1 Al-Quds, (la sacrée) en arabe et Yerushaláyim (havre de Paix) en hébreu.

2 Écrivain israélien né en Galicie en 1888 et mort à Jérusalem en 1970.

3 Écrivain israélien né en 1926 à Jérusalem et mort à Paris en 1997.

4 Écrivain israélien né à Jérusalem en 1954.

5 Écrivain israélien né à Jérusalem en 1939.

6 Par exemple les écrivains juifs-irakiens Samir Naqqach (1938-2004) et Ishaq Bar-Moshe (Kheldhouni) (1927-2003).

7 Écrivain iraquien né à Bagdad en 1967.

8 Le Saint Sépulcre et les autres lieux saints chrétiens visités par les Chrétiens de Syrie et d’Irak avant 1967. Seuls les chrétiens (et musulmans) des pays qui ont « normalisé » leurs relations avec Israël peuvent se rendre en pèlerinage à Jérusalem. Il s’agit notamment de la Jordanie, de l’Égypte, du Maroc et de la Tunisie.

9 Poète palestinien né en 1941 à al-Birwah (Palestine mandataire) et mort à Houston (Texas) en 2008.

10 Vincent, Lemire. Jérusalem histoire d’une ville-monde, 2016, 4^e de couverture.

11 Il s’agit évidemment du conflit israélo-palestinien et dans le cas de la ville de Jérusalem, Israël célèbre cette année le 50^e anniversaire de l’occupation de Jérusalem-est en 1967. Cette partie de la ville est proclamée par les Palestiniens comme capitale du futur État palestinien.

12 Catastrophe en arabe, pour décrire l’expulsion et le déplacement de centaines de milliers de Palestiniens en 1948.

13 Nous faisons références aux romans publiés en hébreu par Atallah Mansour, Anton Shammas, Naïm Araïdi, Sayed Kashua ou Aymen Sickseck. Voir la thèse de doctorat de Sadia Agsous Langues et identités : l’écriture romanesque en hébreu des Palestiniens d’Israël (1966 – 2013), Inalco 2015.

14 Romans : Les Arabes dansent aussi (2002), Et il y eut un matin (2004), Deuxième personne (2010). Nouvelle : Herzl disparaît à minuit (2005).

15 Les Palestiniens en Israël ont été sujets à un régime militaire en Israël de 1948 à 1966.

16 Anton Shammas bien que parfaitement bilingue arabe-hébreu n’a publié qu’un seul roman en hébreu.

17 Appelée aussi Intifada el-Aqsa – la révolte de l’esplanade des Mosquées.

18 Éric Bordas et al. offrent une définition similaire : « Le fantastique ne se confond donc pas avec l’affabulation des féeries, mais se caractérise par une intrusion brutale du mystère dans la vie réelle. » (E. Bordas et al., 2009 : 176).

19 Il s’agit dans le texte de Rosh Hashana, une fête juive, mais dans un contexte de guerre qui n’est pas spécifié. Il est probablement question de la période post-1967 puisque le Mur Occidental se trouve dans la partie est de Jérusalem qui était sous contrôle jordanien de 1948 à 1967.

20 Boisson alcoolisée produite et consommée dans la région du Moyen-Orient.

21 Quartier palestinien de Jérusalem-Est.

22 Si l’expression anglaise « No-Man’s Land » représente un espace non habité par des humains, il est dans le contexte israélien un symbole spatial, social, identitaire, culturel et politique qui échappe aux normes hégémoniques. Le No-Man’s Land, un espace dans lequel Palestiniens-Juifs et arabe-hébreu se rencontrent par l’intermédiaire de la littérature et la traduction.

23 Voir les orientations de Michel Collot (2011) concernant ses recherches et réflexions sur la géographie littéraire.