Table des matières
Chapitre IV. Questions générales relatives aux expositions métaphysiques
- I. Les concepts d’exposition, d’expositions métaphysique et transcendantale
- II. La logique des expositions
- III. Distinction et ordre des expositions de l’espace et du temps s’imposent-ils ?
- IV. Kant n’aurait-il pas dû ou pu faire intervenir ici d’autres considérations ?
- A. Le paradoxe des objets non congruents
- B. La relativité du mouvement
- C. L’argument complémentaire de la deuxième remarque générale
- V. Le problème de la complétude de l’exposition des formes de la sensibilité
Chapitre VI. L’exposition transcendantale de l’espace et le débat sur la philosophie kantienne des mathématiques
- I. La démonstration de l’apodicticité du philosophème kantien dans les premières remarques générales
- II. L’exposition transcendantale proprement dite
- III. L’ambiguïté ou la double finalité de l’exposition transcendantale
- IV. La nouveauté de la problématique de 1781 par rapport à celle de 1770
- V. La réception de l’exposition transcendantale et l’appréciation de la philosophie kantienne des mathématiques
Chapitre VIII. Les thèses de parité du temps et de l’espace, du sens interne et du sens externe
- I. La parité de l’espace et du temps est-elle effective ? La spécificité reconnue et déniée du temps
- A. L’assimilation du sort du temps à celui de l’espace
- B. L’exposition métaphysique du temps
- C. L’exposition transcendantale du temps
- D. La reconnaissance de la spécificité du temps au § 6, b
- E. Le cinquième alinéa des conséquences du temps
- F. L’éclaircissement du § 7
- II. La parité du sens interne et du sens externe. Est-elle effective ? Est-elle tenable ?
- A. En quel sens le temps peut-il être dit « forme du sens interne » ?
- B. La spécificité de la démonstration de l’idéalité de l’objet du sens interne
Chapitre IX. Le philosophème de l’Esthétique transcendantale
- I. Le philosophème lui-même : les objets sensibles ne sont pas les choses mêmes
- II. Le procès de la théorie leibnizo-wolffienne
- III. La raison fondamentale de la phénoménalité de l’objet des sens : la sensibilité comme réceptivité
- IV. Un philosophème à l’originalité contestée parce que méconnu dans sa radicalité
- V. De la regrettable intrication de deux thèmes dans l’Esthétique
Chapitre XI. La question de la démonstrativité de l’Esthétique. La Dialectique doit-elle et peut-elle se porter au secours de l’Esthétique ?
- I. L’objection d’une lacune démonstrative
- II. L’antinomie cosmologique peut-elle servir de preuve de l’idéalité transcendantale de l’espace et du temps ?
- A. Les antinomies dynamiques n’imposent pas la doctrine de l’Esthétique transcendantale
- B. La solution des antinomies mathématiques n’impose pas la doctrine de l’Esthétique transcendantale
- C. L’idéalité de l’espace et du temps ne résout pas vraiment les antinomies mathématiques
- D. Quel rapport entretiennent véritablement l’Esthétique et l’Antithétique transcendantales ?
- III. Kant a-t-il envisagé et réfuté la troisième possibilité ?
- Appendice. L’idéalisme transcendantal est-il établi ostensivement ou apagogiquement ?
Chapitre XII. Le problème de l’économie de la Critique et de la compatibilité de l’Esthétique avec l’Analytique
- I. La mise en cause de l’économie de la Critique
- II. L’Esthétique transcendantale est de plein droit la première partie de la théorie transcendantale des éléments
- III. Le faux jour de l’Esthétique transcendantale
- A. Les contresens possibles sur la sensibilité
- 1. La sensibilité donnerait elle-même des « objets » et les « objets » seraient donnés
- 2. La sensibilité aurait quelque chose de synthétique
- 3. La sensibilité pourrait procurer, à elle seule, la connaissance du phénomène
- B. Les contresens possibles sur ce qui peut être établi dans l’Esthétique transcendantale ou sur ce qu’elle peut fournir
- 1. L’impossibilité de la connaissance de la chose en soi
- 2. La distinction du phénomène d’avec l’apparence
- 3. La solution complète de l’énigme des jugements synthétiques a priori
- 4. L’explication de la valeur a priori objective des mathématiques
- C. Contresens possibles sur l’espace et sur le temps
- 1. L’espace et le temps seraient des sources de connaissance dans lesquelles on pourrait « puiser »
- 2. Espace et temps comme intuitions n’auraient pas à être construits
- 3. Espace et temps seraient perceptibles en eux-mêmes, indépendamment de toute intuition empirique
- D. Quelques thèses auxquelles l’Esthétique transcendantale ne prépare pas
- 1. La distinction entre forme de l’intuition et l’intuition formelle
- 2. L’insuffisance de l’intuition pure pour la constitution de la connaissance mathématique
- 3. La connaissance des états internes n’est pas possible dans le sens interne seul
- 4. La fonction médiatrice du temps entre la sensibilité et l’entendement
- E. La chose en soi de l’Esthétique transcendantale
- IV. L’Esthétique transcendantale et le sens du criticisme