Le français : pierre de touche du système pédagogique d’embrigadement
- A) Le vocabulaire au service de la patrie
- B) Grammaire, conjugaison et orthographe : l’adhésion au bellicisme
- C) L’explication des textes à visée eschatologique
- D) Composition française : axiologie des corrigés
- 2. Cohésion littéraire autour de la défense nationale
- A) Les thèmes fédérateurs
- B) Bibliographie littéraire et schémas mentaux
- C) Triptyque textuel : de l’hagiographie à la palingénésie
- 3. Les lectures du samedi : l’exemplarité des modèles héroïques
- A) Variété générique
- B) Le relais publicitaire
Yves Verneuil
Chapitre 8. Entre patriotisme et corporatisme. La valorisation du rôle des professeurs de l’enseignement secondaire dans la Grande Guerre- 1. Patriotisme et mise en relief du rôle des professeurs de lycée
- A) Les vertus viriles de l’enseignement secondaire et de ses professeurs
- B) Vertus civiques et concurrence dans la solidarité
- 2. Rancœur et exemplarité patriotique
- A) Professeurs exemplaires et administration abusive
- B) France du haut et France du bas
- 3. Les lendemains de la guerre : entre fierté, ressentiment et souci mémoriel
- A) Entre fierté et ressentiment
- B) Le culte des morts
- C) L’Association amicale des anciens combattants de l’enseignement supérieur et de l’enseignement secondaire publics
Emmanuel Saint-Fuscien
Chapitre 9. Les instituteurs combattants de la Grande Guerre : Des soldats comme les autres ?Galit Haddad
Chapitre 10. 1914-1918 : Un « défaitisme » des enseignants de l’école républicaine ? Le pacifisme des instituteurs et institutrices français face à la guerre- 1. Le syndicalisme des instituteurs avant 1914 : antimilitaristes et antipatriotiques ?
- A) Les premiers mouvements d’instituteurs syndicalistes
- B) Le « scandale de Chambéry » : nouvelle étape dans la fixation de l’image révolutionnaire
- 2. Les instituteurs, la mobilisation de 1914 et les années 1915-1916
- A) Mobiliser l’univers scolaire : août 1914
- B) 1915 : une minorité pacifiste parmi les hussards de la République
- C) Les conférences internationales de la paix
- D) Les engagements de l’année 1916
- 3. Le « défaitisme » des enseignants de l’école républicaine (1917-1918)
- A) Expliquer la guerre aux petits écoliers
- B) La brochure Les Instituteurs syndicalistes et la guerre
- C) Les atrocités de guerre : « être victimes » et « créer des victimes »
- D) Peut-on être pacifiste et patriote ?
- E) De l’école à la prison : entre trahison et défaitisme
Ludovic Laloux
Chapitre 11. La Croisade des enfants :un mouvement spirituel et patriotique fondé en 1915 au cours Saint-Seurin à BordeauxStéphane Lembré
Chapitre 12. L’école de la survie. L’enseignement ménager dans Lille occupée (1915-1918)- 1. Les expériences d’enseignement ménager pendant l’occupation allemande
- A) Les enseignements techniques à Lille
- B) Les cours de cuisine
- C) Les cours de couture
- 2. Des enseignements de circonstance : la mobilisation autour de l’enseignement ménager
- A) Combattre et gérer la pénurie
- B) Diversité pédagogique et limites de l’institutionnalisation
- 3. Préparer l’après-guerre
- A) L’occupation, un temps de projets
- B) La place des femmes : l’école, le foyer et le métier
- C) L’éducation nutritionnelle entre pénurie et abondance
Philippe Marchand
Chapitre 13. Une école née de la guerre. L’École commerciale de Jeunes Filles de Lille (14 décembre 1915 – 6 juillet 1926)- 1. La création de l’École commerciale de Jeunes Filles de Lille sous occupation allemande (1914-1918)
- A) La création de l’École
- B) L’évolution des effectifs
- C) Les examens et les débouchés
- D) L’École et l’Occupation
- 2. l’École supérieure de Commerce de Jeunes Filles de Lille de 1919 à 1926 : les espérances déçues
- A) Naissance de l’École supérieure de Commerce de Jeunes Filles
- B) L’organisation et le financement
- C) Un déclin rapide et ses causes
Chantal Dhennin
Chapitre 14. L’école et la sortie de guerre dans le canton de La Bassée- 1. Le retour de l’institution scolaire dans le canton après 1918
- A) Le problème des sources
- B) L’état des lieux dans les communes du canton libéré
- C) le complexe retour des habitants
- D) Une vie quotidienne très difficile qui fait passer l’école au second plan
- 2. La reprise des cours dans les onze communes du canton
- A) Les instituteurs en place de 1919 à 1921 dans le canton
- B) Les écoles du canton : état des lieux
- C) Le certificat d’études quand même
- 3. Les bâtiments scolaires du canton, entre reconstitution, reconstruction et redémarrage
- A) La reconstitution
- B) La reconstruction
- C) Les actions solidaires en faveur du redémarrage du canton
Peter Verstraete, Frank Simon et Marc Depaepe
Chapitre 15. La Grande Guerre et les idées de réformes scolaires en Belgique. Le rôle catalytique des initiatives pour les mutilés et réfugiés de guerre- 1. Léon De Paeuw et les mutilés de guerre
- A) La réforme de l’enseignement populaire en Belgique
- B) La Belgique et ses soldats mutilés
- 2. Léon De Paeuw et la rééducation des mutilés belges
- A) Le centre de Port-Villez et la rééducation des invalides selon De Paeuw
- B) Edward Peeters et les réfugiés de guerre
Troisième partie. Autour de la Seconde Guerre mondiale (1939-1945)
David Gallo
Chapitre 16. L’éducation au service de l’idéologie nazie. L’« appareil d´instruction » de la SS (1933-1945)- 1. La formation idéologique en temps de paix (1933-1939)
- A) Les objectifs et ambitions éducatives de la SS
- B) Naissance de « l’appareil d’instruction »
- C) L’enseignement de l’idéologie sur le terrain : méthodes, supports et discours
- 2. La formation idéologique face aux nécessités de la guerre (1939-1945)
- A) Un contexte et des objectifs nouveaux
- B) Un appareil restructuré et un personnel renouvelé sous l’effet de la guerre
- C) Des méthodes et un discours adaptés au contexte militaire
Olivier Sibre
Chapitre 17. L’université Sophia et la mobilisation japonaise (1932-1945)- 1. Retour sur une histoire : la présence missionnaire en Asie orientale
- A) Le retour des Jésuites au Japon
- B) L’Université catholique de Tokyo (Sophia)
- 2. La campagne de Mandchourie : première charge contre l’université Sophia
- A) « L’incident du temple Yasukuni »
- B) Les conséquences de la crise
- 3. L’entrée dans la guerre générale : du modus vivendi au modus non moriendi
- A) L’université Sophia survit dans la guerre
- B) Au lendemain du conflit, sous occupation américaine
Matthieu Devigne
Chapitre 18. « Les enfants d’abord » ! Le repli des écoles loin des dangers de la guerre en France (1939-1944)- 1. Le repli des élèves pendant les premiers mois de la guerre (1939-1940)
- A) L’accueil des petits réfugiés des frontières
- B) Le tôt repli des gones
- 2. L’évacuation des élèves nazairiens entre 1941 et 1943
- A) Récit d’une expérience pionnière et exemplaire
- B) La vie de Château ?
- 3. L’évacuation des enfants lyonnais entre 1940 et 1944
- A) Le récit d’une évacuation « pendulaire »
- B) Les petits réfugiés déscolarisés ?
Arnaud Costechareire
Chapitre 19. Khâgneux et des khâgneuses lyonnais(e)s pendant la Seconde Guerre mondiale. Des parcours tourmentés- 1. Le choc de la guerre : les garçons à Clermont-Ferrand, les filles à Tournon
- A) Le parcours des élèves déjà en khâgnes à Lyon
- B) Les nouveaux bacheliers admis en Khâgnes et leur devenir
- C) Le retour à Lyon (septembre 1940) ?
- 2. Des parcours tourmentés : de la sortie de la khâgne aux sessions spéciales des concours de l’immédiat après-guerre
- A) Études à la faculté comme boursiers et chantiers de jeunesse
- B) L’entrée en résistance ?
- C) La mise en place de mesures spéciales pour les ENS après la guerre
- D) Les mesures spéciales pour les concours de l’agrégation
Nathalie Duval
Chapitre 20. Les « écoles nouvelles » à l’épreuve de la Révolution nationale- 1. Les écoles nouvelles en territoire occupé
- A) L’École des Roches et la cohabitation avec l’armée allemande
- B) Le Collège de Normandie réquisitionné par l’État français
- 2. Les écoles nouvelles en zone libre
- A) Maslacq : une annexe improvisée dans les Basses-Pyrénées
- B) Le Collège cévenol, fidèle à ses valeurs de non-violence et de paix
- C) Des écoles nouvelles improvisées
- 3. Vichy : un impact négatif sur le rayonnement des Roches
- A) L’École des Roches de Bertier, matrice de la réforme Carcopino ?
- B) Garrone et Marty : comment réformer les cadres de la jeunesse ?
- C) Maslacq sous la direction de Charlier : une école nouvelle à l’heure de la Révolution nationale
Francis Latour
Chapitre 21. De la Moselle à la Seine-et-Oise. Les tribulations d’un internat mariste dans la Seconde Guerre mondiale- 1. Un collège confronté aux menaces de guerre et au repli forcé vers « l’intérieur »
- 2. L’installation d’un collège mosellan en Seine-et-Oise
- A) L’installation matérielle à Bury
- B) Les élèves mosellans dans leur nouveau collège pendant la « drôle de guerre »
- C) Exode et éparpillement de l’été 1940
- 3. De Sainte-Marie de Sierck à Notre-Dame de Bury : naissance et développement d’un collège mariste parisien pendant l’occupation
- A) La création du nouveau collège mariste de Bury
- B) La vie quotidienne d’un internat pendant l’Occupation
- C) Cacher des « malgré-nous » au sein du collège
- D) Le collège dans la tourmente de la Libération
Sarah Van Ruyskensvelde
Chapitre 22. Au travers les yeux d’un élève… Un conflit idéologique vu « du dessous » pendant la Deuxième Guerre mondiale en Flandre. Le cas du Collège Saint-Joseph à Turnhout- 1. Ad Majorem Dei Gloriam. L’éducation jésuite en Belgique et le Mouvement flamand
- A) L’élève Juliaan Van Acker et son journal
- B) La question du nationalisme flamand et du patriotisme belge
- C) La question flamande dans le journal personnel
- 2. « Tout pour la Flandre, la Flandre pour le Christ » ? Conflit idéologique et nationalisme flamand dans le contexte de l’éducation secondaire
- A) L’analyse de la défaite par les nationalistes flamands
- B) Les idées de Juliaan sur le nationalisme flamand et la patrie
- C) Le développement de l’agitation au collège
Jean-François Condette
Chapitre 23. « Les recteurs du Maréchal ». Administrer l’Éducation nationale dans les années noires de la Seconde Guerre mondiale (1940-1944)- 1. Entre continuité et rupture : les nominations rectorales du régime de Vichy
- A) Une forte continuité avec les nominations du Front populaire
- B) Une progressive mise au pas
- C) Les nouveaux promus : des fidèles de la Révolution nationale ?
- 2. Les recteurs du Maréchal : servir l’État français et sa politique scolaire ?
- A) La résistance rectorale : opposition frontale et guerre larvée
- B) Maréchalisme, légalisme et zèle administratif : des positionnements délicats
- C) Des compromis à la compromission ?
- 3. Recteurs de la Libération et recteurs de l’épuration (1943-1945)
- A) Le cas algérien : la première académie libérée
- B) Les recteurs de la Libération : des hommes neufs ?
- C) Juger les recteurs du Maréchal : le verdict final de l’épuration
Monika Salmon-Siama
Chapitre 24. Le lycée polonais Kamil Cyprian Norwid de Villard de Lans. Un lycée pour les Polonais dans le Vercors- 1. La mise en place du lycée polonais, ses enseignants et ses élèves
- A) Un rappel historique sur la fondation
- B) Le corps professoral
- C) Une vie scolaire délicate
- D) Les élèves du lycée
- 2. Vie pédagogique et vie quotidienne au lycée
- A) Les élèves et l’organisation de l’enseignement
- B) L’examen de matura
- 3. La vie de tous les jours, un pari sur l’avenir
- A) Maintenir la culture polonaise et le culte de la patrie
- B) Le lycée, les combats et la résistance
- C) Crépuscule et mémoire vive