1Propos de Jean Dubuffet : « mais les œuvres que je considère sont beaucoup plus “brutes” que ces “peintures naïves” ; ce sont des œuvres tout à fait étrangères aux voies de la culture et aux voies classiques » dans Jean Dubuffet, Prospectus et tous écrits suivants, tome I, Paris, Gallimard, 1967, p. 217.
2Marianne Jakobi, Julien Dieudonné, Dubuffet, Paris, Éditions Perrin, 2007.
3Jean Dubuffet, Biographie au pas de course, Paris, Gallimard, 2001, p. 53.
4Marianne Jakobi, Julien Dieudonné, 2007, op. cit., p. 165.
6Martine Deyres, Les Heures Heureuses, Les films du Tambour de Soie, France, 77 min, 2019.
7Jean Dubuffet, tome I, 1967, op. cit., p. 206.
8Marianne Jakobi, Julien Dieudonné, 2007, op. cit., p. 147.
9Hans Prinzhorn, Expressions de la folie, dessins, peintures, sculptures d’asile, Paris, Gallimard, 1984, trad. par Marielène Weber et Alain Brousse, p. 49.
10Céline Delavaux, L’Art brut, un fantasme de peintre, Paris, Flammarion, 2018, p. 162.
12Jean Dubuffet, tome I, 1967, op. cit., p. 201.
14Céline Delavaux, 2018, op. cit., p. 14.
15Jean Dubuffet, Asphyxiante culture, Paris, Éditions de Minuit, 1986, p. 59.
16Céline Delavaux, 2018, op. cit., p. 92.
17Jean Dubuffet, tome I, 1967, op. cit., p. 206-207.
19Marianne Jakobi, Julien, Dieudonné, 2007, op. cit., p. 11.
20Jean Dubuffet, 2001, op. cit., p. 23.
21Marianne Jakobi, Julien, Dieudonné, 2007, op. cit., p. 15.
22Site internet de la Collection de l’Art Brut, Lausanne. « L’Envers et l’Endroit, du 8 juin 2007 au 27 janvier 2008 ».
23Lucienne Peiry, L’art brut, Paris, Flammarion, 2016, p. 134-136-137.
24Simone de Beauvoir, Le Deuxième sexe, tome I, Paris, Gallimard, 1986.
25Julie Crenn, Arts textiles contemporains : quêtes de pertinences culturelles, thèse de doctorat en Arts, Histoire et Théorie sous la direction Sylviane Leprun et Bernard Lafargue, université Michel-de-Montaigne Bordeaux 3, 2012, p. 3-4.
29Éric Tariant, « L’art brut au féminin : un hymne à la vie », Le Temps, 2019.
30Pauline Goutain, Les mythologies matérielles de l’Art Brut, 1945-1976, Thèse de doctorat en Histoire de l’Art et Cultural Mediations sous la direction de Fabrice Flahutez et Jill Carrick, université Paris-Nanterre et Carleton University, 2017.
31Propos de Jean Dubuffet : « C’est très particulièrement la cosmogonie d’une femme. Si confinée qu’elle soit devenue dans la zone incorporelle des idées, si étrangère à toute chair et vie réelle, si aliénée, Aloïse est demeurée femme et l’est même peut‑être plus intégralement qu’une autre pour s’être toujours opiniâtrement refusée à aucun contact ou échange. Le peuplement de son empyrée est fait des éléments – couronnes de roses, fastes nuptiaux, amours légendaires, brocards et ruissellement de pierreries – qui sont les grandes ailes du moulin des filles, et dont les peintures d’Aloïse me paraissent être la seule solennisation qui en ait jamais été faite – du moins, veux-je dire avec une telle autorité » dans Jean Dubuffet (dir.), Aloïse, fascicule de L’Art brut, no 7, Paris, La Compagnie de l’Art brut, 1966.
32Baptiste Brun, Christophe David, « “Femmisme” et sauvagerie, un aspect de la critique de la culture de Jean Dubuffet », La Femme sauvage dans les arts et les lettres (Moyen‑Âge –XXIe siècle), dans Bruno Boerner, Christine Ferlampin-Acher, Marie Jacob (dir.), Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2021.
33Jean Dubuffet, tome IV, 1995, op. cit., p. 109.
38Simone de Beauvoir, tome I, 1986, op. cit., p. 17.
39Jean Dubuffet (dir.), Aloïse, 1966, op. cit., p. 15-16.
40Jean Dubuffet, tome IV, 1995, op. cit., p. 404.
42Jean Dubuffet, 2001, op. cit., p. 27.
43Simone de Beauvoir, tome I, 1986, op. cit., p. 123.
44Jean Dubuffet, Prospectus et tous écrits suivants, tome II, Paris, Gallimard, 1967, p. 437.
45Simone de Beauvoir, tome I, 1986, op. cit., p. 122.
46Jean Dubuffet (dir.), Aloïse, 1966, op. cit., p. 16.
47Simone de Beauvoir, tome I, 1986, op. cit., p. 124.
48Jean Dubuffet (dir.), Aloïse, 1966, op. cit., p. 15.
49Jean Dubuffet, « Broderies d’Élisa », fascicule de L’Art brut, no 5, Paris, La Compagnie de l’Art brut, 1965, p. 25.
50Jean Dubuffet, « Robe nuptiale de Marguerite », fascicule de L’Art brut, no 6, Paris, La Compagnie de l’Art brut, 1966, p. 135.
51Baptiste Brun, Christophe David, 2021, op. cit.
52Jean Dubuffet, « Broderies d’Élisa », 1965, op. cit., p. 22.
56Jean Dubuffet, « Robe nuptiale de Marguerite », 1966, op. cit., p. 134.
57Baptiste Brun, Christophe David, 2021, op. cit.
58Jean Dubuffet, « La double vie de Laure », fascicule de L’Art brut, no 6, Paris, La Compagnie de l’Art brut, 1966, p. 70.
66Jean Dubuffet, tome II, 1967, op. cit., p. 438.
67Jean Dubuffet, « Anaïs », 1966, p. 131.
68Baptiste Brun, Christophe David, 2021, op. cit.
69Propos de Jean Dubuffet : « À mon sens l’art consiste essentiellement dans cette extériorisation des mouvements d’humeur les plus intimes, les plus profondément intérieurs de l’artiste. Et comme ces mouvements internes nous les avons tous aussi en nous-mêmes, alors c’est pour nous très émouvant de nous trouver face à face avec leur projection. Nous y voyons en effet, concrétisés devant nos yeux, des faits psychiques que nous possédons en nous-mêmes », dans Jean Dubuffet, tome I, 1967, op. cit., p. 206‑207.
70Guillaume Sibertin-Blanc, « Cartographie et territoires : la spatialité géographique comme analyseur des formes de subjectivités selon Gilles Deleuze », L’Espace géographique, Paris, Belin, tome 39, 3/2010, p. 226.
71Lucie, Goujard, « Autour d’Aloïse… un petit théâtre de photographies », dans Christophe Boulanger, Savine Faupin (dir.), Aloïse Corbaz en constellation, cat. expo. (Villeneuve d’Ascq, LaM, Lille Métropole Musée d’art moderne, d’art contemporain et d’art brut, 14 février – 10 mai 2015), Villeneuve d’Ascq, LaM, 2015, p. 157.
73Judith Butler, Trouble dans le genre. Le féminisme et la subversion de l’identité, Paris, La Découverte, 2006, p. 109-110.
76Anne Creissels, Le geste emprunté, Paris, Éditions du Félin, 2019, p. 12.
77Simone de Beauvoir, Le Deuxième sexe, tome II, Paris, Gallimard, 1986, p. 19.
79Camille Froidevaux-Metterie, La révolution du féminin, Paris, Gallimard, 2020, p. 20.
80Camille Froidevaux-Metterie, 2020, op. cit., p. 348.
81Camille Froidevaux-Metterie, « Qu’est-ce que le féminisme phénoménologique ? », Cités, no 73, 1/2018, p. 81.