1 Renaudet 1953 et Le Gall 2001.
2 Le Gall 2001.
3 Renaudet 1953, p. 178.
4 Le Gall 2012.
5 Le Gall 2001, p. 84.
6 Godet 1912 et Renaudet 1953.
7 Renaudet 1953, p. 174-177.
8 Id., p. 323.
9 Arch. nat., L 935, 15 juin 1497.
10 Arch. nat., MC, ét. XIX, 16, 20 décembre 1500.
11 Le Gall 2001, p. 33.
12 Arch. dép. Eure-et-Loir, E 164, n° 35.
13 Arch. dép. Eure-et-Loir, E 164, n° 31.
14 Arch. dép. Eure-et-Loir, E 164, n° 32.
15 Arch. dép. Eure-et-Loir, E 164, n° 33.
16 Renaudet 1953, p. 212.
17 Chevalier 2005, p. 254-255.
18 Le Gall 2001, p. 454.
19 Chevalier 2005, p. 278.
20 Hellot 1889, p. 8-11.
21 Graville apparaît pour ce don dans le nécrologe du prieuré (Molinier 1902, p. 453).
22 Arch. nat., 399 AP 389. Les deux docteurs n’ont malheureusement pas pu être identifiés.
23 Félibien 1725, t. 5, p. 677-679.
24 Arch. nat., LL 128, fol. 419.
25 Arch. nat., LL 126, fol. 64 (11 avril 1494).
26 Arch. nat. MM 465, fol. 3v.
27 Les lettres du doyen et du chapitre Notre-Dame datées du 16 avril 1494, rédigées à la suite des délibérations du 11 avril, sont rapportées par Félibien 1725, p. 712-715.
28 Félibien 1725, p. 712-715.
29 Arch. nat., LL 126, fol. 66.
30 Arch. nat., L 368, n° 19. Cloulas 1998.
31 Arch. nat., L 368, n° 20. Cloulas 1998.
32 « in loco maceriae » (Félibien 1725, p. 712-715).
33 Félibien 1725, p. 716-721.
34 Ibid.
35 Voir, par exemple, le testament de Marie de Balsac de 1503, Arch. dép. Eure-et-Loir, E 164, n° 35 : « Et que lad. fondation soit escripte en ung tableau qui sera mis en ung lieu convenable en ladicte chappelle pour perpetuelle memoire. ».
36 Survenue lors de l’aménagement de la place du Panthéon (Paris, Ve arrondissement).
37 Effectué à partir des informations contenues dans le lat. 15049 (BnF, Mss.), fol. 25. Cf. Godet 1912, p. 15.
38 BnF, Mss., lat. 15049, fol. 25.
39 Félibien 1725, p. 740-743. 30 janvier 1503 (n. st.).
40 Arch. nat., S 6182.
41 Arch. nat., LL 126, fol. 199 et fol. 420-421.
42 Félibien 1725, p. 716-720.
43 Arch. nat., S 6182.
44 Arch. nat. MM 465, fol. 3v.
45 Arch. nat., S 6515. Sur l’hôtel de Vézelay, voir Weiss 2012, p. 163.
46 Voir Arch. nat. MC, ét. XXXII, 11, 15 janvier 1527 ; ét. XXXIII, 11, 28 janvier 1527 ; ét. XXXIII, 11, 11 octobre 1527 ; ét. XXXII, 17, 1er juin 1540.
47 Érasme et Calvin furent ainsi étudiants au collège de Montaigu !
48 Renaudet 1953, p. 220.
49 Id., p. 222-227.
50 Aujourd’hui à Saint-Germain-lès-Arpajon (Essonne).
51 Arch. dép. Seine-et-Marne, H 779. Sur les sœurs hospitalières de Saint-Eutrope, voir Pluquet et Lalucq 2001.
52 Arch. nat., 399 AP 389, fol. 2v : « Autre commission dudit roy Loys a present, envoyee a mondit seigneur de Graville et a monseigneur de la Tremoille ensemble, pour la reformation de l’ostel Dieu de Paris ».
53 Bonnardot 1883, p. 105-106.
54 Voir Jéhanno 2016. Nous remercions Christine Jéhanno pour les éléments qu’elle nous a généreusement transmis sur ce dossier.
55 Bonnardot 1883, no 1605, puis 1606, 1609, 1613, 1620, du 2 mai au 7 juin 1505.
56 Arch. nat., S 4742.
57 Ibid.
58 Arch. nat., S 4642.
59 Arch. nat., L 1058.
60 Arch. nat., S 4642 : un inventaire des lettres trouvées au couvent parle d’une lettre datée de 1480 mentionnant des « bastimens ja encommencez ».
61 On commanda en effet en 1498 des stalles pour la chapelle des frères du couvent ainsi que d’autres travaux de menuiserie (Arch. nat., MC, ét. XIX, 12, 16 février 1498. Cf. Hamon 2008, p. 419, 1).
62 Molinier 1902, 2e partie, p. 730.
63 Le Gall 2001, p. 40.
64 Id., p. 78.
65 Numéro d’inventaire : AC 3314. Voir Norton 1992, p. 104-108.
66 Carreaux trouvés au coin de la rue Jussieu et de la place Jussieu. Cf. Norton 1992, p. 105 et 107.
67 Id., p. 108.
68 Cherbourg-Octeville 2003, p. 20-25.
69 Arch. dép. Seine-Maritime, A 57.
70 Albums de la commission départementale des Antiquités, Arch. dép. Seine-Maritime, 6 Fi 10, n° 134.
71 Bos 2003, p. 277-282 et Hamon 2001, p. 256-257.
72 Le Gall 2001, p. 84.
73 Le Gall 2001, p. 329-330.
74 Arch. dép. Eure-et-Loir, E 164, n° 33, fol. 8v : « et veult que sond. corps soit vestu de l’abit desd. freres myneurs a tout le moins dedans son sercueur ».
75 Ibid.
76 Paris 20041, p. 252-253.
77 Le Gall 2001, p. 362.
78 Id., p. 84.
79 Hamon 2010, p. 453.
80 Anciennement conservé à la Bibliothèque nationale de Varsovie (Ms. Fr. F. v. I. 6) mais disparu depuis 1944.
81 Laborde 1936-1938, IInde partie, pl. LXIII.
82 Voir la notice « Marie » dans Charron et Guillouët 2009, p. 597-599 (par Daniel Russo).
83 Sur les mises au tombeau sculptées, voir Forsyth 1970 et Karsallah 2009.
84 Gand 1970, p. 65 ; Forsyth 1970, p. 82 ; Baudoin 1992, p. 224.
85 Grodecki 1996.
86 Arch. nat., MC, ét. XIX, 9, 28 mars 1495.
87 L’acte ne parle que de la « chapelle du Boismallesherbes », sans préciser qu’il s’agit de la chapelle castrale. La présence d’une arcade au décor flamboyant toujours visible dans cette chapelle, arcade destinée à abriter un sépulcre, ne fait pas de doute sur son emplacement d’origine. En revanche, nous n’avons pas retrouvé le mémoire, daté du 25 juin 1720 (25 juin), fourni par un tailleur de pierre au sujet des travaux qu’il a faits pour Guillaume de Lamoignon de Blancmesnil et évoqué par Catherine Grodecki (Grodecki 1996, p. 333-334), où serait signalé le transport du sépulcre de la chapelle du château vers le couvent de Malesherbes.
88 Se reporter à Grodecki 1996, p. 334-338, pour cette identification.
89 Arch. nat., 399 AP 406, comptes de la seigneurie de Malesherbes, 1495-1496.
90 Les dimensions concordent : 3 m de largeur sur 1,60 m de hauteur pour la sculpture ; 3,20 m de largeur sur 2,58 m de hauteur pour l’arcade.
91 Grodecki 1996, p. 334.
92 On peut bien sûr évoquer l’exemple de la Mise au tombeau de Biron, aujourd’hui conservée au Metropolitan Museum of Art de New-York, mais l’arcade est plus haute que celle de Malesherbes ; le corps du Christ de Biron est d’ailleurs entièrement tourné vers le spectateur, alors que celui de Malesherbes tourne vers lui uniquement sa tête, preuve qu’il n’était pas conçu pour être contemplé de haut.
93 La paroi a été supprimée à l’époque des travaux entrepris par Lamoignon, en 1718, faisant de la chapelle un oratoire d’où le seigneur pouvait suivre l’office qui se tenait dans la chapelle principale, désormais ouverte à tous les habitants du château. Le déplacement de la Mise au tombeau est bien à dater de cette époque.
94 Notice d’Étienne Hamon dans Paris 2010-2011, cat 135, p. 274-276.
95 Grez-sur-Loing (Seine-et-Marne) ou Nemours (Seine-et-Marne).
96 Arch. nat., MC, ét. XIX, 9, 28 mars 1495 : « Et se il advenoit que led. seigneur voulsist faire faire autre chose qu’il fust oultre mond. marché et l’ouvrage qui est declaré cy dessus, sera tenu en le faisant me faire paier et contenter au jugement de gens du mestier ad ce soy congnoissans… »
97 Nous remercions Mme Fabienne Audebrand, conservateur des antiquités et objets d’art du département d’Eure-et-Loir, ainsi que M. Gilles Blieck, conservateur des monuments historiques, DRAC Centre, pour leur aide et leurs renseignements.
98 Charenton-le-Pont, Médiathèque de l’architecture et du patrimoine, 1997/22/1.
99 Paris 2010-2011, p. 100.
100 Informations délivrées par M. Jean Delivré, restaurateur du patrimoine, qui a consolidé cette statue.
101 Par le sculpteur Marcel Maimponte, à l’initiative de l’inspecteur général Jean Ferré (Grodecki 1996, p. 329). Les mains, les nez et bords des coiffes ont été refaits, alors que la jambe et les pieds du Christ ont été rétablis.
102 Grodecki 1996, p. 339. L’auteur souligne néanmoins que la première pierre de ce couvent fondé en 1494 n’était pas posée ; on imagine mal l’amiral commander cette Vierge de Pitié alors que le gros œuvre n’était pas encore commencé.
103 Karsallah 2009, p. 204-209.
104 Forsyth 1970, Fig. 205-206 ; Karsallah 2009, p. 71.
105 Karsallah 2009, p. 92.
106 D’après le livre d’heures décoré pour Olivier de Coëtivy, gendre et conseiller de Charles VII, et son épouse Marie de Valois (Vienne, Österreichische Nationalbibliothek, Cod. 1929) Sur le Maître de Coëtivy, identifié par Nicole Reynaud avec Nicolas d’Amiens, voir Avril et Reynaud 1993, p. 58-69, Delaunay 2000 et Oget 2017.
107 Grodecki 1996, p. 336-337.
108 La place prééminente du peintre dans les arts du XVe siècle a été l’objet de plusieurs publications récentes, notamment de Philippe Lorentz (Lorentz 2008, Lorentz 2009 et Lorentz 2010-2011) et de Michel Hérold (Hérold 2010).
109 Avril et Reynaud 1993, p. 58-59.
110 Id., p. 64-66.
111 BnF, Mss., fr. 20493, fol. 5.
112 Paris 2010-2011, p. 100.
113 Hamon 2008, n° 953, p. 296.
114 Grodecki 1996, p. 334 et note 17.
115 Forsyth 1970, p. 87.
116 Baudouin 1992, p. 224-226.
117 Forsyth 1970, p. 81-82.
118 Guillouët 2010, p. 488.
119 Bos et Dectot 2007-2008, fig. 21.
120 Conservées aujourd’hui au musée Carnavalet (Hamon 2011, p. 187-188).
121 Paris 2010-2011, cat. 41, p. 122.
122 Id., p. 100.
123 Grodecki 1996, p. 330-331.
124 Hamon 2008, n° 955, p. 298.
125 Paris 2010-2011, p. 120.
126 Hamon 2008, n° 947, p. 294.
127 Id., n° 495, p. 588.
128 Hamon 2004.
129 Article « Antoine le Moiturier » rédigé par Jean-Marie Guillouët dans Charron et Guillouët 2009, p. 42.
130 Hamon 2008, n° 938.
131 Forsyth 1970, p. 166.
132 Arch. dép. Eure-et-Loire, E 164, n° 33, testament de 1516, fol. 7v.
133 Arch. nat., L 369, n° 1 (Blois, 1502).
134 Arch. nat., L 369, n° 2 et 3 (Blois, 30 et 31 mars 1502).
135 Sur ce sceau, voir dernièrement Évreux 2017, cat. 4.
136 Karsallah 2006.
137 San Marino, Huntington Library, HM 1163, fol. 22v.
138 Grodecki 1996, p. 339.
139 Comme à Biron.
140 Karsallah 2009, p. 92-99 et p. 280.
141 Elle s’apparente ainsi à celle de Combefa.
142 Sur le sujet, voir Hamon 2020.
143 Arch. nat., MC, ét. XIX, 20, 27 juillet 1503.
144 Hamon 2000, p. 329.