1 Henry Lemonnier, « La France sous Henri II », dans E. Lavisse (dir.), Histoire de France illustrée depuis les origines jusqu’à la Révolution, Paris, Hachette, t. 5-2, 1904, livre IX.
2 Janine Garrisson, L’Édit de Nantes et sa révocation. Histoire d’une intolérance, Paris, Seuil, 1985, évoque « mesures antiprotestantes » et « législation antiprotestante ».
3 Anatole Leroy-Beaulieu, Les doctrines de haine, l’antisémitisme, l’antiprotestantisme, l’anticléricalisme, Paris, Calman-Lévy, 1902.
4 Michèle Sacquin, Entre Bossuet et Maurras : l’antiprotestantisme en France de 1814 à 1870, Paris, Mémoires et documents de l’École des Chartes, 1998.
5 Sylvio De Franceschi (éd.), Antiromanisme doctrinal et romanité ecclésiale dans le catholicisme posttridentin (XVIe-XXe siècles), Lyon, Chrétiens et Sociétés – Documents et mémoires n° 7, 2008, p. 5-7. Le mot n’est que peu utilisé dans l’historiographie française, bien qu’il ait été retenu par Léopold Willaert, Après le concile de Trente, la Restauration catholique, 1563-1648, t. 18 d’A. Fliche et V. Martin (dir.), Histoire de l’Église depuis les origines jusqu’à nos jours, Paris, Bloud et Gay, 1960, p. 361, comme « résistance à l’absolutisme de Rome ». Certes emprunté aux dénonciations protestantes, mais présent au sein même de la vie de l’Église, il ne doit donc pas être confondu avec l’anticatholicisme.
6 Moins usité. À titre d’exemple, lire Maurice Blondel, « Le jansénisme et l’anti-jansénisme de Pascal », Revue de métaphysique et de morale, t. 30-2, 1923, p. 129-163.
7 Pierre-Antoine Fabre et Catherine Maire (dir.), Les Antijésuites. Discours, figures et lieux de l’antijésuitisme à l’époque moderne, Rennes, PUR, 2010. Le substantif fait son apparition en 1762… sous la plume d’un jésuite.
8 Leticia Alvarez-Recio et Bradley L. Drew (éd.), Fighting the Antichrist: A Cultural History of Anti-Catholicism in Tudor England, Brighton, Sussex Academic Press, 2011. Dans ce cas également le mot est en usage pour caractériser la politique victorienne.
9 À Bonaventure de La Bassée, Le Theophile parroissial de la messe de parroise, Lyon, Compagnon, 1649, invitant les fidèles à privilégier leur paroisse aux couvents des réguliers, répond Henri Albi, L’Anti-Theophile parroissial ou Response au livre qui porte pour titre le Theophile parroissial de la messe de parroisse, [Lyon], s.n., [1649].
10 L’usage des mots qui classent et clivent, dont le sens peut fortement évoluer selon les contextes, demande de la prudence et nécessite une réflexion approfondie. Marc Venard, « Réforme, Réformation, Préréforme, Contre-Réforme. Études de vocabulaire chez les historiens récents de langue française », dans M. Venard, Le catholicisme à l’épreuve dans la France du XVIe siècle, Paris, Cerf, 2000, p. 10-26 (1re publication en 1977), ou Catherine Maire, « Quelques mots piégés en histoire religieuse moderne : jansénisme, jésuitisme, gallicanisme, ultramontanisme », Annales de l’Est, n° 1, 2007, p. 13-42.
11 Jean Crespin, Histoire des martyrs persecutez et mis à mort pour la verité de l’Evangile, depuis le temps des Apostres jusques à present (1619), éd. D. Benoît, Toulouse, Société des livres religieux, 3 vol., 1885-1889.
12 Cité par Odile Jurbert, « La Réforme en Lorraine du Sud au XVIe siècle », dans L. Châtellier (éd.), Les Réformes en Lorraine (1520-1620), Nancy, PUN, 1986, p. 57.
13 Georges Bischoff, La guerre des Paysans. L’Alsace et la révolution du Bundschuh, 1493-1525, Strasbourg, La Nuée Bleue, 2010.
14 Nous renvoyons aux textes de Laurent Jalabert et Hugues Marsat dans cet ouvrage, ainsi qu’à Hugues Marsat, « Charles III et ses protestants (1559-1608) », Annales de l’Est, n° 1, 2013, p. 169-189.
15 Alain Cullière, Les écrivains et le pouvoir en Lorraine au XVIe siècle, Paris, Honoré Champion, 1999, p. 337 (puis p. 338-369). Une histoire complète de l’engagement ligueur du duc Charles III reste à faire.
16 Stefano Simiz, « Pont-à-Mousson : héritages et mémoires », dans J. El Gammal, É. Germain et F. Lormant (éd.), L’Université à Nancy et en Lorraine : Histoire, mémoire et perspectives, Nancy, PUN – Éditions universitaires de Lorraine, 2014, notamment p. 11-20.
17 René Taveneaux, « L’esprit de croisade en Lorraine aux XVIe et XVIIe siècles », dans L’Europe, l’Alsace et la France : problèmes intérieurs et relations internationales à l’époque moderne. Études réunies en l’honneur du doyen Livet, Colmar, Éditions d’Alsace, 1986, p. 256-263. Thématique reprise par Bruno Maes, « Esprit de croisade et Maison de Lorraine aux XVe et XVIIIe siècles », dans G. Deregnaucourt, Y. Krumenacker, P. Martin et F. Meyer (dir.), Dorsale catholique, jansénisme, dévotions : XVIe-XVIIIe siècles. Mythe, réalité, actualité historiographique, Paris, Riveneuve, 2014, p. 427-437.
18 Outre L. Châtellier (éd.), Les Réformes en Lorraine…, op. cit., de commodes mises au point par Julien Léonard, « Les débuts de la Réforme », et Laurent Jalabert, « Les implantations protestantes », dans F. Henryot, L. Jalabert et P. Martin (dir.), Atlas de la vie religieuse en Lorraine à l’époque moderne, Metz, Éditions Serpenoise, 2011, p. 278-279 et p. 282-283. À signaler les études de Bernard Ardura sur Verdun à l’époque de Nicolas Psaume (1548-1575), celles d’Henri Tribout de Morembert et de Julien Léonard sur Metz, enfin les publications régulières du groupe de recherche sur les Trois-Évêchés dirigé au sein du CRULH – université de Lorraine, par Catherine Bourdieu-Weiss. Une bibliographie renouvelée est bien en cours de constitution.
19 Pierre Chaunu, « Jansénisme et frontière de catholicité (XVIIe et XVIIIe siècles). À propos du Jansénisme lorrain », Revue historique, n° 227, 1962, p. 115-138.
20 Féconde, la notion chère à René Taveneaux est l’une des matrices du programme ANR « LODOCAT – Chrétientés lotharingiennes – Dorsale catholique, IXe-XVIIIe siècle », coordonnée par Christine Barralis et Frédéric Meyer et regroupant huit universités (Lorraine, Artois, Franche-Comté, Lyon, Chambéry, Liège, Luxembourg, Milan), 2015-2018.
21 Émile Kappler, Les conférences théologiques entre catholiques et protestants en France au XVIIe siècle, Paris, Honoré Champion, 2011.
22 Fabienne Henryot, « La controverse », dans F. Henryot, L. Jalabert et P. Martin (dir.), Atlas…, op. cit., p. 284-285. Cette double page est une mise en perspective très synthétique.
23 Martin Meurisse, Apologie de l’adoration et l’élévation de l’hostie, et des prières publiques de l’Eglise catholique en latin, contre une réplique du sieur Bugnet Ministre auprès de Compiègne, Paris, Edme Martin, 1620, fol. a ii v°.
24 Une illustration (en partie messine) de cette conquête par Yves Krumenacker et Julien Léonard, « La nouveauté de la prédication protestante dans les villes francophones, XVIe-XVIIe siècles », Histoire urbaine, n° 34, 2012, notamment p. 17-27.
25 Martin Meurisse évoque le cas des « presches de l’apostat Vuatrin du Bois ». Il dénonce aussi les contemporains parvenus « à un tel point d’aveuglement » que les discours réformés sont « annoncés publiquement aux Prosnes des paroisses », comme on le fait des indulgences et des processions. Martin Meurisse, Histoire de la naissance, du progres et de la decadence de l’heresie dans la ville de Metz & dans le pays Messin, Metz, Jean Antoine, 1642, p. 111.
26 Panorama général par Stefano Simiz, Prédication et prédicateurs en ville (XVIe-XVIIIe siècles), Villeneuve d’Ascq, Presses universitaires du Septentrion, 2015, p. 255-269.
27 Sur Farel puis Fidelis, voir M. Meurisse, Histoire de la naissance…, op. cit., p. 43-44, puis p. 66-70, p. 84.
28 Bernard Dominici, Sermon funèbre fait à Nancy, aux obseques & funerailles de feu Monseigneur, Monsieur François de Lorraine, Duc de Guyse, Lyon, Ambroise du Rosne, 1563.
29 Alain Cullière, « Bernard Dominici, trinitaire messin (c. 1517-1597) », Les Cahiers lorrains, n° 1, 1998, p. 29-53.
30 Stefano Simiz, « Une “révolution” de la prédication catholique en ville ? Début XVIe siècle – seconde moitié du XVIIe siècle », Histoire urbaine, n° 34, 2012, p. 33-50.
31 Son activité livresque est assez modeste, selon Louis Desgraves, Répertoire des ouvrages de controverse entre catholiques et protestants en France (1598-1685), t. 1 (1598-1628), Genève, Droz, 1984, p. 173 (écrit de 1612) et p. 186 (1613).
32 Rapports présentés par Henri Tribout de Morembert, La Réforme à Metz, Nancy, Annales de l’Est – Mémoire n° 41, t. 2, 1971, p. 200-202.
33 Sur ces pratiques très codifiées dans le temps et dans l’espace, avec leurs méthodologies éprouvées, voir Olivier Christin, « L’espace et le temps, enjeux de conflit entre les confessions », dans J.-O. Boudon et F. Thelamon (éd.), Les chrétiens dans la ville, Rouen, Presses universitaires de Rouen, 2006, p. 167-180.
34 Voir les contributions de Philip Benedict et de Julien Léonard dans cet ouvrage.
35 On a pu qualifier à raison la conférence contradictoire de « substitut de guerre » (Didier Boisson et Hugues Daussy, Les protestants dans la France moderne, Paris, Belin, 2006, p. 202).
36 Outre celle opposant Paul Ferry à Bossuet en 1666 (É. Kappler, op. cit., p. 811-813), le pasteur David Ancillon fit face à Bédacier en 1657 (p. 764-767), puis peut-être à Étienne de Chaumont en 1668 (p. 864). Ce dernier pasteur, figure clé mais assez méconnue du protestantisme messin puis du Refuge, est l’objet d’une récente biographie due à Julien Léonard, Le pasteur David Ancillon (1617-1692). De Metz à Berlin, de la France au Refuge, Metz, Éditions des Paraiges, 2017.
37 É. Kappler, op. cit., p. 310-317, en rend compte par le détail. L’affaire, opposant les pasteurs De Losse et Couët au jésuite réfugié Commolet et au capucin Esprit, est suffisamment connue pour qu’il nous suffise ici de renvoyer aux travaux les plus récents sur cette princesse : Marie-Hélène Grintchenko, Catherine de Bourbon (1559-1604). Influence politique, religieuse et culturelle d’une princesse calviniste, Paris, Honoré Champion, 2009, et Margarete Zimmermann, « Catherine de Bourbon : Une huguenote à la cour de Nancy », dans O. Christin (éd.), Un nouveau monde : Naissance de la Lorraine moderne, Paris, Somogy, 2013, p. 80-93.
38 É. Kappler, op. cit., p. 594-602.
39 Ignace Le Gault, La Saincteté de l’Eglise Romaine et l’Impiété calviniste en l’observation du décalogue pour reponse au Dernier Desespoir et Appendice de Paul Ferry Ministre de la Pretendue à Metz, Saint-Mihiel, F. et J. Du Bois, 1625, fol. a iii.
40 Dominique Didelot, La religion prétendue mourante à Pfaltzbourg entre les mains de ses Medecins et Ministres d’un coup de pistole le 12 avril 1621. Après avoir esté vaincue diverses fois par disputes entre le R.P. Nicolas Oudé Jesuite, et le Sieur Brasi Ministre, comme il est icy narré fidellement, Pont-à-Mousson, Marchand, s.d., p. 16-17. La controverse complète ne se résume pas à ce livre, car Brazi puis Oudé ont également rédigé leurs opuscules.
41 Ibid., p. 20. C’est parce que qu’il n’a pas cru en la promesse qui lui est faite par Dieu à propos de la grossesse tardive de sa femme Élisabeth, que Zacharie perd l’usage de la parole jusqu’à la naissance de Jean, dit le Baptiste (Lc., 1, 13-64).
42 Louis Desgraves a fourni une intéressante statistique sur l’envol de la littérature de controverse, cité par Catherine Martin, Les compagnies de la propagation de la foi (1632-1685). Paris, Grenoble, Aix, Lyon, Montpellier. Étude d’un réseau d’associations fondé en France au temps de Louis XIII pour lutter contre l’hérésie des origines à la Révocation de l’Édit de Nantes, Genève, Droz, 2000, p. 15-16 (on comptabilise 116 ouvrages par an en moyenne de 1598 à 1630, « plus que » 62 entre 1650 et 1685).
43 Alde Harmand et Philippe Masson (éd.), La Renaissance à Toul, morceaux choisis, Toul, Ville de Toul, 2013, p. 73-74.
44 Fremin Capitis, Antidote à la reponse qu’a fait Jean Taffin calviniste contre l’Apologie de Frere Fremin Capitis, contenant en bref la manière de celebrer la messe, Verdun, N. Bacquenois, 1564, fol. a i-a iii.
45 Ibid., fol. a i.
46 I. Le Gault, op. cit., fol. a iiii.
47 Ibid., p. 114 et p. 173.
48 Christian Duverger, La conversion des Indiens de Nouvelle-Espagne, avec le texte des Colloques des Douze de Bernardino de Sahagun (1564), Paris, Seuil, 1987.
49 F. Capitis, op. cit., p. 40.
50 D. Didelot, op. cit., p. 36-37, p. 41-42 et p. 53.
51 Stratégie déjà soulignée par Julien Léonard, Être pasteur au XVIIe siècle. Le ministère de Paul Ferry à Metz (1612-1669), Rennes, PUR, 2015, p. 170-175.
52 I. Le Gault, op. cit., p. 263-264.
53 Ibid., p. 130-131.
54 Ibid., p. 457.
55 Ibid., p. 115.
56 Ibid., p. 127.
57 Ibid., p. 62.
58 À ce propos Le Gault a cette formulation lapidaire, ibid., p. 15 : « comme si vous me demandiez les marques, par lesquelles vous pouvez recon[n]oitre le Roy au milieu de sa noblesse, je vous disois, il a deux yeux, une bouche, deux bras, deux jambes et on me siffleroit comme impertinent, car tous les hommes parfaicts sont doués de ces parties, et vous me diriez à bon droit, que vo[u]s ne le connoitrés jamais de la façon si l’on ne vous donne des signes plus particuliers, qui le distinguent d’avec le reste de sa suite ; neantmoins vous commettez la mesme impertinence ».
59 D. Didelot, op. cit., p. 17.
60 Cité par H. Tribout de Morembert, op. cit., t. 2, p. 71.
61 F. Capitis, op. cit., p. 2-3.
62 C. Martin, op. cit., p. 17.
63 Philippe Martin, Pèlerins de Lorraine, Metz, Éditions Serpenoise, 1997, p. 59.
64 Les sermons publiés du théologal rémois Hubert Meurier, ligueur qui émigra puis mourut en Lorraine (1595-1602), constituent un programme complet de défense et illustration du catholicisme. Sur la question centrale de la défense et uniformisation de la pratique de la messe, voir Philippe Martin, Le théâtre divin. Une histoire de la messe, XVIe-XXe siècles, Paris CNRS, 2010 (nombreux exemples empruntés à la France de l’Est).
65 P. Martin, Pèlerins de Lorraine…, op. cit., p. 54-55.
66 I. Le Gault, op. cit., p. 258-259.
67 F. Capitis, op. cit., p. 71.
68 Alain Villes, « Renaissance en cathédrale. L’achèvement de la cathédrale », dans A. Harmand et P. Masson (éd.), op. cit., p. 166.
69 D. Didelot, op. cit., p. 133-134.
70 Cité par Philippe Martin, Les chemins du sacré. Paroisses, processions, pèlerinages en Lorraine du XVIe au XIXe siècle, Metz, Éditions Serpenoise, 1995, p. 120.
71 Voir les travaux d’Yves Krumenacker, notamment « Masquer le protestantisme dans les villes françaises au XVIIe siècle », dans B. Dumons et B. Hours (éd.), La cité réenchantée. Ville et religion en Europe du XVIe au XXe siècle, Grenoble, PUG, 2010, p. 239-242.
72 P. Martin, Les chemins du sacré…, op. cit., p. 170.
73 Martin Meurisse, Histoire des Evesques de l’Eglise de Metz, Metz, Jean Antoine, 1634, p. 663.
74 À propos de ces deux expressions, voir Jean-Marie Le Gall, « Culte de Saint-Denis et identité parisienne aux XVIe et XVIIe siècles », dans J.-O. Boudon et F. Thelamon (éd.), op. cit., p. 144.
75 En Lorraine, voir Philippe Martin, « Les jubilés », dans F. Henryot, L. Jalabert et P. Martin (dir.), Atlas…, op. cit., p. 212-213 ; Stefano Simiz, « Les jubilés de l’Est de la France, temps forts de la dévotion urbaine des XVIIe et XVIIIe siècles », dans B. Maes, D. Moulinet et C. Vincent (éd.), Jubilé et culte marial (Moyen Âge – époque contemporaine), Saint-Étienne, Publications de l’université, 2009, p. 257-270.
76 Louis Châtellier, « La fête comme mission dans les villes entre Rhin, Moselle et Mer du Nord. L’exemple des cérémonies en l’honneur de la canonisation de saint Ignace de Loyola et de saint François-Xavier en juillet 1622 », dans H.-U. Thalmer (dir.), Bürgertum und kunst in der Neuzeit, Cologne – Weimar – Vienne, Böhlau Verlag, 2002, p. 219-228.
77 Henri Tribout de Morembert, « Une pieuse fondation de la municipalité messine. La chapelle de la Victoire, dite des Lorrains (1475-1754) », Bulletin philologique et historique (jusqu’à 1610) du Comité des travaux historiques et scientifiques, 1963, p. 235-247.
78 Cité par P. Martin, Les chemins du sacré…, op. cit., p. 119-120.
79 Stefano Simiz, « La mémoire catholique d’un échec protestant à travers les siècles : la tentative de surprise de Verdun en septembre 1562 », Annales de l’Est, n° 1, 2009, p. 123-139.
80 P. Martin, Les chemins du sacré…, op. cit., p. 55.
81 Martin Meurisse, Histoire des Evesques…, op. cit.
82 Benoît Picart, Histoire ecclésiastique et politique de la ville et du diocèse de Toul, Toul, Alexis Laurent, 1707.
83 Jean Ruyr, Recherches des sainctes Antiquitez de la Vosge, Épinal, Ambroise, 1634.
84 Stefano Simiz, « La vie de Saint Epvre », dans O. Christin (éd.), Un nouveau monde…, op. cit., p. 322.
85 Estelle Leutrat, « Le miracle de saint Mansuy », dans O. Christin (éd.), Un nouveau monde…, op. cit., p. 324.
86 Marie-Hélène Colin, Les saints lorrains entre religion et identité régionale, Nancy, Éditions Place Stanislas, 2010, p. 22.
87 Ibid., p. 66.
88 Parmi de nombreux travaux une introduction commode au thème marial par Bruno Maes, « La piété mariale », et Philippe Martin, « Une multitude de pèlerinages », dans F. Henryot, L. Jalabert et P. Martin (dir.), Atlas…, op. cit., p. 246-249.
89 C. Martin, op. cit., p. 20 notamment.
90 Louis Châtellier, L’Europe des dévots, Paris, Flammarion, 1987.
91 C. Martin, op. cit., p. 185, p. 209-210.
92 Voir par exemple Didier Boisson et Yves Krumenacker (éd.), La coexistence confessionnelle à l’épreuve. Études sur les relations entre protestants et catholiques dans la France moderne, Lyon, Chrétiens et Sociétés – Documents et mémoires n° 9 ; Céline Borello, « Entre tolérance et intolérance catholico-protestante : la convivance du second XVIIIe siècle français », dans C. Maurer et C. Vincent, La coexistence confessionnelle en France et en Europe germanique et orientale, du Moyen Âge à nos jours, Lyon, Chrétiens et Sociétés – Documents et mémoires n° 27, p. 309-322.
93 Voir par exemple Gaëtan Dechoux, Protestants et catholiques à Badonviller et ses environs. Les aspects socio-confessionnels de la coexistence (1555-1625), mémoire de master 2 en histoire, dir. F. Meyer, université de Lorraine, 2014.
