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    Plan

    Plan détaillé Texte intégral Les spécificités d’un secteur en crise Les stratégies des entreprises face aux difficultés postérieures à 1957 Conclusion Notes de bas de page Auteur

    PME et grandes entreprises en Europe du Nord-Ouest XIXe - XXe siècle

    Ce livre est recensé par

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    Table des matières

    Les entreprises du textile en Rhénanie du Nord-Westphalie

    Karl Lauschke

    p. 149-156

    Texte intégral Les spécificités d’un secteur en crise Les stratégies des entreprises face aux difficultés postérieures à 1957 Conclusion Notes de bas de page Auteur

    Texte intégral

    1Quand on se penche sur l’histoire économique de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie, on pense d’abord aux mines et à la sidérurgie. Mais, dans ce Land, l’industrie textile – c’est-à-dire le secteur comprenant la préparation des fibres, la filature, la production de tissus et de mailles, leur teinture, le traitement des surfaces, mais excluant la fabrication des vêtements qui relève de l’industrie de la confection – a elle aussi connu un développement non négligeable1. Occupant en 1950 plus de 200 000 personnes, soit plus de 10 % des effectifs de l’industrie, le textile venait dans le Land en deuxième position, derrière le secteur des mines. Par son chiffre d’affaires qui se montait à 4,2 milliards de DM, soit 13 % de l’ensemble de l’industrie, il se plaçait même au premier rang. Il poursuivit sa croissance dans les années d’après-guerre pour atteindre son apogée en 1957, date à laquelle il rassemblait un effectif de 240 000 personnes environ. Toutefois, pendant cette période de « miracle économique », son taux de croissance devint inférieur à celui des autres secteurs. De plus, malgré un nombre d’emplois supérieur à ceux que rassemblaient dans la même industrie les Länder de Bade-Wurtemberg et de Bavière, son importance en Rhénanie-du-Nord-Westphalie diminuait progressivement. En 1957, il ne rassemblait plus que 8,5 % des effectifs industriels, même s’il restait considérable dans plusieurs parties du Land.

    Les spécificités d’un secteur en crise

    2En Rhénanie-du-Nord-Westphalie, l’industrie textile se caractérisait tout d’abord par le fait qu’elle n’était pas concentrée en un seul point, mais qu’elle se trouvait répartie sur tout le territoire du Land. La plupart des entreprises se situaient à la périphérie des grandes agglomérations, dans des régions restées rurales, avec des spécialisations quant à la production : le coton au nord-ouest de Münster, dans des villes comme Bocholt, Gronau et Rheine ; les tissus pour les robes autour d’Aix-la-Chapelle ; les tissus de laine, de velours et de soie dans la vallée du Rhin inférieur, dans les agglomérations de Krefeld, Rheydt et Mönchengladbach2.

    3La deuxième caractéristique de cette industrie était d’être dominée par de petites et moyennes entreprises (PME). En 1950, les trois quarts des entreprises textiles du Land employaient moins de 50 personnes. 15 seulement d’entre elles, soit 0,5 % du total, comptaient plus de 1000 personnes, enregistrant des effectifs moyens situés en dessous de 1 400 salariés. Les trois quarts des effectifs du secteur étaient employés dans des entreprises de 50 à 499 salariés. Les grandes entreprises, celles de plus de 1 000 salariés, n’occupaient que 9,3 % des effectifs du secteur. Cette structure, loin de se modifier, resta identique au fil des ans. Malgré les difficultés rencontrées, l’importance des PME tendit à se renforcer plutôt qu’à se réduire. La crise ne suscita aucun mouvement de concentration, bien au contraire.

    La taille des entreprises textiles selon le nombre d’entreprises (de 1950 à 1976)

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    La taille des entreprises textiles selon l’effectif employé (de 1950 à 1976)

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    4Un tournant important eut lieu en 1957, à l’occasion de la mise en place de la Communauté économique européenne. Les entreprises textiles durent affronter la concurrence étrangère et améliorer leur compétitivité. La libéralisation des échanges, fortement encouragée par le gouvernement allemand, donna à l’Italie et à la France, qui étaient de moins en moins en état de vendre leurs articles textiles aux pays en voie de développement, l’occasion de les écouler sur le marché allemand. La part des importations en provenance de la CEE augmenta. Pour se maintenir, les entreprises textiles allemandes furent donc contraintes de réduire leurs coûts de production. Elles investirent dans de nouveaux matériels, notamment en Rhénanie-du-Nord-Westphalie. Tandis que, dans ce Land, en 1962, 50,6 % des métiers à tisser seulement étaient mus sur machines automatiques, le pourcentage atteignit 90,3 % en 1974, malgré des disparités selon la spécialité et la taille des entreprises. La conséquence de ce processus fut de transformer l’industrie textile, qui était naguère une activité de main-d’œuvre, en un secteur de haute technologie, utilisant des matières premières nouvelles, en particulier des fibres synthétiques qui devinrent le moteur du progrès. Parallèlement, le personnel changea. À la place des effectifs semi-qualifiés, surtout féminins, entrèrent dans le secteur des ouvriers spécialistes de haute qualification.

    5Beaucoup d’emplois disparurent par suite de la rationalisation. Certaines entreprises, dans leurs efforts infructueux, ne purent éviter la disparition. Les licenciements prirent une allure massive. De 240 000 en 1957, les effectifs descendirent à 100 000 en 1976 et le nombre d’entreprises de 2 613 à 1 464. Le recul le plus sensible se produisit au niveau des grandes entreprises, celles de 500 salariés et plus. Alors qu’en 1957, elles représentaient 4,4 % du nombre et employaient 40,2 % des salariés, vingt ans plus tard, leurs parts relatives n’étaient plus respectivement que de 2,8 % et 29,7 %. Dans ce contexte difficile, les PME réussirent mieux à se maintenir. Mais globalement, de 1957 à 1974, la part de l’industrie textile dans l’économie du Land fléchit de 4,7 points pour les effectifs, de 3,8 points pour le chiffre d’affaires.

    6Naguère on voyait dans la prédominance des PME dans l’industrie textile la preuve d’un retard structurel qu’il convenait de surmonter afin de maintenir les capacités concurrentielles3. On jugeait indispensable de favoriser les grandes entreprises, les seules à disposer d’une trésorerie solide capable de financer les investissements nécessaires. Le cas du groupe textile Van Delden, installé à Gronau en Westphalie, montra de manière spectaculaire que les grandes structures de production ne constituaient pas toujours un modèle porteur d’avenir4. Ce groupe avait été formé entre 1965 et 1975 grâce à des rachats successifs d’entreprises et était devenu l’un des plus grands acteurs européens de l’industrie textile. En 1974, son chiffre d’affaires se montait à 643 millions DM. Il employait plus de 6 000 salariés en Allemagne et plus de 500 à l’étranger. Il s’était positionné sur le segment de la fabrication en grandes séries de produits standardisés. En 1977, il fut fortement ébranlé par un recul massif de ses ventes et ne parvient à se maintenir que grâce à la caution du Land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie. Celle-ci ne parvint pas toutefois à redresser sa trésorerie. Malgré l’ampleur des moyens financiers mis en œuvre et la multiplication des tentatives de sauvetage, le groupe, devenu insolvable, fut contraint de se déclarer en faillite en 1981.

    Les stratégies des entreprises face aux difficultés postérieures à 1957

    7En règle générale, dans ce contexte récessif, les entreprises durent recourir à leurs propres moyens. La nécessité de développer des stratégies d’adaptation face à un marché changeant les plaçait face à un redoutable dilemme. D’un côté, les efforts pour maintenir une position concurrentielle au niveau des produits ou des procédés de fabrication nécessitaient des investissements croissants, source d’endettement pour les firmes et d’affaiblissement pour leurs trésoreries – autant de charges difficilement supportables pour les PME qui s’exposaient ainsi au risque de faillite. De l’autre, renoncer à ces investissements signifiait empêcher le renouvellement de l’appareil de production, le condamner au vieillissement ou à l’obsolescence, donc affaiblir la position de l’entreprise sur le marché, ce qui menaçait son existence même. Le recours à une modernisation partielle du matériel existant ne pouvait constituer qu’une solution temporaire, incapable d’éviter à la longue le remplacement des machines et l’achat de nouveaux équipements. De plus, les moyens financiers des entreprises étaient trop faibles pour qu’elles puissent songer à se diversifier. La seule option envisageable pour les PME du textile était donc de créer des créneaux d’excellence en termes de qualité, de conception ou de service, faisant de leurs produits des articles véritablement uniques et irremplaçables. Une telle option formait une véritable alternative à la production de grandes séries que les fabricants allemands ne pouvaient plus réaliser à des prix compétitifs et répondait aux exigences croissantes de la clientèle en matière de qualité des produits. Ainsi, la voie la plus prometteuse pour les PME du textile était la réponse flexible, l’adaptation aux évolutions de la mode et aux attentes des clients, et non l’expansion quantitative dans les segments traditionnels du marché5. Comme le dit l’un des responsables de l’Association de l’industrie textile, les seules chances de succès pour les PME étaient de réaliser des « economies of speed, but not of scale »6.

    8En ce sens, l’évolution de l’industrie textile en Rhénanie-du-Nord-Westphalie ne diffère pas de celle des autres régions textiles allemandes. Par contre, si on la compare à l’industrie textile française, elle prit un chemin différent et davantage couronné de succès7. En France, l’État protégea l’industrie textile pour éviter les suppressions d’emplois, tout en s’efforçant d’encourager la modernisation de la production et l’amélioration de la compétitivité. À cet effet, on opta pour le modèle américain de la grande entreprise engagée dans la fabrication en grande série de produits standardisés. Mais on ne pouvait atteindre simultanément ces objectifs contradictoires. La production s’effondra, de même que les emplois. En Allemagne par contre, notamment en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, les effectifs diminuèrent, mais la production resta stagnante ou ne connut qu’un léger déclin, et non pas une chute profonde comme en France. Réduites à leurs propres moyens, privées de l’aide de l’État, les entreprises textiles furent contraintes de rester concurrentielles et de suivre une stratégie basée sur leurs propres ressources, renforçant la spécificité de leurs produits dans des segments de marché particuliers. Le progrès technique facilita cette stratégie, car les équipements modernes, très flexibles, permettaient de fréquents et rapides changements de production8. En conséquence, en 1985, 71,7 % des effectifs de l’industrie textile en Rhénanie-du-Nord-Westphalie étaient employés par les entreprises comprises entre 50 et 499 salariés, tandis que les grandes entreprises n’en rassemblaient plus que 20,8 %. Huit ans plus tôt seulement, en 1977, les grandes entreprises employaient encore 28,7 % des salariés et les PME 64,4 %. L’importance des PME continua donc à croître.

    La taille des entreprises textiles selon le nombre d’entreprises (de 1977 à 1985)

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    La taille des entreprises textiles selon l’effectif employé (de 1977 à 1985)

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    9Ces orientations nouvelles suscitèrent des modifications dans l’éventail des produits fabriqués par les entreprises textiles de Rhénanie-du-Nord-Westphalie. On assista au recul des produits destinés à l’industrie de la confection au profit des textiles d’ameublement et d’aménagement, ainsi que des textiles à usage technique et des « géotextiles », utilisés dans les équipements de filtrage, pour la construction de digues et de remblais et pour le renfort de structures en béton – un marché extrêmement prospère9. Tandis qu’en 1960 la moitié des articles textiles produits en Rhénanie- du-Nord-Westphalie étaient à usage de la confection, quarante ans plus tard, cette part s’était réduite à un quart seulement, tandis que les textiles techniques passaient de 10 % à plus de 40 %. L’industrie textile devint ainsi « une branche de spécialistes », comme le constatait le directeur gérant de l’Association de l’industrie textile de l’Allemagne du Nord-Ouest10.

    Tableau 1 : L’industrie textile en Rhénanie-du-Nord-Westphalie de 1957 à 1990

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    Source : Landesamt für Datenverarbeitung und Statistik Nordrhein-Westfalen, Rapports d’activité économique.

    10Le succès de cette stratégie peut se constater à travers l’accroissement du taux d’exportation réalisé par les entreprises (tableau 1). Celui-ci passa de 7,7 % en 1957 à plus de 30 % à la fin des années 1980. Certes, dans les années suivantes, les effectifs de l’industrie textile continuèrent à reculer et l’importance économique de l’industrie textile dans la structure régionale à diminuer, mais les PME du textile parvinrent à préserver leur compétitivité. En 2002, la branche n’employait plus que 32 271 salariés et réalisait un chiffre d’affaires de 4,7 milliards d’euros, soit 9,2 milliards de DM. Le taux d’exportation se montait à 39,1 %.

    Conclusion

    11La présence, dans le tissu entrepreneurial de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie, d’un dense réseau de PME s’est avérée représenter un atout décisif pour son industrie textile à partir du début des années 1960 et d’une ouverture commerciale qui, dans le cadre du Marché commun, puis du monde, a bouleversé les conditions dans lesquelles se développait cette activité. Ici, les PME ont su développer leur capacité d’adaptation, tandis que les grands groupes s’effondraient. Faut-il voir dans ce succès la preuve qu’en Europe du Nord-Ouest, pourvu qu’elles sachent faire le choix de stratégies efficaces, les entreprises sont capables de survivre aux conditions nouvelles qui leur sont imposées, voire même de rendre « modernes » les branches réputées « traditionnelles » auxquelles elles appartiennent ? Ce qui est valable pour un secteur et pour une région spécifique le reste-t-il ailleurs ? Le contraste avec la situation française relevé dans cette étude montre qu’il n’en est rien. Il a du moins le mérite de renvoyer à tout un ensemble qui relève de l’environnement de l’entreprise, dans lequel les aspects sociaux, culturels et politiques comptent au moins autant que les politiques managériales et qu’il faut nécessairement prendre en compte et analyser si l’on veut mieux comprendre les raisons des similitudes et des différences des évolutions constatées.

    Notes de bas de page

    1 Karl Lauschke, „Wandel und neue Krisen : die alten Industrien in den 1970er und 1980er Jahren“, in Stefan Goch (dir.), Strukturwandel und Strukturpolitik in Nordrhein-Westfalen, Münster, 2004, p. 136-162.

    2 „Die räumliche Verteilung der Produktionszweige der Textilindustrie“, in Statistische Rundschau Nordrhein-Westfalen, cahier 12, 1968, p. 276-280.

    3 Wilfried Wunden, Die Textilindustrie der Bundesrepublik Deutschland im Strukturwandel, Tübingen, 1969, p. 68-137 ; Michael Breitenacher, Textilindustrie, Berlin-Munich, 1971, p. 127-132.

    4 Thomas Hauff, „Der Einfluss von Aufstieg und Niedergang der, Delden-Textilgruppe’ auf die Stadt Gronau/Westf.“, in Westfälische Forschungen, 41, 1991, p. 187-219.

    5 M. Breitenacher, Textilindustrie im Wandel, Francfort-sur-le-Main, 1989, p. 123-161.

    6 Stephan H. Lindner, “The problems with discussions of an, optimal size’ of firms in the textile industry”, in René Leboutte et Jean-Paul Lehners (dir.), Passé et avenir des bassins industriels en Europe, Luxembourg, 1995, p. 383.

    7 Benoît Boussemart et Jacques de Bandt, “The European textile industries : widely varying structures”, in Henk Wouter de Jong (dir.), The structures of European industry, 2e édition, Dordrecht, 1988, p. 183-209 ; Stephan H. Lindner, Den Faden verloren. Die westdeutsche und die französische Textilindustrie auf dem Rückzug (1930/45 – 1990), Munich, 2001.

    8 M. Breitenacher, Textilindustrie im Wandel, op. cit., p. 150 et suivantes.

    9 Gerhard Egbers, „Technische Textilien –ein Wachstumsmarkt“, in Jahrbuch der Textilindustrie 1986, Francfort-sur-le-Main, 1987, p. 29-33.

    10 Herbert Giese, „Textilindustrie in NRW – Der Wandel wurde Programm“, in Stefan Goch (dir.), Strukturwandel(...), op. cit.

    Auteur

    Karl Lauschke

    Né en 1950, professeur d’histoire contemporaine à la Technische Universität de Dortmund

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    1 Karl Lauschke, „Wandel und neue Krisen : die alten Industrien in den 1970er und 1980er Jahren“, in Stefan Goch (dir.), Strukturwandel und Strukturpolitik in Nordrhein-Westfalen, Münster, 2004, p. 136-162.

    2 „Die räumliche Verteilung der Produktionszweige der Textilindustrie“, in Statistische Rundschau Nordrhein-Westfalen, cahier 12, 1968, p. 276-280.

    3 Wilfried Wunden, Die Textilindustrie der Bundesrepublik Deutschland im Strukturwandel, Tübingen, 1969, p. 68-137 ; Michael Breitenacher, Textilindustrie, Berlin-Munich, 1971, p. 127-132.

    4 Thomas Hauff, „Der Einfluss von Aufstieg und Niedergang der, Delden-Textilgruppe’ auf die Stadt Gronau/Westf.“, in Westfälische Forschungen, 41, 1991, p. 187-219.

    5 M. Breitenacher, Textilindustrie im Wandel, Francfort-sur-le-Main, 1989, p. 123-161.

    6 Stephan H. Lindner, “The problems with discussions of an, optimal size’ of firms in the textile industry”, in René Leboutte et Jean-Paul Lehners (dir.), Passé et avenir des bassins industriels en Europe, Luxembourg, 1995, p. 383.

    7 Benoît Boussemart et Jacques de Bandt, “The European textile industries : widely varying structures”, in Henk Wouter de Jong (dir.), The structures of European industry, 2e édition, Dordrecht, 1988, p. 183-209 ; Stephan H. Lindner, Den Faden verloren. Die westdeutsche und die französische Textilindustrie auf dem Rückzug (1930/45 – 1990), Munich, 2001.

    8 M. Breitenacher, Textilindustrie im Wandel, op. cit., p. 150 et suivantes.

    9 Gerhard Egbers, „Technische Textilien –ein Wachstumsmarkt“, in Jahrbuch der Textilindustrie 1986, Francfort-sur-le-Main, 1987, p. 29-33.

    10 Herbert Giese, „Textilindustrie in NRW – Der Wandel wurde Programm“, in Stefan Goch (dir.), Strukturwandel(...), op. cit.

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    Ce livre est cité par

    • (2016) Wo liegt die Bundesrepublik?. DOI: 10.13109/9783666300585.315

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    Format

    Lauschke, K. (2012). Les entreprises du textile en Rhénanie du Nord-Westphalie. In J.-F. Eck & M.-P. Chélini (éds.), PME et grandes entreprises en Europe du Nord-Ouest XIXe - XXe siècle (1‑). Presses universitaires du Septentrion. https://doi.org/10.4000/books.septentrion.46677
    Lauschke, Karl. « Les entreprises du textile en Rhénanie du Nord-Westphalie ». In PME et grandes entreprises en Europe du Nord-Ouest XIXe - XXe siècle, édité par Jean-François Eck et Michel-Pierre Chélini. Villeneuve d’Ascq: Presses universitaires du Septentrion, 2012. https://doi.org/10.4000/books.septentrion.46677.
    Lauschke, Karl. « Les entreprises du textile en Rhénanie du Nord-Westphalie ». PME et grandes entreprises en Europe du Nord-Ouest XIXe - XXe siècle, édité par Jean-François Eck et Michel-Pierre Chélini, Presses universitaires du Septentrion, 2012, https://doi.org/10.4000/books.septentrion.46677.

    Référence numérique du livre

    Format

    Eck, J.-F., & Chélini, M.-P. (éds.). (2012). PME et grandes entreprises en Europe du Nord-Ouest XIXe - XXe siècle (1‑). Presses universitaires du Septentrion. https://doi.org/10.4000/books.septentrion.46596
    Eck, Jean-François, et Michel-Pierre Chélini, éd. PME et grandes entreprises en Europe du Nord-Ouest XIXe - XXe siècle. Villeneuve d’Ascq: Presses universitaires du Septentrion, 2012. https://doi.org/10.4000/books.septentrion.46596.
    Eck, Jean-François, et Michel-Pierre Chélini, éditeurs. PME et grandes entreprises en Europe du Nord-Ouest XIXe - XXe siècle. Presses universitaires du Septentrion, 2012, https://doi.org/10.4000/books.septentrion.46596.
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