1 J.-B. Lassus, E.-E. Viollet-le-Duc, op. cit., 1843. P. Léon, « Les principes de la conservation des Monuments historiques. Évolution des méthodes », Cong. archéo. Fr., 1934, p. 36.
2 Annexe VI : pièce n° 6.
3 J.-B. Lassus, E.-E. Viollet-le-Duc, op. cit., 1843, p. 5-7.
4 Pour complément : J.-M. Leniaud, op. cit., 1980, p. 79-80.
5 J.-P. Cointet, Hippolyte Taine. Un regard sur le France, Paris, 2012.
6 E.-E. Viollet-le-Duc, 4e Entretien, 1863-1872, rééd. 2008, p. 171-173.
7 E.-E. Viollet-le-Duc, 6e Entretien, 1863-1872, rééd. 2008, p. 244-246.
8 Ibidem, 2008, p. 246.
9 Ibid., 2008, p. 242.
10 E.-E. Viollet-le-Duc, 2e Entretien, 1863-1872, rééd 2008, p. 58 ; 6e Entretien, 1863-1872, rééd. 2008, p. 330.
11 Annexe II : Vézelay – pièce n° 1, § Matériaux.
12 Il revient par la suite sur cette identification au profit des carrières de Coutarnoux. E.-E. Viollet-le-Duc, Dictionnaire raisonné…, Paris, 1854-1868, rééd. 1997, art. : « Carrière », t. II, p. 278.
13 Annexe II : Vézelay – pièce n° 1, § Matériaux.
14 Cette réalité est donc contraire aux propos d’A. Guillon, op. cit., 1892, p. 500.
15 Annexe II : Autun – pièce n° 1.
16 Ch. Bongart, op. cit., 2008, vol. 1, p. 30-31.
17 B. Thaon, « Viollet-le-Duc, pensée scientifique et pensée architecturale », Actes du colloque Viollet-le-Duc, 1980, Paris, 1982, p. 132.
18 Annexe II : Vézelay – pièce n° 2.
19 Identification réalisée par Lise Leroux, LRMH.
20 F. Lupo, Les techniques de voûtement dans les monuments bâtis par Eugène Viollet-le-Duc, thèse doct., dir. R. Ientile, Univ. Polytechnique de Turin (Italie) et A. Timbert, Univ. Charles-de-Gaulle-Lille 3, 2009.
21 « Les tailles antérieures au XIIIe siècle sont faites assez grossièrement et au taillant droit ; celles du XIIIe siècle à la grosse bretture et layées avec une grande précision ; celles du XIVe siècle, à la bretture fine et layées afin de plus de netteté encore ; celles du XVe siècle à la bretture et au racloir. » P. Mérimée, E.-E. Viollet-le-Duc, op. cit., 1849, art. 40, p. 8.
22 Pour exemple, E. Leblanc, architecte du département, indique que les pierres seront « layées proprement dans leur face ou parement à la gradine avec des ciselures au pourtour des arêtes. » Arch. dép. Yonne : 4 N 9 – Hôtel de la Préfecture. Devis. 1er décembre 1835.
23 Méd. Arch. Pat. : 81/89/302/2 – Église de Vézelay,Décompte des travaux exécutés et fournitures faites par le S. Demay, entrepreneur à Vézelay en conformité de son engagement en date du 19 juillet 1840, 15 novembre 1855, E. Amé. Détail des outils employés avec « taille taillandée » et « taille layée ». Taillandée pour la pierre dense de la Mance et layée pour la pierre tendre de Coutarnoux.
24 Annexe III : pièce n° 43 – 13 décembre 1847.
25 La même démarche peut être relevée à Amiens, sur le chantier de la cathédrale, où Viollet-le-Duc refuse la boucharde et sollicite une taille en rapport avec l’époque du monument à savoir « à la grosse bretture et layées avec une grande précision ». M. Derouette, op. cit., 2008, vol. 1, p. 40.
26 Cette rigueur dans le choix des outils a en effet ses limites. Pour la réalisation du massif de façade de la cathédrale de Clermont-Ferrand Viollet-le-Duc n’hésite pas à rejeter l’emploi de la boucharde sur les faces cachées du monument - cage d’escalier notamment - alors que cet outil appartient à la technologie médiévale, au profit de la patente, d’invention moderne. M. Jenzer, « La boucharde : un outil de la fin du Moyen Âge. L’exemple de l’ancienne église abbatiale de Saint-Claude », Bull. mon., 1998, p. 341-353. J.-Cl. Bessac, « La patente », L’outillage traditionnel du tailleur de pierre de l’Antiquité à nos jours, Paris, 1993, p. 87-91.
27 Annexe III : pièce n° 36 – 1er septembre 1846.
28 F. Sarcey, Le XIXe siècle, 27 sept. 1879.
29 Sur ces questions : D. Lemire, « Les outils de taille de la pierre à la cathédrale Notre-Dame de Noyon », La cathédrale Notre-Dame de Noyon. Cinq années de recherches, Mémoires de la Société historique et archéologique de Noyon, vol. 29, 2011, p. 105-111.
30 A. Timbert, op. cit., 2005, lettre n° 43 – 21 avril 1841, p. 73.
31 Commune de Chevroches à proximité de Dornecy et de la Mance.
32 U. Knop de Oppeln, op. cit., 2003, p. 137.
33 Méd. Arch. Pat. : 81/89/236/1 – Ancienne salle synodale de l’archevêché de Sens. Devis des travaux de restauration à entreprendre dans cet édifice, E. Viollet-le-Duc, Paris, 20 février 1851, fo10 v., fo25 r., fo33 r. Voir également : Ancienne salle synodale de l’archevêché de Sens. Série de prix des travaux de restauration à entreprendre dans cet édifice. Paris, 1er novembre 1858, E. Viollet-le-Duc, f°1.
34 À l’abbatiale de Pontigny par exemple, là où Viollet-le-Duc a noté un emploi rationaliste des matériaux, s’observe une répartition réfléchie entre un calcaire à oolithes et entroques (Bathonien) pour les soubassements et un calcaire blanc crayeux du type pierre de Tonnerre (Kimméridgien) pour les parties supérieures des parois et des supports. A. Blanc, « Les pierres de l’abbaye de Pontigny : recherches des carrières d’origine », Les cisterciens dans l’Yonne, dir. Terryl N. Kinder, Pontigny, 1999, p. 98.
35 A. Quesnoit, op. cit., 2007, p. 23-24.
36 « Le terme lave désigne des plaques de calcaire d’environ 30 à 60 cm de long sur 30 à 50 cm de large et 2 à 4 cm d’épaisseur, extraites des formations jurassiques qui se présentent en bancs minces ou "plaquettes" près de la surface du sol. Les laves une fois extraites et taillées aux dimensions sont entreposées verticalement sur le sol puis posées soit sur une voûte, soit sur une charpente, suivant un empilement presque horizontal, en utilisant les irrégularités de la surface du calcaire pour les caler. » A. Blanc, « Les toits en pierre plates », Monumental, n° 15, déc. 1996, p. 34.
37 Calcaire oolithique vacuolaire blanchâtre et blanc jaunâtre à grain moyen. Il se trouve dans le Bathonien supérieur et moyen.
38 Calcaire du Jurassique, type oolithique un peu crayeux, blanc à grains fins.
39 Commune de Thizy, vers Coutarnoux. Calcaire à entroques de teinte beige clair, bleu dans les bancs inférieurs, terrain jurassique, oolithe inférieure.
40 Le dallage de la nef a été refait en 1859, selon le mémoire de l’entrepreneur, en pierre de Thizy pour les travées 1 à 9, en pierre de la Mance pour la 10e travée proche du chœur et en vieilles pierres pour les bas-côtés.
41 Méd. Arch. Pat. : 81/21/436/1 – Mémoire des travaux d’art exécutés à l’église de Saint-Thibault pendant l’année 1844 par Marion, entrepreneur, Paris, 15 septembre 1845, art. 2e.
42 Méd. Arch. Pat. : 81/21/50/1 – Devis de travaux de consolidation et de restauration, E. Viollet-le-Duc, 20 décembre 1844, f°1 v.
43 Méd. Arch. Pat. : 81/71/32 – Porte Saint-André d’Autun. Décompte supplémentaire des travaux exécutés par Demay, entrepreneur, pendant l’exercice 1848. É. Amé, 20 juillet 1849, fo1 v.
44 Méd. Arch. Pat. : 81/89/152 – Église de Montréal. Devis des travaux à exécuter pour consolider l’édifice, Paris, le 31 octobre 1844, E. Viollet-le-Duc, fo1 v.
45 Méd. Arch. Pat. : 81/89/15 – Devis descriptif de la restauration de la galerie byzantine ainsi que de la terrasse à construire au-dessus des bureaux de la préfecture, dressé par Boivin, architecte départemental de l’Yonne et signé par E. Viollet-le-Duc, 2 mai 1845, fo1 r.
46 Méd. Arch. Pat. : 81/89/223 – Mémoire supplémentaire des travaux exécutés pendant l’Exercice 1842 à l’église de Saint-Père (Yonne) par Demay, entrepreneur, E. Viollet-le-Duc, 22 juin 1842, fo4 r. et fo5 r.
47 Méd. Arch. Pat. : 81/89/152 – Église de Montréal. Rapport d’E. Viollet-le-Duc, le 4 juin 1852, fo3 r.
48 Il s’agit d’un calcaire oolithique, Jurassique moyen, Bathonien.
49 Méd. Arch. Pat. : 81/21/462/1 – Pour le dallage : Mémoire des ouvrages exécutés à l’église Notre-Dame de Semur pendant l’année 1851 par Marion, entrepreneur, E. Viollet-le-Duc, 1852, fo1 v. Pour les contreforts : Mémoire des travaux exécutés à l’église Notre-Dame de Semur par Marion, entrepreneur, année 1843, E. Viollet-le-Duc, Semur, le 16 août 1844, fo1 v. Pour la flèche : Mémoire des ouvrages exécutés par Marion, année 1845, pour la réparation de la flèche de l’église Notre-Dame de Semur, E. Viollet-le-Duc, Semur, le 15 décembre 1845, fo2 r.
50 A. Timbert, « Formes, matériaux et techniques de construction à l’église Saint-Denis-de-L’Estrée d’E.-E. Viollet-le-Duc », Bautechnik des Historismus. Van den Theorien über gotische Konstruktionen bis zu den Baustellen des 19. Jahrhunderts, Actes du colloque international de Zurich, 17-18 février 2011, dir. Uta Hassler, Christoph Rauhut, coll. Santiago Huerta, München, Hirmer, 2012, p. 249-261.
51 P. Léonet, op. cit., 2008, vol. 1, p. 22. Ch. Bongart, op. cit., 2008, vol. 1., p. 27-30.
52 Il utilise la pierre de Chastillon-sur-Seine pour les soubassements des portails de la façade occidentale de la cathédrale Notre-Dame de Paris et de sa sacristie. N. Burette, op. cit., 2008, vol. 1, p. 35.
53 E.-E. Viollet-le-Duc, Dictionnaire raisonné…, Paris, 1854-1868, rééd. 1997, art. : « Construction », t. IV, p. 128.
54 G. Cotteau, « Note sur la provenance géologique des pierres de l’église de la Madeleine de Vézelay », Bulletin de la Société des sciences historiques et naturelles de l’Yonne, t. XVIII, 1864, p. 156-157. Sur cette pierre, pour complément, voir P. Rat, Terroirs et Monuments de France, 1992, p. 45.
55 Commune de Dornecy, entre Vézelay et Clamecy.
56 A. Timbert, op. cit., 2005, lettre n° 17 – 19 juillet 1840, p. 37.
57 Ibidem, 2005, lettre n° XXVI – 28 mai 1841 p. 88.
58 Ibid., 2005, lettre n° 12 – 7 juillet 1840, p. 31.
59 Ibid., 2005, lettre n° 17 – 19 juillet 1840, p. 38.
60 Ibid., 2005, lettre n° VII – 24 juillet 1840, p. 39.
61 R. Vassas, « Travaux à la Madeleine de Vézelay, voûtes de la nef », Monuments historiques de la France, vol. 14, n° 1, 1968, p. 56-61.
62 Annexe II : Saint-Père-sous-Vézelay – pièce n° 1.
63 Annexe II : Beaune – pièce n° 1.
64 B. Delarozière, « Lave et laviers de Bourgogne », Lithiques, n° 6, 1989, p. 29. Le principal inconvénient de ce matériau est le poids. Celui-ci varie, en effet, de 500 à 600 kg au m2 et oblige la mise en œuvre de charpentes très fortes. Autre inconvénient, son prix de revient. Dès le XIXe siècle il semble déjà élever ce qui n’était pas le cas au Moyen Âge durant lequel la lave était arrachée dans les lavières locales accessibles par le droit d’usage.
65 Annexe II : Montréal – pièce n° 1.
66 Méd. Arch. Pat. : 81/21/58 – Mémoire des dépenses faites à l’église de Flavigny, année 1845, par Marion, entrepreneur, Semur, le 25 décembre 1845, E. Viollet-le-Duc, Paris, le 31 décembre 1845, art. 1, fo1 v.
67 Annexe I : Saint-Père-sous-Vézelay – pièce n° 4.
68 Annexe II : Beaune – pièce n° 1.
69 P. Mérimée, E.-E. Viollet-le-Duc, op. cit., 1849, art. 50, p. 18 : « L’architecte mettra tous ses soins à ce que l’entretien des couvertures ne soit jamais négligé ; il ne changera jamais la nature des matériaux d’une couverture sans une autorisation spéciale. »
70 A.-F. Garçon, Mine et métal. 1780-1880, les nons-ferreux et l’industrialisation, Rennes, 1998, p. 87-109.
71 P. Lebouteux, « Matériaux et formes : l’évolution de l’emploi du métal dans la couverture », Les couvertures métalliques, Actes du colloque de Paris, 4 et 5 déc. 1997, Les Cahiers de la section française de l’ICOMOS, n° 19, 1997, p. 12.
72 R. Bordeaux, Traité de la réparation des églises. Principes d’archéologie pratique, Evreux, 1862, p. 59.
73 F. Bercé, op. cit., 1979, p. 88.
74 E.-E. Viollet-le-Duc, 11e Entretien, Paris, 1863-1872, rééd. 2008, p. 31.
75 Au-delà des matériaux, les techniques sont également novatrices comme l’illustre un recours à la silicatisation à Amiens et à Saint-Denis (M. Derouette, op. cit., 2008, vol. 1, p. 39. M.-C. Bonnin, op. cit., 2008, vol. 1, p. 16), mais également l’usage, dans des proportions inattendues, du plâtre pour la mise en œuvre et le liaisonnement des maçonneries (M. Derouette, op. cit., 2008, vol. 1, p. 39. Ch. Bongart, op. cit., 2008, vol. 1, p. 48) ou encore celui de l’asphalte, à Notre-Dame de Paris (N. Burette, op. cit., 2008, vol. 1, p. 42). Pour complément : J.-M. Leniaud, op. cit., 1993, p. 374.
76 L. Saulnier, « Vézelay : la restauration de l’église de la Madeleine », Viollet-le-Duc, cat. expo., 1980, p. 60.
77 A. Timbert, « Les arcs-boutants de la nef de l’église abbatiale Sainte-Marie-Madeleine de Vézelay », Annales de Bourgogne, t. LXXIV, 2002, p. 25-38.
78 Méd. Arch. Pat. : 81/89/302 et 303.
79 Il semble à cet égard avoir retenu l’un des principes du chantier de la Sainte-Chapelle : J.-M. Leniaud, op. cit., 1980, p. 107.
80 G. Cotteau, op. cit., 1864, p. 154.
81 Ch. Bongart, op. cit., 2008, vol. 1, p. 38.
82 P. Léon, La vie des monuments français, destruction, restauration, Paris, 1951, p. 232.
83 J.-M. Leniaud, op. cit., 1980, p. 107.
84 « Comme j’étais à admirer la façade de l’église, j’ai vu que l’on donnait une couleur au grand portail gothique, récemment restauré. Cette couleur, destinée à le mettre en rapport avec ce qui l’environne, me semble un peu trop bleue. » Stendhal, op. cit., 1838, Bourges, 21 juin 1837.
85 C. Ullmann, op. cit., 2011, p. 33.
86 M. Derouette, op. cit., 2008, vol. 1, p. 30.
87 Th. Château, Technologie du bâtiment ou étude complète des matériaux de toute espèce employés dans les constructions depuis leur fondation jusque et y compris leur décoration, Paris, 1880, p. 253.
88 Arch. dép. Oise : 3 V 5 – Cahier des charges générales, 30 août 1858.
89 Annexe III : pièce n° 88 – 16 février 1851.
90 Annexe III : pièce n° 78 – 9 août 1850.
91 A. Quesnoit, op. cit., 2007, p. 24.
92 Pour Autun : Annexe II : Autun – pièce n° 1. Pour Semur : Méd. Arch. Pat. : 81/21/77 – Procès verbal de réception des travaux de maçonnerie exécutés à l’église Notre-Dame de Semur pendant l’exercice 1843, 16 août 1843, E. Viollet-le-Duc.
93 Annexe VI : Sens – pièce n° 2, art. 4.
94 Arch. dép. Yonne : 74 T 12 – Église de Montréal (Yonne). Travaux de restauration. Cahier des Charges. E. Viollet-le-Duc et F.-N. Comynet, contresigné par A. Delassasseigne, vu par le préfet de l’Yonne, Saladin, Auxerre, le 24 juillet 1845 : art. 6.
95 Annexe VI : Vézelay – pièce n° 1.
96 Annexe II : Autun – pièce n° 1.
97 « On ne comprend pas l’art du Moyen Âge, on se fait l’idée la plus mesquine et la plus fausse de ces grandes créations d’architecture et de sculpture, si, dans sa pensée, on ne les rêve pas couvertes du haut en bas de couleurs et de dorures. Des toutes les importations de l’Orient, il n’en est peut-être pas qui se soient répandues avec plus de faveur et plus universellement que le goût et le besoin des couleurs. » L. Vitet, op. cit., 1831, rééd. 1846, p. 65.
98 R. Bordeaux, op. cit., 1862, p. 172-176. J.-P. Schmit, Nouveau manuel complet de l’architecte des monuments religieux ou Traité d’application pratique de l’archéologie chrétienne, à l’entretien, à la restauration et à la décoration des églises, Paris, 1859, p. 139. Abb. Desrosiers, « De l’usage du badigeon », Bull. mon., 1859, p. 219-229.
99 V. Hugo, Le Rhin. Lettre à un ami, Paris, t. II, 1842, p. 296.
100 Annexe III : pièce n° 3 – 27 août 1846.
101 Annexe III : pièce n° 74 – 10 mars 1850.
102 P. Mérimée, E.-E. Viollet-le-Duc, op. cit., 1849, art. 71. J.-B. Lassus, E.-E. Viollet-le-Duc, op. cit., 1843, p. 34 : « […] le mode d’exécution de ce travail nous parait être de la plus grande importance. Il est évident que dans ce cas la brosse et l’éponge peuvent être seules employées, et que le grattage doit être totalement exclu. »
103 Capelly, « Moyen de débadigeonner les murs », Bull. mon., 1859, p. 749-750.
104 Annexe I : Semur-en-Auxois – pièce n° 10.
105 Annexe II : Saint-Père-sous-Vézelay – pièce n° 2.
106 Nos connaissances sur la pierre employée à cette destination sur d’autres chantiers sont assez faibles. Tout au plus pouvons-nous mentionner l’emploi de liais (mais de quelle région ?) pour les sculptures extérieures de la salle synodale de Sens. Méd. Arch. Pat. : 81/89/236/1 – Restauration de l’ancienne salle synodale de l’archevêché de Sens. Devis des travaux de sculpture, 17 novembre 1856, E. Viollet-le-Duc. Liais pour les têtes de statues qui somment les contreforts f°2 r.
107 L. Saulnier, N. Stratford, op. cit., 1984, p. 18.
108 Pour complément sur cette question, voir A. Quesnoit, op. cit., 2007, p. 28.
109 Méd. Arch. Pat. : 80/15/7 – Proc.-verb. comm. Mon. hist., vendredi 16 avril 1850, f°16 ; vendredi 7 juin 1850, f°34-35 ; vendredi 5 juillet 1850, f°57.
110 J.-M. Leniaud, op. cit., 2012, p. 88.
111 S. Lagabrielle, « Mouler, créer. L’utilisation des moulages dans les restaurations des monuments historiques », Le plâtre : l’art de la matière, Paris, 2000, p. 120.
112 J.-M. Leniaud, op. cit., 1980, p. 105. J. Mayer, « L’utilisation du plâtre dans un grand chantier de restauration au XIXe siècle : la cathédrale Notre-Dame de Paris », Le plâtre : l’art de la matière, Paris, 2000, p. 129. Pour complément : S. Le Clech-Charton, « La cathédrale d’Autun et son portail du Jugement dernier, XIXe-XXe siècles : objets étudiés, restaurés, déplacés », Révélation. Le grand portail d’Autun, dir. C. Ullmann, Lyon, 2011, p. 75-95.
113 L. Saulnier, « La Madeleine de Vézelay », Viollet-le-Duc dans l’Yonne, Cahiers des Archives n° 2, 1980, p. 14-16. Sur Saint-Denis : J.-M. Leniaud, op. cit., 2012, p. 46.
114 Arch. dép. Yonne : 74 T 1 – Ministère de l’Intérieur, direction des Beaux-Arts, circulaire n° 54. Paris, le 16 décembre 1842, signé T. Duchatel. Dans cette circulaire le ministère s’inquiète f°1 : « […] que quelques sculptures intéressantes, dans des édifices classés parmi les monuments historiques, ont subi des mutilations fâcheuses par suite de la maladresse avec laquelle on a essayé d’en prendre des moules ou des empreintes. […] Peu d’artistes, d’ailleurs, sont assez adroits pour prendre ces moules ou ces empreintes sans endommager plus ou moins, même dans les circonstances les plus favorables, les sculptures dont ils veulent obtenir la reproduction. »
115 Voir les insertions de pierres neuves en tiroir fixées avec des goujons ou du mortier par Brun sur les portails occidentaux de Saint-Denis en 1837 et par Robinet sur le portail de la façade de Senlis en 1845-46. F. Joubert, La sculpture en France, XIIe-XIIIe siècles, Paris, 2008, p. 56-57.
116 S. D. Daussy, « L’élaboration d’une doctrine de restauration à Amiens au XIXe siècle », Restaurer au XIXe siècle, Actes de la Journée d’études, 16 fév. 2010, dir. J.-F. Luneau et B. Phalip, Clermont-Ferrand, Presses Univ. Blaise-Pascal, coll. « Histoires croisées », 2012, p. 35-45.
117 À Notre-Dame de Paris, dès 1844, certains astragales de chapiteaux sont partiellement refaits en plomb coulé. Il semblerait que la technique ait été rapidement abandonnée par Viollet-le-Duc. J. Mayer, op. cit., 1999, p. 357.
118 L. Pressouyre, « Viollet-le-Duc et la sculpture », Viollet-le-Duc, cat. expo., 1980, p. 144.
119 L. Saulnier, « Vézelay : la restauration de la sculpture », Viollet-le-Duc, cat. expo., 1980, p. 152.
120 Arch. nat. : F19 7656 – Rapport sur la restauration générale de la cathédrale de Bourges. Alavoine, 4 juin 1825. Pour complément : P. Ponsot, « Le portail Saint-Ursin de la cathédrale de Bourges : un gothique sédimentaire ? », Mise en œuvre des portails gothiques. Architecture et sculpture, Actes du colloque d’Amiens, 19 janv. 2009, Paris, 2011, p. 95-110.
121 Méd. Arch. Pat. : 81/89/236/1 – Restauration de l’ancienne salle synodale de l’archevêché de Sens. Devis des travaux de sculpture, 17 novembre 1856, E. Viollet-le-Duc : Frais de moulages et estampages, f°7 r. Pour complément : L. Saulnier, « Sens, palais synodal : la restauration de la sculpture », Viollet-le-Duc, cat. expo., 1980, p. 154-155.
122 Annexe III : pièce n° 5 – 12 septembre 1846. L’estampage est employé en dernier recours : P. Mérimée, E.-E. Viollet-le-Duc, op. cit., 1849, art. 59, p. 24 : « Les sculptures d’ornement à reproduire seront exécutées le plus possible d’après les fragments anciens eux-mêmes et, à leur défaut, d’après des estampages ou des dessins modelés. »
123 Ibidem, 1849, art. 32, p. 7.
124 Dans les chapitres III et IV du devis de 1844 concernant la galerie des Rois : « Les architectes insistent sur la nécessité de conserver et de classer tous les fragments sculptés déposés, de numéroter et de classer les moulages réalisés sur les éléments anciens […]. » J. Mayer, op. cit., 1999, p. 355.
125 P. Mérimée, E.-E. Viollet-le-Duc, op. cit., 1849, art. 32, p. 7. Pour complément : P. Bonnet-Laborderie, « Le dépôt lapidaire de Pierrefonds et la statuaire de Viollet-le-Duc », Actes du colloque Viollet-le-Duc, 1980, Paris, 1982, p. 183-195.
126 A. Timbert, « Sauvegarde et oubli des dépôts lapidaires. Le cas de Noyon et de la Picardie », Les dépôts lapidaires de Picardie : l’architecture en objets, Actes de la Journée internationale d’Études, Amiens, 22 septembre 2006, éd. du CAHMER, 2008, vol. 21, p. 11-40.
127 Annexe III : pièce n° 178 – 17 octobre 1858.
128 Annexe II : Vézelay – pièce n° 2 : « Tous les objets de quelqu’importance archéologique qui sont trouvés dans les travaux sont déposés dans une partie réservée de l’édifice où ils pourront être classés en ordre plus tard. »
129 Méd. Arch. Pat. : 80/15/9 – Proc.-verb. comm. Mon. hist., 27 août 1861, 41e séance, f°141 : « Viollet-le-Duc, Rapporteur. La Société Eduenne d’Autun avait proposé l’année dernière d’approprier à l’installation d’un musée lapidaire la tour droite de l’ancienne porte St André classée parmi les Monuments historiques. Elle soumettait cette proposition à l’approbation de la Commission. Le rapporteur observe que depuis cette époque la société Eduenne a modifié ses projets et que l’acquisition d’un local plus vaste a été proposée au Conseil municipal d’Autun. »
130 Méd. Arch. Pat. : 81/89/236/1 – Aménagement du Palais synodal en musée lapidaire, 1881-1890.
131 Annexe III : pièce n° 71 – 23 septembre 1849. Notons à cet égard que Viollet-le-Duc n’hésite pas à recourir à l’estampage pour témoigner, auprès des membres de la Commission, de la qualité de la sculpture de Beaune dans la perspective de sa restauration. Sur ce sujet : Annexe II : Beaune – pièce n° 1.
132 D. Borlée, op. cit., 2011, p. 182.
133 Ibidem, 2011, p. 108-109.
134 Annexe II : Vézelay – pièce n° 1.
135 D. Borlée, op. cit., 2011, p. 210-212.
136 Méd. Arch. Pat. : 81/21/168/5 – Lettre de Viollet-le-Duc à la commission des Monuments historiques, 8 juillet 1875.
137 C. Hohl, « L’église de Saint-Florentin », Viollet-le-Duc dans l’Yonne, Cahiers des Archives n° 2, 1980, p. 26-27.
138 Méd. Arch. Pat. : 81/89/236/1 : Ancienne salle synodale de l’Archevêché de Sens. Devis des travaux de restauration à entreprendre dans cet édifice, E. Viollet-le-Duc, Paris, 20 février 1851, fo102 v.
139 M. Derouette, op. cit., 2008, vol. 1, p. 45.
140 J.-M. Leniaud, op. cit., 2012, p. 151.
141 Le terme « tuile » est parfois employé par Viollet-le-Duc pour « dalle », à Montréal : « Tuiles en pierre de Coutarnoux, sur l’arc boutant. » Méd. Arch. Pat. : 81/89/38 – Devis des travaux à exécuter pour consolider l’édifice, 31 octobre 1844, E. Viollet-le-Duc. La même remarque est possible pour Saint-Père-sous-Vézelay : « Ces arcs-boutans, construits assez grossièrement sont cependant fort solides et bien conservés. Ceux du chœur ont seulement quelques unes de leurs tuiles et quelques pierres gelées, une fois ces pierres remplacées, et les joints bien remplis, je pense qu’ils vaudront de la maçonnerie neuve. » Annexe I : Saint-Père-sous-Vézelay – pièce n° 1.
142 Annexe I : Vézelay – pièce n° 1 ; Montréal – pièce n° 3.
143 Annexe I : Montréal – pièce n° 5 et Annexe II : Montréal – pièce n° 2.
144 Méd. Arch. Pat. : 81/89/223 – Lettre de Lenormant à la Commission des Monument historiques, 20 juillet 1841. Annexe I : Saint-Père-sous-Vézelay – pièce n° 4.
145 Annexe I : Semur-en-Auxois – pièce n° 10.
146 Méd. Arch. Pat. : 81/89/302 – Soumission de Chevalier, tuilier à Avallon, pour l’église de Montréal. Avallon, 15 mai 1845. Ratifiée par le préfet, Saladin, le 3 juillet 1846.
147 Méd. Arch. Pat. : 81/89/302 – Soumission de Chevalier, tuilier à Avallon, pour l’église de la Madeleine à Vézelay. Avallon, 15 mai 1846. Ratifée par le préfet, Saladin, le 2 juillet 1846.
148 Méd. Arch. Pat. : 81/21/77 – Mémoire des travaux exécutés à l’Église de Semur pendant l’année 1846 par Marion, Entrepreneur d’après les ordres de M. Viollet-Leduc, architecte.
149 Annexe I : Saint-Père-sous-Vézelay – pièce n° 7.
150 Méd. Arch. Pat. : 81/21/58 – Mémoire des travaux d’art exécutés à l’église de Flavigny, pendant l’année 1844, par Marion, entrepreneur, d’après les ordres de M. Viollet-le-Duc, architecte.
151 Annexe II : Vézelay – pièce n° 2.
152 E.-E. Viollet-le-Duc, Dictionnaire raisonné…, Paris, 1854-1868, rééd. 1997, art. : « Tuile », t. IX, p. 326.
153 P. Mérimée, E.-E. Viollet-le-Duc, op. cit., 1849, art. 54, p. 20.
154 Annexe II : Beaune – pièce n° 1.
155 La même année il propose, pour son second projet de réfection de la maison de ville de Saint-Antonin (29 mars 1844) une toiture en tuiles vernissées. J.-P. Midant, op. cit., 2001, p. 31.
156 Méd. Arch. Pat. : 81/89/236/1 – Ancienne salle synodale de l’archevêché de Sens. Devis des travaux de restauration à entreprendre dans cet édifice, E. Viollet-le-Duc, Paris, 20 février 1851, fo116 v.
157 Annexe II : Sens – pièce n° 1.
158 F.-O. Didier, « Les couvertures en tuiles vernissées en Bourgogne. Quelques expériences récentes », Monumental, n° 15, déc. 1996, p. 70-77.
159 E.-E. Viollet-le-Duc, Dictionnaire raisonné…, Paris, 1854-1868, rééd. 1997, art. : « Tuile », t. IX, p. 331. Pour complément sur la question nous renvoyons aux recherches fondamentales de S. Aumard, « Nouvelles perspectives d’études sur les tuiles médiévales : recherches sur les toitures de monuments bourguignons du Nord », 4e Congrès international d’archéologie médiévale et moderne. L’Europe en mouvement, 3-8 sept. 2007, http://medieval-europe-paris-2007.univ-paris1.fr
160 À la même époque il réalise la couverture en tuile polychrome du château de Pupetières (Isère) et intervient dans la genèse du projet de l’église Saint-Bruno de Voiron (Rhône-Alpes), construite par Berruyer entre 1864 et 1870, et bénéficiant d’une couverture en tuiles émaillées. F. Botton, « Restauration des couvertures du château de Pupetières », Monumental, n° 15, déc. 1996, p. 65-69. J.-M. Leniaud, op. cit., 1993, p. 618.
161 H. Sigros, op. cit., 1979, p. 125.
162 A. Timbert, op. cit., 2005, lettre n° I – 12 mai 1840, p. 19.
163 Ibid., 2005, lettres n° 4 – 10 mai 1840, p. 18 ; n° 5 – 25 mai 1840, p. 20.
164 Ibid., 2005, lettre n° 4 – 10 mai 1840, p. 18.
165 Ibid., 2005, lettre n° III – 28 mai 1840, p. 23.
166 Méd. Arch. Pat. : 81/21/462/1 – Mémoire des travaux d’art faits à l’église Notre-Dame de Semur pendant l’année 1844 par Marion, entrepreneur, art. 1. À Semur, le 15 août 1845.
167 Méd. Arch. Pat. : 81/89/152 – Devis des travaux à exécuter pour consolider l’édifice, E. Viollet-le-Duc, Paris, le 31 octobre 1844, fo3 r.
168 Méd. Arch. Pat. : 81/21/58 – Mémoire des ouvrages faits à l’église de Flavigny pendant l’année 1846 par Marion, entrepreneur, E. Viollet-le-Duc, 3 novembre 1846, fo1 r.
169 Méd. Arch. Pat. : 81/21/50/1 – Devis de travaux de consolidation et de restauration, E. Viollet-le-Duc, 20 décembre 1844, fo2 v.
170 Méd. Arch. Pat. : 81/89/236/1 – Ancienne salle synodale de l’archevêché de Sens. Devis des travaux de restauration à entreprendre dans cet édifice, E. Viollet-le-Duc, Paris, 20 février 1851, fo106, v.
171 Arch. dép. Yonne : 74 T 12 – Église de Montréal (Yonne). Travaux de restauration. Cahier des Charges. Maçonnerie et charpente, signé E. Viollet-le-Duc et F.-N. Comynet, contresigné par A. Delassasseigne, vu par le préfet de l’Yonne, Saladin, Auxerre, le 24 juillet 1845 : art. 20.
172 A. Timbert, op. cit., 2005, lettres n° 2 – 21 avril 1840, p. 16-17 ; n° 5 – 25 mai 1840, p. 20-22.
173 Annexe III : pièce n° 12 – 18 novembre 1846.
174 Annexe III : pièce n° 6 – 10 mars 1849.
175 Annexe III : pièce n° 90 – le dimanche [s. d.].
176 Méd. Arch. Pat. : 81/89/236/1 – Ancienne salle synodale de l’archevêché de Sens. Devis des travaux de restauration à entreprendre dans cet édifice, E. Viollet-le-Duc, Paris, 20 février 1851, fo104 v. et 105 r. La location s’étendra également aux cintres et aux étais. Viollet-le-Duc procède de même à Pierrefonds : Ch. Bongart, op. cit., 2008, vol. 1, p. 26.
177 Méd. Arch. Pat. : 81/89/152 – Devis des travaux à exécuter pour consolider l’édifice, Viollet-le-Duc, Paris, le 31 octobre 1844, fo2 r. A. Timbert, op. cit., 2005, lettre n° IV – 5 juin 1840, p. 26.
178 Méd. Arch. Pat : 81/21/462/1 – Procès verbal de réception des travaux exécutés à l’église Notre-Dame de Semur pendant l’année 1847 par Marion, entrepreneur, Semur, E. Viollet-le-Duc, 25 décembre 1847, fo1 r.
179 A. Timbert, F. Lupo, op. cit., 2012, p. 99-109. Notons enfin que les instruments de levage sont réduits en nombre. Tout au plus est-il possible de mentionner, pour le chantier de Vézelay, exceptionnel par les dimensions du monument, la nécessité d’acquérir « […] des moufles, des grandes chèvres et des grandes échelles. » A. Timbert, op. cit., 2005, lettre n° 9 – 10 juin 1840, p. 28.
180 A. Picon, dir., L’art de l’ingénieur : constructeur, entrepreneur, inventeur, Paris, 1997, p. 368-369.
181 Annexe II : Beaune – pièce n° 1. Le système est également employé, partiellement cependant, à la cathédrale de Lausanne. H. Sigros, op. cit., 1979, p. 279, n° 220.
182 E.-E. Viollet-le-Duc, 18e Entretien, Paris, 1863-1872, rééd. 2008, p. 339.
183 Voir néanmoins la chapelle de Pierrefonds.
184 J.-M. Leniaud, op. cit., 1980, p. 102.
185 J.-M. Leniaud, op. cit., 1993, p. 290-291.
186 A. Saint-Denis, M. Plouvier, C. Souchon, Laon, la cathédrale, Paris, 2002, p. 111-138.
187 J.-F. Belhoste, « La fonte et le fer dans la restauration des cathédrales au XIXe siècle », L’homme et la matière. L’emploi du plomb et du fer dans l’architecture gothique, Actes du colloque de Noyon, 16-17 nov. 2006, Paris, 2009, p. 200-201.
188 N. Navarro, op. cit., 2008, p. 35.
189 Y.-M. Froidevaux, « Viollet-le-Duc restaurateur et son influence », Actes du colloque Viollet-le-Duc, 1980, Paris, 1982, p. 149.
190 B. Lemoine, « Viollet-le-Duc et l’architecture métallique », Viollet-le-Duc, cat. expo., 1980, p. 248-259. J.-B. Ache, « Viollet-le-Duc, théoricien du fer », Actes du colloque Viollet-le-Duc, 1980, Paris, 1982, p. 49-62.
191 P.-A. Gatier, Th. Algrin, « Le fer dans la restauration au XIXe siècle », Monumental, 1996, p. 35-39.
192 E.-E. Viollet-le-Duc, Dictionnaire raisonné…, Paris, 1854-1968, t. I, p. 463, art. : « Armature » ; t. II, p. 397, art. : « Chaînage » ; t. IV, p. 199, art. : « Crête » ; t. V, p. 394, art. : « Fenêtre » ; t. VI, p. 318, art. : « Meneau ». Pour complément : A. Erlande-Brandenburg, « La pierre armée aux XIIe et XIIIe siècles », L’homme et la matière. L’emploi du plomb et du fer dans l’architecture gothique, Actes du colloque de Noyon, 16-17 nov. 2006, Paris, 2009, p. 121-130.
193 F. Hamon, op. cit., 2008, p. 304
194 Voir notamment les restaurations de Cheussey à Amiens : M. Derouette, op. cit., 2008, vol. 1, p. 15.
195 Entre 1844 et 1846 les colonnes de la galerie des Rois de Notre-Dame de Paris sont dotées de goujons en cuivre. J. Mayer, op. cit., 1999, p. 359.
196 A. Timbert, op. cit., 2005, lettre n° 56 – 9 juin 1841, p. 90.
197 Ibid., 2005, lettres n° 27 – 11 octobre 1840, p. 50 ; n° 28 – 21 octobre 1840, p. 52, n° 29 – 22 octobre 1840, p. 53.
198 Méd. Arch. Pat. : 81/71/32 – Porte Saint-André à Autun. Projet de consolidation, E. Viollet-le-Duc, s. d. [1844], fo4 v.
199 J.-M. Leniaud, op. cit., 1980, p. 101.
200 J.-M. Leniaud, op. cit., 1993, p. 285.
201 Annexe I : Montréal – pièces n° 5 et 8.
202 Annexe II : Montréal – pièce n° 2.
203 Annexe I : Semur-en-Auxois – pièce n° 10.
204 Annexe II : Saint-Thibault-en-Auxois – pièce n° 1. Pour compléments : Annexe I : Vézelay – pièce n° 24. Annexe II : Saulieu – pièce n° 2 et Vézelay – pièce n° 4.
205 Annexe II : Vézelay – pièce n° 1.
206 Méd. Arch. Pat. : 81/21/58 : Mémoire des travaux d’art exécutés à l’église de Flavigny pendant l’année 1884 par Marion, entrepreneur, E.Viollet-le-Duc, 15 août 1845, fo1.
207 Annexe II : Montréal – pièce n° 3.
208 Annexe II : Montréal – pièce n° 3. Pour complément : Méd. Arch. Pat. : 81/89/152 – Rapport. Église de Montréal, E. Viollet-le-Duc, Paris, 25 janvier 1851, fo5 r.
209 Méd. Arch. Pat. : 81/21/462/1 – Mémoire des travaux exécutés à l’église de Semur pendant l’année 1846 par Marion, entrepreneur, E. Viollet-le-Duc, 22 janvier 1847, fo2 v.
210 P. Mérimée et E.-E. Viollet-le-Duc, op. cit., 1849, art. 42, p. 12.
211 Sur cette technique : M. Tricoit, « Abbatiale de Saint-Denis. Liaisonnage au plomb des réseaux du triforium », L’homme et la matière : l’emploi du plomb et du fer dans l’architecture gothique, Actes du colloque de Noyon, 16-17 nov. 2006, Paris, 2009, p. 149-157.
212 J. Mayer, op. cit., 1999, p. 359, n. 21.
213 Annexe II : Autun – pièce n° 2.
214 Annexe III : pièce n° 56 – 14 octobre 1848.
215 Annexe I : Saint-Père-sous-Vézelay – pièce n° 9.
216 Annexe I : Semur-en-Auxois – pièce n° 10.
217 Annexe II : Vézelay – pièce n° 1.
218 Annexe I : Semur-en-Auxois – pièce n° 10.
219 Annexe II : Saint-Thibault-en-Auxois – pièce n° 1.
220 Annexe II : Beaune – pièce n° 1.
221 Annexe II : Autun – pièce n° 1.
222 E.-E. Viollet-le-Duc, P. Mérimée, op. cit., 1849, art. p. 14.
223 Pour complément : J.-M. Leniaud, op. cit., 1980, p. 82-83.
224 Annexe I : Vézelay – pièce n° 25. Quelques années plus tard, sur le chantier de la cathédrale de Sens, Lance préconise : « Les tuyaux de descente seront faits en plomb coulé en table et soudés. » Arch. nat. : F19 7884 – Cathédrale de Sens. Devis descriptif des travaux de grosses réparations à exécuter pour la restauration du collatéral et des chapelles sud. Paris, 24 novembre 1863. Signé : Lance.
225 Méd. Arch. Pat. : 81/21/436/1 – Mémoire des travaux d’art exécutés à l’église Saint-Thibault pendant l’année 1844 par Marion, entrepreneur, E. Viollet-le-Duc, Paris, 15 septembre 1845, art. 2.
226 M.-C. Bonnin, op. cit., 2008, vol. 1, p. 6. J.-M. Leniaud, op. cit., 2012, p. 150.
227 J.-M. Leniaud, op. cit., 1993, p. 42.
228 A.-Ch. Perrot, « L’insoutenable vérité ou la politesse du mensonge », Restauration des façades des monuments urbains. Contraintes, problèmes et satisfactions, Paris, 2010, p. 34-43.
229 J.-M. Leniaud, op. cit., 1980, p. 77-82.