1 Duplessis 1740.
2 Baylé 2001, p. 114-115.
3 Arch. dép. Calvados, 2 D 113 (copie). Cf. Manneville et Testanière 1979, p. 4-5.
4 Dossier d’étude préalable à l’assainissement et la restauration générale rédigé par Régis Martin, p. 3-4.
5 Baylé 2001, p. 117.
6 Sur les restaurations, voir Charenton-le-Pont, Médiathèque de l’architecture et du patrimoine, 81/76/55 et 81/76/56.
7 Baylé 2001, p. 117.
8 Chantilly, Archives du musée Condé, 1 GC 004.
9 Brianchon 1868, p. 6-9.
10 Hamon 2004. Contrat du 22 juillet 1498 (Arch. nat., MC, ét. XIX, 18), au dos d’une minute du 11 mars 1502.
11 Hamon 2004 et Hamon 2008, n° 950, p. 295.
12 Arch. nat., MC, ét. XIX, 12, 20 janvier 1498. Édité dans Hamon 2004, p. 187.
13 Hamon 2004, p. 176.
14 Compiègne, musée du Cloître Saint-Corneille.
15 Hamon 2004, p. 177.
16 BnF, Est., Pe 5, fol. 36 et 37.
17 Hamon 2004, p. 176.
18 Id., p. 174.
19 Arch. dép. Seine-Maritime, 23 HP 7.
20 Lemaître 1999 ; Roussel 2008.
21 Voir Lemaître 1999, p. 22-30. Sur le couvent des Célestins de Marcoussis, voir, entre autres, Perron de Langres 1694, note 1 p. 24 et 72-76 ; Bouchet d’Argis 1742, 1er vol., p. 1279-1293 ; Lebeuf 1755-1758, t. III, p. 488-491 ; Malte-Brun 1867, p. 47-56 (qui s’inspire de Perron de Langres) ; Arch. nat. MM 748/A (manuscrit historique sur Jean de Montaigu et les différents bienfaiteurs du monastère, compilé par les Célestins au XVIIe siècle) ; Arch. nat., Z1J 1163 : estimation du monastère des Célestins (démoli), 2 avril 1787, minute de greffiers des bâtiments.
22 Roussel 2008, p. 23.
23 Même si, pour le cas des Célestins de Paris, les grands noms du clan des Marmousets n’apparaissent pas parmi les donateurs de ce monastère. Roussel 2008, p. 236-238.
24 Plagnieux 2008, p. 114-115.
25 Lemaître 1999, p. 22-25.
26 Sur cette statue, voir Paris 20041, notice n° 316.
27 Lebeuf 1755-1758, t. III, p. 489 (Voir édition dans Lemaître 1999, p. 27).
28 Plagnieux 2006, p. 114.
29 Base Mérimée, notice rédigée par l’Inventaire général, référence IA91000018.
30 Arch. nat., Z1J 1163.
31 Malte-Brun 1867 : plan du couvent en 1781.
32 La statue de Charles VIIa été récemment redécouverte dans le dépôt lapidaire conservé dans une tour de la barbacane du château de Marcoussis. Voir Berger 2009.
33 BnF, Est., Topo Va 91.
34 Sur la représentation des toitures à tuiles vernissées dans les miniatures, voir Avril 1996. L’église figurée sur la miniature présente néanmoins un plan avec transept : est-ce là un élément sorti de l’imagination de l’enlumineur ou une vue de la « chapelle du fondateur » qui flanquait l’église au nord (sa position serait alors inversée dans la miniature) ?
35 BnF, Est., Pe 1 p, fol. 73. Voir aussi, pour les peintures murales de la nef, BnF, Est., Pe 1 p, fol. 71.
36 Arch. nat., Z1J 1163.
37 Lebeuf 1755-1758, p. 490.
38 Id., p. 491.
39 Anselme 1726-1733, t. IV, p. 80.
40 Voir Arch. nat., MM 748/A, fol. 46.
41 Voir l’édition dans Lemaître 1999, p. 26.
42 BnF, Est., Pe 1 b fol 78. Mort en 1409, réhabilité en 1412. Premier vitrail du côté de l’Évangile près du grand autel de l’église.
43 BnF, Est., Pe 1 b fol 79. Décédée en 1436 selon le manuscrit du XVIIe siècle étudiant la généalogie des Montaigu (Arch. nat., MM 748/A, fol. 57). Deuxième vitrail du côté de l’Évangile dans le sanctuaire de l’église.
44 BnF, Est., Pe 1 b fol. 77. Mort en 1420. Deuxième vitrail du côté de l’Évangile, en deçà du jubé au dessus des chaires des religieux.
45 BnF, Est., Pe 1 b fol 81. L’archevêque trouva la mort en 1415, à Azincourt. Dernier vitrail du côté de l’Évangile au dessus des chaires des religieux.
46 BnF, Est., Oa 14 fol. 28. Quatrième vitrail du côté de l’Évangile dans le chœur de l’église. Alors que le manuscrit du XVIIe siècle situe son décès en 1420 (Arch. nat., MM 748/A, fol. 334), Jean-Loup Lemaître indique qu’elle décéda en 1468 (Lemaître 1999, p. 141). En réalité, il apparaîtrait qu’elle rendit l’âme bien en 1420 en Touraine mais que son corps ne fut apporté à Marcoussis qu’en 1468 (Moreri 1692, t. 3, p. 550).
47 BnF, Est., Oa 14 fol. 27. Mort en 1429, après être entré chez les Célestins d’Ambert lors de son veuvage. Troisième vitrail du côté de l’Évangile au dessus des chaires des religieux.
48 Malte-Brun 1867, note 2, p. 47.
49 BnF, Mss., Clairambault 946, fol. 84-84v et 92.
50 Arch. nat., MM 748/A.
51 Moreri 1759, p. 626.
52 Lemaître 1999, p. 141.
53 Louis XI a pu alors aider son serviteur dans sa tâche, notamment par des libéralités. Ces bienfaits royaux expliquent sa présence dans l’obituaire des Célestins (il bénéficiait d’une messe des morts avec vigile le 18 août Cf. Lemaître 1999, p. 118).
54 On retrouve ainsi, dans l’inventaire des papiers de l’amiral qui se trouvaient dans son château de Malesherbes, dressé après sa mort, la mention suivante : « [Lettre] De l’archevesque de Bordeaulx touchant le vidasme de Lannoys pour mondit seigneur de Graville » (Arch. nat., 399 AP 389, fol. 15v). Le vidame de Laonnois désigne Jean de Montaigu qui portait ce titre.
55 BnF, Est., Pe 5 fol. 36-37.
56 Merlet 1852, p. 282-283.
57 Arch. nat., MC, ét. XIX, 18, 22 juillet 1498, au dos d’une minute du 11 mars 1502. Cf. Hamon 2004, p. 177-180.
58 BnF, Est., Pe 8, fol. 27.
59 BnF, Mss., fr. 20528, fol. 86. Cf. Perret 1889, p. 248.
60 Arch. nat., Z1J 1163 : on reconnaissait en 1787 dans ce tombeau celui du fondateur mais on le nommait alors « M. de Balsac ».
61 Lebeuf 1755-1758, p. 489.
62 Paris-Poulain 2015, p. 140-141.
63 Malte-Brun 1867, p. 114-115.
64 Arch. nat., L 935.
65 Arch. nat., L 369, n° 1.
66 Arch. nat., L 369, n° 3.
67 Arch. nat., L 369, n° 2.
68 Arch. nat., L 935.
69 Arch. nat., MC, ét. XIX, 16, 20 décembre 1500.
70 Arch. dép. Eure-et-Loir, E 164, n° 31.
71 Arch. dép. Eure-et-Loir, E 164, n° 35.
72 Arch. nat., L 935.
73 Voir l’obituaire des Célestins de Marcoussis dans Lemaître 1999, p. 109.
74 Paris-Écouen 2007-2008.
75 Roussel 2009, p. 175-178.
76 Sur le couvent des Célestins de Paris, voir Roussel 2009.
77 Arch. nat., MC, ét. XIX, 12, 1er décembre 1497. Analysé dans Béchu, Greffe et Pébay, 1993, n° 3863, p. 457.
78 Arch. nat., MC, ét. XIX, 20, 3 janvier 1503. Analysé dans Hamon 2008, n° 1167, p. 358.
79 Arthur de Montauban offrit un retable aux Célestins de Paris (Millin 1790).
80 Roussel 2009, p. 206.
81 Id., notice n° 152, p. 600-601.
82 Arch. nat., S 3750A.
83 Arch. nat., H5 3936.
84 Lenoir 1867, t. 2, pl. 12.
85 Roussel 2009, notice n° 153, p. 602-603.
86 Id., notice n° 23, p. 521.
87 Id., notice n° 462, p. 766-767.
88 Id., notice n° 452, p. 762-763. L’auteur n’a cependant identifié l’amiral avec Louis Malet de Graville.
89 Id., notice n° 222, p. 638-639. L’auteur n’a, ici non plus, pas identifié « l’amyralle » avec Marie de Balsac.
90 Id., p. 639 et 763.
91 Arch. nat., MC, ét. XIX, 16, 20 décembre 1500.
92 Arch. nat., 399 AP 389.
93 Voir les notes du baron de Guilhermy, dans sa Description des localités de la France, BnF, Mss., NAF 6107, fol. 108 (visite de 1864).
94 Arch. dép. Seine-Maritime, G 9209.
95 Arch. dép. Seine-Maritime, G 9202.
96 Tabbagh et alii 1998, p. 141.
97 Arch. dép. Seine-Maritime, G 9202.
98 Bos 2003, p. 299-300 et Hamon 2011, p. 71-72.
99 Arch. dép. Seine-Maritime, 12 Fi 418.
100 Rouen, Bibl. municipale, fonds Martainville, Ms Bigot Y 5, Graville. Cité par Hellot 1889, p. 7-8.
101 BnF, Est., Pe 8 fol. 27 et 28.
102 Joachim, mort en 1488, fut inhumé avec sa mère ; Louis, le fils aîné de l’amiral, décédé à une date que nous ignorons, mais vraisemblablement avant 1493 (car il n’est pas représenté dans le Terrier de Marcoussis), le fut avec son père.
103 BnF, Mss., NAF 6107, fol. 108.
104 La fille aînée, Louise de Graville, ne se maria qu’en 1497 (Voir son contrat de mariage : Arch. nat., MC, ét. XIX, 12, 23 décembre 1497).
105 Rouen, Bibl. municipale, fonds Martainville, Ms Bigot Y 5, Graville. Cité par Hellot 1889, p. 7-8.
106 Histoire de Rouen, 1668, III, p. 357. Cité par Hellot 1889, p. 7-8.
107 Arch. dép. Seine-Maritime, G 9209.
108 Selon l’obituaire du couvent conservé à la Bibliothèque municipale d’Avignon, ms 711. Voir Comte 1996.
109 Testaments de Marie de Balsac : Arch. nat., L 935 (15 juin 1497) et Arch. dép. Eure-et-Loir, E 164, n° 35 (21 décembre 1503). Testaments de Louis Malet de Graville : Arch. dép. Eure-et-Loir E 164, n° 32 (11 avril 1514) et E 164, n° 33 (26 juin 1516).
110 Arch. dép. Eure-et-Loir, E 164, n° 30.
111 Le Gall 2001, p. 41. La congrégation de Livry était composée de chanoines réguliers réformés, notamment grâce à l’impulsion de Georges d’Amboise, avec l’aide et sur le modèle de la congrégation de Windesheim. Elle regroupait des maisons localisées dans le bassin parisien.
112 Les testaments de l’amiral sont ainsi à comparer avec celui de son proche ami Jean Bourré (Arch. dép. Maine-et-Loire, G 1328. Voir Joubert 1884, p. 264-275) ou celui d’un autre de ses puissants alliés, Pierre de Rohan, maréchal de Gié, beaucoup moins ambitieux et personnalisé, mais recherchant une austérité comparable à Louis Malet de Graville (Morice, 1750-1756, t. III, col. 943-946).
113 Sans doute l’édition imprimée de l’Art de bien mourir, pour Antoine Vérard, 15 décembre 1492 (il en existe un exemplaire à la Huntington Library de San Marino, HEHL RB 38182).
114 Dans son testament de 1516, il « commande et ordonne expressement que sesd. heritiers augmentent et acroissent chacune de ses fondations de vingt livres de rente par chacun an, exepté la fondation qu’il a faicte aux Celestins de Marcoussis, pour ce qu’ilz ont des biens assez… ».
115 Le Gall 2001, p. 362.
116 Noblet 2009.
117 Catherine Grodecki a ainsi supposé qu’il s’agissait d’une chapelle destinée à abriter le tombeau de l’amiral (Grodecki 1996, p. 334).
118 Arch. dép. Eure-et-Loir, E 164, n° 35.
119 BnF, Est., Pe 5, fol. 40.
120 Prigent 1999, p. 224.
121 Épitaphier du vieux Paris 1890, p. 66-67.
122 Hamon 2008, 11, p. 621-622.
123 Arch. nat., MC, ét. XIX, 20, 1er et 12 août 1503. Analysé dans Hamon 2008, n° 11, p. 423.
124 BnF, Est., Oa 13, fol. 65.
125 Arch. dép. Eure-et-Loir, E 164, n° 32.
126 Nous n’en avions pas jusqu’ici la certitude. Cf. Hamon 2004.
127 Arch. dép. Eure-et-Loir, E 164, n° 32.
128 Genty 1898.
129 Arch. dép. Seine-Maritime, 23 HP 3, 8 août 1516. Le procès fut toutefois réglé à l’amiable, « en consideracion qu’il [l’amiral de Graville] est fondateur et plusieurs de ses nobles progeniteurs inhumez audict prieuré ».
130 Arch. dép. Eure-et-Loir, E 164, n° 33.
131 Perret 1889, p. 223.
132 Arch. nat., 399 AP 406, comptes de la seigneurie du Bois-Malesherbes 1494-1495.
133 Grodecki 1996, note 3 p. 340, citant F. Gonzaga, De origine seraphicæ religionis franciscanæ, Rome, 1587, p. 590.
134 Les archives se rapportant au couvent, conservées aux Archives départementales du Loiret, ont malheureusement brûlé en 1940.
135 Hamon 2010, p. 453.
136 Stein 1932-1933, p. 209-210.
137 Gand 1970, p. 58.
138 Noblet 2001 et Noblet 2009.
139 Cassagnes-Brouquet 2007, p. 165-167.
140 Voir le relevé de son tombe (BnF, Mss., français 4901, fol. 179 ; Dechamps 2015, p. 273-274).
141 Noblet 2001, p. 108.
142 Arch. dép. Eure-et-Loir, E 164, n° 32.
143 Épitaphe éditée dans Perret 1889, p. 207.
144 Arch. dép. Eure-et-Loir, E 164, n° 34, fol. 3.
145 Arch. nat., Z1J 1163.
146 Arch. dép. Eure-et-Loir, E 164, n° 33.
147 Bulletin de la commission des antiquités de la Seine-Inférieure 1889.
148 Voir le relevé de cette boîte dans Naef 1892, p. 182.
149 Hellot 1889, p. 11-12, citant un manuscrit du XVIIe siècle (Rouen, Bibl. municipale, fonds Martainville, Ms. Bigot Y 5, Graville).
150 BnF, Est., Pe 11c, fol 82.
151 Sur la mort et les funérailles des princes à la fin du Moyen Âge, voir Gaude-Ferragu 2005.