1 Plagnieux 2006, p. 103.
2 Catalogue des livres de la Bibliothèque de feu M. le duc de la Vallière, Paris, 1783, t. 1, p. 435-437, n° 1467.
3 BnF, Mss., fr. 2700, fol. 132-133v. Pannier 1873, n° 934, p. 387.
4 Wijsman 2010, note 71, p. 521-522.
5 Malte-Brun 1867, p. 118-119. Le relevé des inscriptions funéraires se trouvant sur une plaque trouvée dans l’église des Célestins de Marcoussis effectué à l’initiative de Gaignières livre une date fausse, 1457, due probablement à une erreur de lecture de la part du dessinateur (BnF, Est., Pe 11c, fol. 82).
6 Arch. dép. Seine-Maritime, A 7.
7 Anselme 1726-1733, t. IV, p. 79-80.
8 Id., p. 81.
9 Réalisé vers 1440. Avril et Reynaud 1993, p. 176-177.
10 Arch. dép. Manche, série E. Voir « Manuscrit d’Aristote copié en 1464 pour l’amiral Jean de Montauban », Bibliothèque de l’École des chartes, 1921, tome 82, p. 457.
11 Voir Gallia Christiana, t. II, 844.
12 BnF, Est. Pc 18, fol. 36.
13 Lemaître 1999, p. 28.
14 Gallia Christiana, t. II, 844.
15 Marionneau 1861, p. 76 ; Ricard 2017, p. 377.
16 Loizeau de Grandmaison 1868, p. 257-259. Acte du 23 juin 1476, conservé aux archives départementales d’Indre-et-Loire, inventaire des titres des Carmes de Tours (fol. 43-44), copie du XVIIIe siècle.
17 Deuffic 2009, note 10, p. 108-109 et fichier possesseurs de l’IRHT.
18 Leroquais 1924, III, n° 693, p. 134-135.
19 Catalogue des manuscrits de la Bibliothèque de l’Arsenal 1885, tome 1, p. 97-98.
20 Molinier 1902, t. 1, p. 716-717. Voir aussi Millin 1790, p. 114 qui précise qu’on voyait encore ses armes sur le clocher.
21 Millin 1790, p. 122-123 et pl. III.
22 Deuffic 2009, note 10, p. 108-109 ; nous complétons cette liste avec l’incunable autrichien.
23 Pächt et Thoss 1974, vol. 1, p. 110-111.
24 Au fol. 59. La miniature peut être comparée à celles du ms 114A de la Bibliothèque municipale d’Autun ou celles du missel de Jean Rolin (Lyon, Bibl. mun., ms. 517).
25 Arch. nat., MC, ét. XIX, 11. Indiquée dans Béchu, Greffe et Pébay 1993, n° 3020 et Hamon 2008, n° 920, p. 286 et n° 485, p. 585.
26 Walsby 2002.
27 Leur frère Guy († 1501) avait toutefois été chambellan du duc François II de Bretagne. De même, l’un des sept frères, Jacques d’Espinay, seigneur de Segré, conseiller et chambellan de Charles VIII, fut pendant longtemps le grand maître de l’hôtel d’Anne de Bretagne et apparaît comme tel dans les comptes de l’hôtel de la reine (Walsby 2002, p. 91).
28 Que nous nommerons ainsi pour le distinguer de son frère aîné.
29 Roman d’Amat 1975, t. XIII, 7-8.
30 Arch. dép. Gironde, G 285.
31 Harsgor 1980, p. 472. 5 février 1485.
32 Arch. nat., X1A 4831, fol. 380-384.
33 Harsgor 1980, p. 2715-2716.
34 Id., p. 2685.
35 Julerot 2011.
36 Arch. nat., H5 3936.
37 Harsgor 1980, p. 2177.
38 Lemoine 1965, p. 30.
39 Vrand 2010, t. 1, p. 65.
40 Rhône. Levy 2013, p. 202-206 et Levy 2017.
41 Restauration effectuée à partir de 1832.
42 Corpus Vitrearum 1986, p. 289.
43 Elsig 2007, p. 93. Voir également l’introduction « Lyon » du même auteur dans Paris 2010-2011, p. 113-114 et fig. 39 et Elsig 2014, p. 17.
44 Ainsi, aucun manuscrit de confection lyonnaise ne peut lui être rattaché (Burin 2001).
45 Ainsi, le 9 décembre 1500, les exécuteurs testamentaires du cardinal donnèrent des procurations pour procéder à l’inventaire de ses biens situés à Lyon, à Bordeaux et à Antony (Arch. nat., MC, ét. XIX, 16).
46 Se reporter à l’index de Béchu, Greffe et Pébay 1993.
47 Arch. nat., S 3750A.
48 Lacroix de Marlès 1836-1838, p. 82.
49 Arch. nat., LL 885, fol. 10. Cf. Bos 2003, p. 252.
50 Bos 2003, note 38, p. 252.
51 Hamon 2008, n° 930. Hamon 2017, p. 311.
52 Id., n° 951.
53 Plagnieux 2006, p. 109.
54 Arch. nat., MC, ét. XIX, 16, 30 novembre 1500.
55 Deuffic 2009, p. 110 et note 14. Mara Hofmann ne fait cependant pas état de cette supposition (Hofmann 2004).
56 Deuffic 2009, p. 110.
57 Information fournie par les répertoires de l’IRHT. Sur ce manuscrit, voir Le Havre 2017, cat. 14.
58 Signalé par Deuffic 2009, p. 115 : l’auteur ne le rattache cependant pas à un membre précis de la famille d’Espinay.
59 Toscano 2010, p. 112.
60 Deuffic 2009, p. 115.
61 Hermant et Toscano 2015.
62 Archivio di Stato di Roma : 25/II n.12 (2), Segnatura 39, 307, 308.
63 Arch. nat., MC, ét. XIX, 12, 29 mars 1497. Cf. Béchu, Greffe et Pébay 1993, n° 3478, p. 408.
64 La minute de leur contrat de mariage est toujours conservée : Arch. nat., MC, ét. XIX, 11. Béchu, Greffe et Pébay 1993, n° 3429, p. 402.
65 Arch. nat., MC, ét. XIX, 12, 28 avril 1497. Cf. Béchu, Greffe et Pébay 1993, n° 3533, p. 415.
66 Arch. nat., MC, ét. XIX, 16, 2 décembre 1500. Cf. Béchu, Greffe et Pébay 1993, n° 5130, p. 611.
67 On conserve un autre manuscrit qui a appartenu à Jean de Chateaubriand et Jacqueline de Morainvilliers : le livre d’heures de cette dernière (Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, ms. 53) fut décoré par un enlumineur parisien étudié par Isabelle Delaunay, le Maître d’Étienne Poncher, travaillant dans la veine du Maître de Jacques de Besançon alias François le Barbier fils (Delaunay 2000, t. 1, p. 289-310). Ce livre d’heures fut d’ailleurs probablement un cadeau de son époux (Delaunay 2001).
68 Durrieu 1926, p. 38.
69 Dictionnaire de biographie française 1975, t. XIII, 11-12.
70 Id., 10-11.
71 Pagenot 2006, p. 393.
72 BnF, Mss., lat. 1597 (fol. 56). Les statuts ont été imprimés et publiés à Nantes par Étienne Larchier et à Paris par Jean du Pré (BnF, Rés., B 2292).
73 Cet acte, passé le lendemain du contrat de mariage entre Jean de Chateaubriand et Jacqueline de Morainvilliers, concerne très probablement un bijou offert par Chateaubriand à sa jeune épouse. Arch. nat., MC, ét. XIX, 11, 1er mars 1497. Cf Béchu, Greffe et Pébay 1993, n° 3434, p. 403 et Hamon 2008, n° 1191, p. 364.
74 Arch. nat., MC, ét. XIX, 12, 1er décembre 1497. Cf Béchu, Greffe et Pébay 1993, n° 3863, p. 457.
75 BnF, Mss., Clairambault 764, P 327. Nous remercions Étienne Hamon pour le signalement de ce document.
76 Roman d’Amat 1975, p. 11.
77 Arch. nat., MC, ét. XIX, 20, 3 janvier 1503 (n. st.).
78 Se reporter à l’index de Béchu, Greffe et Pébay 1993.
79 Weiss 2012, p. 27-28.
80 Inglis 2000 et Daly 2006, p. 68-69.
81 Kathleen Davy (Ibid.) émet l’hypothèse d’une commande faite par Richard d’Espinay : mais l’écu parti de Montauban ne permet pas de la retenir.
82 Montmorand 1917, p. 38.
83 Anselme 1726-1733, tome II, p. 437.
84 Braem et Mariaux 2014, p. 27.
85 Bouillet 1910 et Corpus Vitrearum 1986, p. 275-279.
86 Arch. nat., X1a 129, fol. 231-242 et X1a 131, fol. 113-115. Cité dans Bouillet 1910, p. 115.
87 Arch. nat., MC, ét. XIX, 14, 4 mars 1500 (n. st.). Cf Béchu, Greffe et Pébay 1993, n° 4714, p. 558.
88 Contamine 1976, repris dans Contamine 1981, p. 109-111.
89 audoin 1998, p. 304.
90 Roudié, s. d.
91 Arch. dép. Cantal, 45 Fi 2081.
92 Deldicque 2016.
93 Joachim Malet de Graville mourut en 1488 et Louis Malet de Graville (le jeune) avant 1493, n’étant pas représenté, à la différence de ses sœurs et des autres membres de la famille, dans le Terrier de Marcoussis rédigé à cette date-là.
94 Montmorand 1917.
95 Duguit 1886.
96 Montmorand 1917, p. 64.
97 Arch. nat., X2A 66, fol. 157.
98 Montmorand 1917, p. 74-75.
99 Arch. dép. Eure-et-Loir, E 164, n° 30. La date de cette transaction nous est donnée par le testament de 1514 de l’amiral de Graville qui y fait référence.
100 Arch. dép. Eure-et-Loir, E 164, n° 31.
101 Arch. dép. Eure-et-Loir, E 164, n° 32.
102 Arch. dép. Eure-et-Loir, E 164, n° 33.
103 Arch. nat., MC, ét. XIX, 42.
104 Marichal 1887, p. 151, n° 863 (Arch. nat., X1a 1520, reg. Du Conseil, fol. 309).
105 Arch. nat., MC, ét. XIX, 46.
106 Arch. dép. Essonne, 13 J 7.
107 Le testament de l’amiral de Graville de 1514 parle en effet de ses orphelins.
108 Voir la minute de leur contrat de mariage, passé le 23 décembre 1497 (Arch. nat., MC, ét. XIX, 12), ainsi que son expédition (Arch. dép. Eure-et-Loir, E 162).
109 Huile sur panneau. Hauteur 32 cm, largeur 23 cm. Nous remercions Sandra Howat, private secretary du duc de Buccleuch et Queensberry et régisseur de la Buccleuch Collection, pour les informations qu’elle nous a communiquées sur ce portrait.
110 « JAQ… MI… RIN. D. .HA/VIDA… CHARTRES A LAAGE DE . ANS »
111 Hackenbroch 1996, p. 8.
112 Voir dernièrement Bruxelles 2013, p. 339-355.
113 Scailliérez 2015, p. 183.
114 Friedländer 1935, n° 29A, p. 168 et n° 44, p. 170.
115 BnF, Mss., Clairambault 764, p. 327.
116 Paris 2010-2011, p. 363.
117 Tesnier 1994.
118 Viganò 2009, p. 372.
119 Le Roux de Lincy 1860, t. 2, p. 123.
120 Gauchery 1965, p. 16.
121 Le Roux de Lincy 1860, t. 2, p. 125.
122 Arch. dép. Eure-et-Loir, E 164, n° 34, fol. 5-5v.
123 Se reporter à son testament (Arch. dép. Eure-et-Loir, E 164, n° 34).
124 Arch. nat., X1A 1536, fol. 69.
125 Tuetey 1886, p. 160-161.
126 Société des manuscrits des assureurs français 2001, p. 125-129.
127 Orth 2001.
128 Bergeron-Foote 2002 (résumé dans École nationale des chartes. Positions des thèses soutenues par les élèves de la promotion 2002 pour obtenir le diplôme d’archiviste paléographe, 2002, p. 9-19).
129 BnF, Mss., fr. 19182, fol. 7 et 7v (reproduit dans Lille, Bibl. mun., ms. 402).
130 Leroquais 1934, n° 517, p. 63-65. Sur le Maître d’Étienne Poncher, voir Delaunay 2000, vol. 1, p. 289-310.
131 Arch. nat., MC, ét. VIII, 50, 31 mai 1512.
132 Ce qui s’explique sans mal vu la date de cet inventaire (1512). Nous remercions Michèle Bimbenet-Privat, conservateur général du patrimoine au département des objets d’art du musée du Louvre, pour son aide dans l’analyse de cet inventaire.
133 Arch. nat., MC, ét. XXXIII, 20, 2 octobre 1540.
134 Il se démit de cette charge en 1496, au profit du seigneur de Clérieu, lui aussi protégé de l’amiral de Graville.
135 Pour le détail de sa carrière et de son action, on renvoie à Ulrich 2011-2012.
136 Arch. nat., X1A 4850, fol. 117.
137 Lettre de Sabba de Castiglione à Isabelle d’Este, 16 avril 1507. Cité dans Jestaz 2003, p. 302. Il n’eut pas toujours bonne presse auprès des Italiens, comme Guicciardini qui railla son incapacité dans son Histoire d’Italie.
138 Girard-Pipau 1972 ; Souchal 1976 ; Contamine et Guillaume 2003, notamment Jestaz 2003 ; Villata 2013.
139 Saint-Amand-Montrond, musée Saint-Vic, inv. 922.2.3. Paris 2010-2011, cat. 199, p. 374 et Le Havre 2017, cat. 2. Ce portrait était destiné à lui et sa famille puisqu’il provient du château de Meillant.
140 Pinacothèque de Varallo Sesia. Don de Charles d’Amboise au Sacro Monte à l’occasion d’un pèlerinage.
141 Seattle, Art Museum, Samuel H. Kress Collection, inv. 61.150. Ce portrait proviendrait de la collection du roi d’Angleterre Henri VIII. Sur ces portraits, voir Villata 2013.
142 Paris, musée du Louvre, inv. 674. Évreux 2017, cat. 30.
143 Crépin-Leblond 2007-2008 et Paris 2010-2011, cat. 198, p. 373.
144 Béguin 1985, p. 81-85 et 1999, p. 95-96.
145 Brown 1987, p. 217.
146 Paris 2012, p. 122-124 et Villata 2013.
147 Frommel 2009.
148 Bresc-Bautier 2008. Sur Meillant, voir Jestaz 2003, p. 293-295.
149 Girard-Pipau 1972, note 33, p. 180 et Souchal 1976, p. 593-595. Sur ces boiseries, voir Bos et Dubois 2007-2008.
150 Gagetta 2013.
151 Voir dernièrement Villata 2013, au sujet d’un panneau de la Vierge à la balance.
152 Mulas 2003, p. 315-318 et 320 ; Évreux 2017, p. 120. Étienne Poncher était-il le commanditaire de ce manuscrit qu’il finit par récupérer ?
153 Chantilly, Bibliothèque du musée Condé, ms. 769 et 490. Évreux 2017, p. 203.
154 Bardati 2013, p. 139, note 19, et p. 140.
155 Bardati 2013.
156 Bresc-Bautier 2003 en donne d’autres exemples.
157 Séjours comptabilisés par Ulrich 2011-2012.
158 Durrieu 1926, pl. XVIII.
159 Deville 1850, p. 341-342.
160 Arch. nat., MC, ét. XIX, 12.
161 Hamon 2004, p. 172-173.
162 Rapprochement évoqué dans Hamon 2004, p. 173. Arch. nat., MC, ét VIII, 50, 31 mai 1512.
163 Gay 1887, p. 122.
164 Arch. dép. Seine-Maritime, G 866 : « Deux grands barreaulx d’argent doré garniz de couvercles et grosses chaines d’argent, l’ung pesant XXXIIIm et l’autre XXXIIVe VI grains ».
165 Laqueuille 1858, Le Roux de Lincy 1860, Malte-Brun 1867, Walhund 1895, Montmorand 1917, Montbrison 1990, Boucard 19961 et 19962, Orth 1997, Müller 2002, Akerlund 2003 et L’Estrange 2016.
166 Montmorand 1917, p. V.
167 Deldicque 2019.
168 Arch. dép. Seine-Maritime, G 2152, fol. 201.
169 L’Estrange 2016.
170 Akerlund 2003, p. 46.
171 Montbrison 1990, p. 198-203.
172 Voir le tableau en annexe.
173 André Vernet (Vernet 1976) a émis bien d’autres hypothèses de livres pouvant venir d’Anne de Graville, en partant de la bibliothèque du château de la Bâtie d’Urfé, mais cela reste soumis à conjectures.
174 Laffitte 2009-2010.
175 Voir la liste en annexe.
176 Hindman et Bergeron-Foote 2014, cat. 12, p. 173-175.
177 Deldicque 2014.
178 Nous devons cette attribution à François Avril que nous remercions.
179 Orth 1997, p. 24-26 et Cousseau 2016.
180 Le Havre 2017, cat. 15.
181 Paris 1991, p. 118-119.
182 Arch. dép. Eure-et-Loir, E 164, n° 32.