1 J.-F. Revel, « Plaidoyer pour Viollet-le-Duc », L’œil et la connaissance. Écrits sur l’art, Paris, 1998, p. 75.
2 Annexe II : Sens – pièce n° 1.
3 E.-E. Viollet-le-Duc, 12eEntretien, Paris, 1863-1872, rééd. 2008, p. 125.
4 A. Auduc, op. cit., 2008, p. 104.
5 E.-E. Viollet-le-Duc, 20e Entretien, Paris, 1863-1872, rééd. 2008, p. 513. La même remarque est formulée par Darcel en 1857 au sujet de : « La restauration de Saint-Germain l’Auxerrois, tout incomplète qu’elle soit, fut la première école où se formèrent les sculpteurs, les peintres-verriers, les forgerons, les peintres-décorateurs, les menuisiers et les architectes qui se livrent aujourd’hui à la pratique de l’architecture ogivale. » A. Darcel, « Lassus, architecte », Annales archéologiques, t. XVII, 1857, p. 309. Pour complément : S. Baylay, « Viollet-le-Duc et la restauration », Viollet-le-Duc. Centenaire de la mort à Lausanne, cat. expo. 22 juin-30 sept. 1979, Lausanne, 1979, p. 31.
6 Cette chapelle, bâtie durant les années 1860, a été détruite au cours de la seconde moitié du XXe siècle. Nous ne possédons pas de textes sur cet édifice et les planches conservées à la Médiathèque de l’architecture et du Patrimoine sous les cotes 96/83/3004 à 3009, sont manquantes.
7 J. Lobet, « L’architecture et M. Viollet-le-Duc. À propos de l’église d’Aillant », Almanach administratif, historique et statistique de l’Yonne, 1868, p. 49-76. B. Lauverjon, C. Berger, « L’église d’Aillant-sur-Tholon (Yonne) », Viollet-le-Duc, cat. expo., 1980, p. 188-191. R. Decourtis, « L’église d’Aillant-sur-Tholon », Viollet-le-Duc dans l’Yonne, Cahiers des Archives n° 2, 1980, p. 69-70. Du même : « The Church of Aillant-sur-Tholon », Viollet-le-Duc. Architect, Artist, Master of Historic Preservation, dir. Fr. Bercé et B. Foucart, The Trust for Museum Exhibitions, Washington, D. C., 1988, p. 78-79.
8 Arch. dép. Yonne : 2 O 251 – Ministère de l’Intérieur, le 11 janvier 1863.
9 « La façade est lourde et sans caractère. La nef voûtée en bois s’ouvre par quatre arcades en plein cintre sur les bas-côtés voûtés de même en bois et éclairés par de petites fenêtres du XVIIe siècle. Le chœur n’offre rien non plus de remarquable comme style ou ornementation. En résumé, Aillant considéré du point de vue de l’archéologie est le plus pauvre de nos chefs-lieux de canton. » V. Petit, « Voyage pittoresque dans le département de l’Yonne », Annuaire de 1857, p. 89.
10 Arch. dép. Yonne : 2 O 251 – Extrait du registre des délibérations. Séance extraordinaire du 28 juillet 1867. Vente des matériaux provenant de la démolition de l’église, non remployés, et des maisons acquises par la commune. Pour les matériaux remployés dans l’église neuve, sans détails, voir : Arch. dép. Yonne : 2 O 251 – Travaux exécutés par M. Sauvage entrepreneur demeurant à Paris rue Chauchat n° 13 suivant adjudication du 12 septembre 1863 approuvée par M. Le Préfet de l’Yonne le 22 juillet. 4 septembre 1867, signé : Viollet-le-Duc.
11 Arch. dép. Yonne : 2 O 251 – Ville d’Aillant-sur-Tholon. Reconstruction de l’église paroissiale. Détail estimatif. Chap. 1 Démolition : f°2 r. démolition de la maison Gautard, f°2 v. : démolition de la maison Chasserat, f°3 v. maison Lenoble (héritiers), f°4 r. maison Renon. Viollet-le-Duc, le 22 juillet 1863.
12 « Discours prononcé par Monsieur Bachelet, Maire d’Aillant, à l’occasion de la pose solennelle de la première pierre par Monseigneur Mellon Jolly, archévêque de Sens », Almanach administratif, historique et statistique de l’Yonne, 1868, p. 73.
13 M.-F. Cussinet, « Cinquante ans d’architecture religieuse à Clermont-Ferrand », L’architecture religieuse au XIXe siècle, dir. B. Foucart et F. Hamon, Paris, 2006, p. 148-149.
14 R. Decourtis, op. cit., 1980, p. 69.
15 O. Liardet, op. cit., 2002, p. 237-238. F. Narjoux, Architecture communale, Paris, 1870, t. 1, p. 39-40.
16 Arch. mun. Aillant-sur-Tholon : s. c. – Soumission d’Henri Marquet, Sculpteur, demeurant à Sens (Yonne). Sens, le 4 mars 1867. Signé Henri Marquet. Ratifé par Billy, maire d’Aillant-sur-Tholon, le 11 mars 1867.
17 Arch. mun. Aillant-sur-Tholon : s. c. – Église d’Aillant-sur-Tholon. Construction d’une église. Soumission des travaux de sculpture. Soumission d’Henry Geschvind, sculpteur demeurant à Joigny et Henry Marquet, sculpteur demeurant à Sens. Fait à Sens, le 21 juillet 1866. Signé H. Marquet, H Geschvind et Billy, maire d’Aillant-sur-Tholon le 28 juillet 1866. Vu et approuvé par le préfet de l’Yonne, Tarbé, le 13 août 1866. Visé par Viollet-le-Duc, sans date.
18 Arch. mun. Aillant-sur-Tholon : s. c. – Église d’Aillant-sur-Tholon. Construction du maître autel et des autels des chapelles. Métré estimatif des travaux exécutés par M. Marquet. Procès verbal de réception définitive. Sens, Lefort, le 28 octobre 1868. Visé par E. Viollet-le-Duc le 23 décembre 1868. Ratifié par le maire d’Aillant-sur-Tholon, Billy, le 16 janvier 1869.
19 Arch. mun. Aillant-sur-Tholon : s. c. – Soumission de Stéphane Bazin, fabricant de vitraux au Mesmil-Saint-Firmin (Oise), signé Bazin, le 29 mai 1867. Ratifié par Billy, maire d’Aillant-sur-Tholon, le 30 juin 1867.Visé par E. Viollet-le-Duc le 24 juillet 1867.
20 Arch. mun. Aillant-sur-Tholon : s. c. – Décompte des travaux exécutés par M. Bazin, entrepreneur de vitrerie d’art, demeurant au Mesnil-Saint-Firmin (Oise) d’après la soumission en date du 29 mai 1869. Certifié par l’inspecteur des travaux, Lefort, le 10 juin 1867. Ratifié par l’architecte, E. Viollet-le-Duc, le 20 juin 1867. Pour complément sur l’engagement et la réception des ouvrages, voir les lettres de F. Lefort adressées au maire d’Aillant-sur-Tholon en date des 1er août 1866 et 17 juin 1867.
21 Arch. mun. Aillant-sur-Tholon : s. c. – Lettre de Sauvage et Mozet, entrepreneur de maçonnerie, rue Chauchat, 13 ; bureaux boulevard Denain, 10, Paris, à Monsieur le Maire d’Aillant-sur-Tholon. Ils indiquent dans cette lettre que les travaux de maçonnerie sont terminés depuis août 1866.
22 Arch. dép. Yonne : 2 O 151 – Reconstruction de l’église paroissiale. Détail estimatif. Chap. 1 Démolition. Viollet-le-Duc, 22 juillet 1863. Démolition : f°5 : 2961.05.
23 Arch. dép. Yonne : 2 O 151 – Construction des murs de soutènement de la place autour de l’église. Mémoire explicatif sur les travaux en augmentation du devis. Paris, 22 décembre 1868, Viollet-le-Duc.
24 Arch. dép. Yonne : 2 O 151 – Soumission des travaux de sculpture. Nous soussignés Henry Geschvind, sculpteur demeurant à Joigny et Henry Marquet, sculpteur demeurant à Sens, après avoir pris connaissance du devis rédigé le 20 mai 1866 par M. Viollet-le-Duc, Architecte, pour les travaux de sculpture à faire à l’église d’Aillant-sur-Tholon, nous nous engageons à réaliser les dits ouvrages pour 3 370f. Fait à Sens, le 21 juillet 1866.
25 Arch. dép. Yonne : 2 O 151 – Travaux de Vitrerie d’art. Soumission de Monsieur Stéphane Bazin, fabriquant de vitraux au Mesnil-Saint-Firmin (Oise), montant à 3865f 84c. Engagé le 12 août 1867. D’après le Détail estimatif dressé par l’architecte soussigné : Viollet-le-Duc le 22 juillet 1863.
26 Mobilier liturgique (3 985 65 francs) auquel il faut ajouter les chaises (1 000 francs). Arch. dép. Yonne : 2 O 151 – Devis estimatif. Avant-projet pour la construction du mobilier. Viollet-le-Duc, Paris, le 25 octobre 1867. Voir également : Construction du maître-autel et des autels des chapelles. Travaux exécutés par M. Henri Marquet, entrepreneur de sculpture demeurant à Sens, suivant sa soumission en date du 4 mars 1867 : 3 966f 41.
27 Arch. dép. Yonne : 2 O 151 – Extrait du Registre des délibérations du Conseil municipal d’Aillant-sur-Tholon. Séance extraordinaire du 6 octobre 1861. Vote d’un emprunt de 200 000f pour la construction de l’église. Crédit Foncier. Paris, le 28 juillet 1864. La commune d’Aillant-sur-Tholon est autorisée par un décret du 11 juillet 1863 à contracter un emprunt de 200 000f remboursable en vingt ans. Demande acceptée par le Crédit Foncier à valeur d’un remboursement en vingt annuités de 8 267f 30c
28 Arch. dép. Yonne : 2 O 151 – Paris, le 10 avril 1866. Ministère de la Justice et des Cultes. Monsieur le préfet, par décision ministérielle du 5 mars 1864, un secours de 12 000f en 4 annuités égales a été accordé à la commune d’Aillant pour l’aider dans la dépense de reconstruction de son église.
29 A. Auduc, « Les constructions d’églises en Seine-Saint-Denis de 1850 à 1914 », L’architecture religieuse au XIXe siècle, dir., B. Foucart et F. Hamon, Paris, 2006, p. 159.
30 Annexe IV : Aillant-sur-Tholon – pièces n° 9 et 12. En général Viollet-le-Duc n’apprécie pas les intermédiaires entre lui et ses inspecteurs. Il ne tolère que peu, après validation d’un projet et de son devis, un droit de regard du commanditaire, principalement lorsqu’il s’agit d’une autorité communale. Sur cette question : L. El Wakil, « Viollet-le-Duc à Genève (1874-1878) », Viollet-le-Duc. Centenaire de la mort à Lausanne, cat. expo. 22 juin-30 sept. 1979, Lausanne, 1979, p. 54. J.-P. Hindré, « Viollet-le-Duc », Espace, église, arts, architecture, n° 9, 1980, p. 49.
31 J. Lobet, op. cit., 1868, p. 57-58. C. Laroche, « Les enjeux multiples de l’architecture religieuse du second XIXe siècle en France : un essai de litanies », L’architecture religieuse au XIXe siècle, dir. B. Foucart et F. Hamon, Paris, 2006, p. 298.
32 B. Foucart, « Viollet-le-Duc et la construction d’églises », Viollet-le-Duc, cat. expo., Paris, 1980, p. 181.
33 A. Auduc, op. cit., 2006, p. 169.
34 Annexe IV : Aillant-sur-Tholon – pièce n° 20. Pour complément : J.-M. Leniaud, « Maître d’ouvrage, maîtres d’œuvre et programmes », Ces églises du dix-neuvième siècle, Amiens, 1993, p. 108.
35 Voir les églises de Souppes-sur-Loing, de Ressons-sur-Matz, de Notre-Dame de Melun ou encore la cathédrale de Châlons-en-Champagne.
36 A. Timbert, « Spatium et locus. L’architecture gothique et sa syntaxe. Le cas du XIIe siècle », Actes du colloque international, Espaces et Mondes au Moyen Âge, Bucarest, 17-18 oct. 2008, New Europe College, 2010, p. 316-326.
37 F. Boudon, « Viollet-le-Duc et l’architecture urbaine : une vision nouvelle de la mouluration », Actes du colloque Viollet-le-Duc, 1980, Paris, 1982, p. 63-68.
38 Annexe II : Montréal – pièce n° 1. Pour complément : E.-E. Viollet-le-Duc, Lettres inédites, op. cit., Paris, 1902, p. 1.
39 Méd. Arch. Pat. : CRMH 3304 – Église d'Aillant sur Tholon. Yonne. Coupe transversale sur la nef. Ech. 0,02 p. m.
40 Arch. mun. Aillant-sur-Tholon : s. c. – Église d’Aillant-sur-Tholon. Devis supplémentaire pour le dallage de l’église. E. Viollet-le-Duc, Paris, 22 février 1866.
41 La pierre d’Anstrude est également employée pour la réalisation du maître-autel et des autels des chapelles.
42 Annexe IV : Aillant-sur-Tholon – pièce n° 8.
43 Annexe IV : Aillant-sur-Tholon – pièce n° 8.
44 Arch. mun. Aillant-sur-Tholon : s. c. – Église d’Aillant-sur-Tholon. Lettre à M. le Maire. E. Viollet-le-Duc, Paris, 22 février 1866.
45 L. Pressouyre, « Introduction », Pierres du patrimoine européen. Économie de la pierre de l’Antiquité à la fin des Temps Modernes, Actes du colloque international de Château-Thierry, 8-21 oct. 2005, Paris, 2008, p. 7.
46 E.-E. Viollet-le-Duc, 11e Entretien, Paris, 1863-1872, rééd. 2008, p. 17.
47 Ibidem, 1863-1872, p. 26.
48 Rapport Duban, 3 mai 1867, dans E. Carmignani, « Le Rapport Duban en 1866 : les moyens de construire les églises avec économie », L’architecture religieuse au XIXe siècle. Entre éclectisme et rationalisme, dir. B. Foucart et F. Hamon, Paris, 2006, p. 242.
49 Annexe IV : Aillant-sur-Tholon – pièce n° 4.
50 Annexe IV : Aillant-sur-Tholon – pièce n° 4.
51 Annexe IV : Aillant-sur-Tholon – pièce n° 4.
52 Annexe I : Vézelay – pièce n° 65. Annexe III : pièce n° 88 – 16 février 1851.
53 Annexe III : pièce n° 132 – 19 novembre 1854.
54 Annexe I : Vézelay – pièce n° 77.
55 Annexe III : pièce n° 121 – 5 mars 1854.
56 Annexe III : pièce n° 136 – 23 mai 1855.
57 Annexe I : Vézelay – pièce n° 81. Pour complément : Annexe III : pièce n° 155 – 8 décembre 1855.
58 Ch. Despiney, op. cit., 1930, p. 55.
59 S. Schlesinger, op. cit., 2007, p. 173-192.
60 Annexe I : Vézelay – pièce n° 65.
61 L. Saulnier, N. Stratford, op. cit., 1984, p. 197, C. 293. Pour complément : Annexe III : pièces n° 149 – 29 octobre 1855 ; n° 150 – 11 novembre 1855.
62 Annexe III : pièce n° 139 – 20 janvier 1855.
63 Arch. dép. Yonne : 4 N 9 – Lettre de Boivin et de Viollet-le-Duc au préfet de l’Yonne. Auxerre le 19 septembre 1847.
64 Arch. dép. Yonne : 4 N 9 – Solde du pignon de la Cuisine. 19 janvier 1848, signé Boivin.
65 Arch. dép. Yonne : 4 N 9 – Préfecture de l’Yonne. Reconstruction du pignon de la Cuisine. Devis estimatif. 8 octobre 1847, Boivin et Viollet-le-Duc.
66 Arch. dép. Yonne : 4 N 9 – Avant métré des travaux à exécuter pour la restauration du pignon de la Cuisine dans le style du XIIIe siècle. 8 octobre 1847, Boivin et Viollet-le-Duc.
67 Arch. dép. Yonne : 4 N 9 – Restauration du palais synodal. Hôtel de la préfecture. Devis. 1er décembre 1835, E. Leblanc.
68 H. de Fontenay, Autun et ses monuments, Autun, 1889, rééd. 1982, p. 188.
69 Arch. mun. Autun : s. c. – Registre des délibérations du Conseil municipal 1844-1848. Le 9 février 1848 : « […] Le Conseil après avoir pris connaissance d’une délibération par laquelle le Comité des Antiquités offre à la ville de lui céder une maison qu’il a fait construire sur les ruines de l’ancien théâtre Romain, dit Caves-Joyaux, à la charge pour elle : 1° - de mettre cette maison en état d’être habitée ; 2° - de construire un hangar propre à recevoir des morceaux d’antiquité qui sont encore en dépôt à l’hôtel de Ville ; 3° - de laisser à la disposition du Comité d’Antiquités la salle qui existe au premier étage de cette maison ; 4° - enfin d’y placer un gardien que l’administration obligera de veiller sur les ruines qui existent encore, d’empêcher qu’on les dégrade et de faire la police en général. » Sur l’histoire de cette maison comme dépôt lapidaire : Mémoires de la Société Eduenne, t. 39, 1911, séance du 6 avril 1911, p. 365-369.
70 Société Eduenne : Promenade historiques à travers la paroisse Notre-Dame. Extrait du Bulletin paroissial de Notre-Dame d’Autun, juin 1924- décembre 1934, p. 106-107.
71 Le Caves-Joyaux ou le théâtre Antique d’Autun, Autun, musée Rolin, cat. expo., 7 sept.-22 oct. 1991, n° 43.
72 Ch. Bongart, op. cit., 2008, p. 13.
73 Notamment dans les églises de Pierre-Perthuis (1863), Fontenay-les-Vézelay (1866), Saint-Aubin-des-Chaumes (1866), Magny-sous-Lormes (1871), Provency (1872), Saint-Père-sous-Vézelay (1874). Ch. Despiney, « Travaux personnels de Pierre Meunier, appareilleur de la restauration de l’église de Vézelay », Le pèlerin de Vézelay, 4e année, n° 16, juillet 1926, p. 235-236.
74 S. Harttmann-Nussbaum, « Le château de la Flachère. Construction de Viollet-le-Duc », Bull. mon., 1981, p. 239-252.
75 N. Burette, op. cit., vol. 2, 2008, p. 14.
76 A. Timbert, « Formes, matériaux et techniques de construction à l’église Saint-Denis-de-L’Estrée d’E.-E. Viollet-le-Duc », Bautechnik des Historismus. Van den Theorien über gotische Konstruktionen bis zu den Baustellen des 19. Jahrhunderts, Actes du colloque international de Zurich, 17-18 février 2011, dir. Uta Hassler, Christoph Rauhut, coll. Santiago Huerta, München, Hirmer, 2012, p. 249-261.
77 Dans son expertise de la construction de la cathédrale de Moulins, Viollet-le-Duc préconise, pour pallier les faiblesses de la pierre d’Aspremont, l’emploi généralisé de la pierre de Bourgogne dont il ne mentionne pas la nature : « […] les quatre contreforts de la nef doivent être remontés en pierre de Bourgogne ; les huit piles intérieures isolées, comprises entre les tours et le transept devront être elles aussi reconstruites en pierre de Bourgogne ; les quatorze contreforts des deux tours seront refaits selon la même section mais en pierre de Bourgogne. […] Les deux porches latéraux seraient disposés de façon à recevoir des tambours et repris en pierre de Bourgogne. » J.-M. Leniaud, op. cit., 1980, p. 141.
78 E.-E. Viollet-le-Duc, 11eEntretien, Paris, 1863-1872, rééd. 2008, p. 50 et p. 62 : Viollet-le-Duc mentionne à nouveau la pierre de Bourgogne comme étant favorable à la réalisation de monolithes et encore dans 12e Entretien, 2008, p. 77 ; 13e Entretien, 2008, p. 147-148 ; 20e Entretien, 2008, p. 558-559.
79 E.-E. Viollet-le-Duc, op. cit., vol. 7, 1847, p. 169-177.
80 L. Mac Clintock, « Monumentality versus Suitability: Viollet-le-Duc’s Saint-Gimer at Carcassonne », The Journal of the Society of Architectural Historians, vol. 40, 1981, p. 218-235.