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Conclusion générale. Des ressorts inoxydables

p. 249-250


Extrait

1S’il paraît vain ou superfétatoire de se livrer à un exercice formel de conclusion, qui risquerait de fermer nos discussions au lieu d’en favoriser l’essor, nous souhaitons ici signaler quelques points d’incandescence de nos échanges, quelques lignes de force qui émergent de nos réflexions croisées et qui trouveront, nous l’espérons, des prolongements féconds dans l’esprit de nos lectrices et lecteurs.

 

2C’est d’abord autour des enjeux liés à la périodisation de la littérature contemporaine de langue française que nous nous sommes retrouvé·es, à un moment où, trente ans après son établissement au sein de l’institution, la discipline semble parvenue à un moment de ressaisie de ses enjeux, de ses taxinomies et de ses méthodes.

 

3Dans son article « Comment nommer la littérature contemporaine1 ? », Dominique Viart rappelle que le premier colloque sur « l’extrême contemporain » s’est tenu en 1986 sur l’initiative de l’Association pour la Défense et l’Illustration de la Littérature Co

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