1 Papadopoulos 2003.
2 Mazarakis Ainian 2007-2008, p. 386-388 ; Mazarakis Ainian 2010, p. 76.
3 Voir en dernier lieu, M. Sakellariou, Ethnè grecs à l’Âge du bronze. XII. Graikoi/Graioi, Graikes/*Graes, Athènes, 2009.
4 Mazarakis Ainian 1998 ; 2002a ; 2002b ; 2003 ; 2007 ; 2006-2007.
5 Mazarakis Ainian 2002b ; Mazarakis Ainian 2007b.
6 Vlachou 2007.
7 Doonan, Mazarakis Ainian 2007. Voir aussi Mazarakis Ainian 2002a, p. 164-165.
8 Mazarakis Ainian 1998, p. 181-191.
9 Vlachou 2010.
10 Charalampidou 2008.
11 Gros 2007.
12 D’après la prospection magnétique effectuée en 1997 par R. Doonan : Doonan, Mazarakis Ainian 2007, p. 366-367.
13 Doonan, Mazarakis Ainian 2007, p. 365-366.
14 Verdan 2007, p. 349.
15 Mazarakis Ainian 2001, p. 147-148.
16 Selon Vlachou 2010, p. 18-20, qui a défini les dates absolues des différentes phases d’occupation du site Géométrique.
17 Doonan, Mazarakis Ainian 2007, p. 366-367.
18 A. Mazarakis Ainian, Prakt (1999), p. 49, 54, pl. 35β, 36α.
19 Géométrique récent I, 750-740/735 av. J.-C. jusque Géométrique récent IIa, 740/735-720 av. J.-C., phases brune et rouge.
20 Phases jaune, 720-710 av. J.-C. et orange 710-700/690 av. J.-C.
21 Cette première interprétation, présentée dans Ergon (1998), p. 24, a été abandonnée à la suite des analyses de laboratoire : A. Mazarakis Ainian, Prakt (1998), p. 59-60 ; Vlachou 2010, p. 50-51.
22 Vlachou 2010, p. 48-51.
23 La température de ce foyer ne dépassait pas 500o C : voir aussi A. Mazarakis Ainian, Prakt (1998), p. 60.
24 A. Mazarakis Ainian, Prakt (1998), p. 61-62.
25 A. Mazarakis Ainian, Prakt (1998), p. 62-64.
26 Entre autres objets, un sceau en stéatite rouge, décoré d’un oiseau, semble provenir de la première phase d’utilisation du bâtiment A.
27 A. Mazarakis Ainian, Prakt (2002), p. 11-12.
28 A. Mazarakis Ainian, Prakt (1999), p. 54-59 et Prakt (2003), p. 10-11.
29 Pour les rapports de fouille de ce vaste secteur voir A. Mazarakis Ainian, Prakt (1999), p. 60-63 ; Prakt (2000), p. 41-61 ; Prakt (2001), p. 27-44 ; Prakt (2002), p. 8-11 ; Prakt (2007), p. 9-14 ; Prakt (2008), p. 7-22 ; Ergon (2009), p. 26-28 ; Ergon (2010), p. 13-15 ; Ergon (2011), p. 14-17.
30 A. Mazarakis Ainian, Prakt (2006), p. 9-21 ; Mazarakis Ainian 2006-2007, p. 103-104, 105, fig. 16-17.
31 Mazarakis Ainian, 2002a, p. 158, 161, 166-169 ; Mazarakis Ainian 2006, p. 202 ; Mazarakis Ainian 2006-2007, p. 96-97.
32 720-710 av. J.-C. ou phase orange 710-700 à 690 av. J.-C.
33 Vlachou 2010, p. 73-74. Cette interprétation suscite des réserves : il nous semble qu’il s’agit d’un édifice ovale dont les murs furent arasés à une phase postérieure, à l’exception des antes de la partie sud : voir A. Mazarakis Ainian, Prakt (2000), p. 54-55.
34 A. Mazarakis Ainian, Prakt (1996), p. 47, 49, 72-73 ; Prakt (1997), p. 62-65 ; Prakt (2000), p. 58 ; Mazarakis Ainian 2002, p. 165. À l’ouest du bâtiment A, une aire circulaire avec de fortes traces de combustion pourrait être un four de potier, mais cette identification n’est pas certaine : A. Mazarakis Ainian, Prakt (2002), p. 11, pl. 8α.
35 I. Lemos, AR (2007-2008), p. 54 ; I. Lemos, AR (2008-2009), p. 48-49 ; I. Lemos, dans Pruvot, Reber, Theurillat 2010, p. 58.
36 Mazarakis Ainian 1997, p. 122-123.
37 Coulton, Catling 1993, p. 10-12, 51-52, pl. 7-8 (les structures des angles sud-ouest et sud-est.
38 Mazarakis Ainian 1997, p. 48-57.
39 L. H. Sackett, dans Coulton, Catling 1993, p. 74-76. Discussion par Hasaki 2002, p. 326-328.
40 H. W. Catling, T. Catling dans Popham et al. 1980, p. 93-97, en particulier, p. 96 ; Popham 1994, p. 22 ; Lemos 2006, p. 514, n. 41.
41 Pour le « Mégaron » de la Région I, voir Lemos 2007, p. 125 ; I. Lemos dans Kaltsas, Fachard, Psalti, Giannopoulou 2010, p. 54 ; I. Lemos dans Pruvot, Reber, Theurillat 2010, p. 59 ; I. Lemos, AR (2007-2008), p. 51-53 ; I. Lemos, AR (2008-2009), p. 47-48 ; I. Lemos, AR (2009-2010), p. 87. À Azoria, en Crète, une installation « industrielle » pour un pressoir de vin, datée du vie siècle av. J.-C. occupait une place séparée, à la périphérie de la cité : D. C. Haggis, M. S. Mook, C. M. Scarry, L. M. Snyder, W. C. West, « Excavations at Azoria, 2002 », Hesperia 73 (2004) p. 369-370.
42 Sapouna-Sakellaraki 1998. Hasaki 2002, p. 326, se demande s’il ne s’agit pas de fours domestiques. J.-S. Gros n’écarte pas l’hypothèse que ces structures appartiennent à l’époque mycénienne, sans toutefois apporter d’explication (Gros 2007, p. 82).
43 E. Sapouna-Sakellaraki, « Ανασκαφή στο Καστϱί Λιχάδας Ευβοίας το 1994 », ArcheionEubMel 21 (1994-1995), p. 107, p. 131, fig. 19A, pl. 5, qui le date du premier Âge du fer. Voir dernièrement concernant le site, K. Boukaras, « Ιστοϱική τοπογϱαφία πεϱιοχής ακϱωτηϱίου Λιχάδας και αϱχαιολογική έϱευνα », Proceedings of an archaeological colloquium on North Euboea, 1998, AnthrAChron 6 (2009), p. 97-100.
44 Verdan 2007.
45 Huber 1991.
46 Verdan 2007, p. 349-350.
47 Verdan 2007, p. 351.
48 Verdan 2007, p. 350-351, parle d’une « aire de travail ».
49 Verdan 2007, p. 351-352.
50 Verdan 2007, p. 350. On observe le même phénomène à Oropos : Doonan, Mazarakis Ainian 2007, p. 371, 374.
51 Themelis 1983, p. 157-165 ; Themelis 1992, p. 29-38 ; Mazarakis Ainian 1987, p. 6-10 ; Le Rider, Verdan 2002 ; S. Verdan, dans Kaltsas, Fachard, Psalti, Giannopoulou 2010, p. 71-73 ; S. Verdan dans Pruvot, Reber, Theurillat 2010, p. 70-71 et 100.
52 Lederey 2006, p. 1044-1045, 1049, fig. 2 (ST 46).
53 Lederey 2007, p. 267 ; Verdan 2007, p. 353. Le matériel date du Géométrique moyen II et Géométrique récent (surtout du Géométrique récent I) et le puits et la fosse ont été scellés durant le Géométrique récent II.
54 Pour la nécropole de la Porte de l’Ouest, voir Berard 1970 ; Blandin 1998 ; Blandin 2007, v. II, p. 35-58.
55 W. Fasnacht pense aux chaudrons en bronze : W. Fasnacht, « Sanctuary of Apollo and West Quarter : Do Two Different Technologies Mean Two Different Traditions ? », dans Verdan 2007, p. 354-355.
56 Verdan 2007, p. 352-353. Selon Crielaard 2007, p. 184-188, la stratification des quartiers habités par l’élite que nous avons proposée (Mazarakis Ainian 1987, p. 20-21 et 23) devrait être abandonnée. Pourtant, la production métallurgique, liée, comme nous le croyons, à l’élite, est concentrée dans les parties centrale et Nord de l’habitat.
57 Schmid 2000/2001 ; Hasaki 2002, p. 325.
58 Voir récemment Pruvot, Reber, Theurillat 2010, p. 54.
59 A. Tuor, AntK 25 (1982), p. 158-160 et pl. 28, 5 ; K. Gex, AntK 32 (1989), p. 113.
60 De Polignac 2005, p. 65-66.
61 Sur ces questions, A. Mazarakis Ainian, « Ένδον Σκάπτε : The Tale of an Excavation », dans Mazarakis Ainian 2007a, p. 29-31 ; Mazarakis Ainian 2007-2008, p. 389-391.
62 Carrington-Smith, Vocotopoulou 1988, 1989, 1990, 1992. Carrington-Smith, Vocotopoulou 1992, p. 498 ; Mazarakis Ainian 1997, p. 239-241.
63 Carrington-Smith, Vocotopoulou 1988, p. 358-359 ; 1989, p. 425-427 ; 1990, p. 443-447 ; 1992.
64 Pour un bilan récent sur ce sujet, voir Tiverios 2008, en particulier sur Koukos, p. 13.
65 Buchner 1970/71 ; Klein 1978 ; Ridgway 1984 ; Buchner, Ridgway 1993.
66 Le port moderne d’Ischia s’étend entre Mezzavia et Vicco, ce qui rend difficile la compréhension de la relation entre les deux régions dans l’Antiquité.
67 Buchner 1970/71 ; Klein 1978 ; Mazarakis Ainian 2006, p. 204-206.
68 Par exemple Morris 1987, p. 64-65 ; Camp 1986, p. 33. Pour une synthèse récente voir D’Onofrio 2007-2008.
69 Papadopoulos 2003, p. 126-143 (kiln H 12 : 17). Monaco 2000, p. 17-34 ; Hasaki 2002, 323-324. Le four était incorporé dans la cour d’une structure que le fouilleur avait identifié comme une maison. Voir dernièrement Lippolis 2007-2008, p. 413-421.
70 Papadopoulos 1996, p. 122-124 ; Papadopoulos 2003, p. 271-316 ; contra Greco 1997, p. 210 ; Lemos 2006, p. 514-516.
71 Papadopoulos 2003, p. 297-316 qui se base sur Gauss, Ruppenstein 1998, qui proposent aussi que l’Acropole était habitée durant la période géométrique. Contra Lemos 2006, p. 513-516. Voir aussi, Morgan 2003, p. 68-69 ; Étienne 2004, p. 30.
72 Mazarakis Ainian 2007-2008 p. 386-388 et Mazarakis Ainian 2010, p. 76, où cette idée est déjà formulée.
73 Pour un corpus récent des vestiges attribués au début de l’Âge du fer à Athènes : D’Onofrio 2007-2008, qui soutient aussi le caractère « mixte » et étendu de l’habitat.
74 Concernant le caractère « mixte » de l’Acropole voir aussi Hurwit 1999, p. 98 et D’Onofrio 2007-2008, p. 441-443.
75 Smithson 1974, p. 332-333 ; D’onofrio 2001, p. 267-270.
76 Coldstream 1995 ; Liston, Papadopoulos 2004.
77 Burr 1933 ; Mazarakis Ainian 1997, p. 86-87.
78 D’Onofrio 2001, p. 257-320.
79 Travlos 1972, chapitre III, pl. 3 ; Mazarakis Ainian 1997, p. 245.
80 Mazarakis Ainian, Liveratou 2010 ; Mazarakis Ainian, Alexandridou 2011. Le groupe de canthares et de coupes du GA trouvés dans la parcelle Kokkinogenis est plus probablement un dépôt cultuel qu’un vestige d’atelier de potier (Mazarakis Ainian, Livieratou 2010, p. 89-94).
81 Parlama, Stampolidis 2000, p. 32.
82 Mussche et al. 1969 ; Mussche et al. 1984 ; Morris 1987, p. 68-71 ; Mazarakis Ainian 1997, p. 146-147.
83 Sur la localisation des ateliers à Athènes, voir Baziotopoulou-Valavani 1994 ; Monaco 2000, p. 17-28. En général sur les fours de potiers du début de l’Âge du fer, voir Papadopoulos 1989 ; Blondé, Perreault 1992 ; Hasaki 2002, p. 220-225 ; Papadopoulos 2003, p. 201-209 ; Gros 2007, p. 80-84.
84 Papadopoulos 2003, p. 276 et n. 22.
85 Papadopoulos 1989 ; Papadopoulos 2005, p. 38-40, 74-75, 760 fig. 38. Il date du Géométrique récent et se trouvait à la limite nord de la nécropole.
86 Quatre fours du Protogéométrique ont été récemment fouillés à Palaia Kokkinia, dans la rue Kechayia, le long d’une rue antique, parmi des tombes et des puits contenant de la céramique : Mazarakos et al. 2008, p. 155, 164, photo 15 (voir aussi M. Thermou, TO BHMA, 8-2-2009). À une distance probablement assez importante de cette fouille (le long de la rue Peiraios), on signale un grand bâtiment du Géométrique récent, à plusieurs pièces autour d’une cour centrale.
87 Courbin 1963, p. 71, 73, 98-100, fig. 7 ; Cook et al. 1963. L’un au moins, du début du Protogéométrique, s’est révélé servir à la coupellation de l’argent (Desborough 1972, p. 162, pl. 31A ; Hasaki 2002, p. 324-325). Le four date du début du Protogéométrique Selon Courbin, les artisans se sont installés dans ce secteur avant qu’il ne serve de nécropole, toujours durant le PG.
88 ΑΑ 2001, p. 613-733 (« Jahresbericht 2000 des Deutschen Archäologisches Institut »), en particulier, p. 640. D. Blackman, AR (2000-2001), p. 30-31. Les fours ont été découverts dans le secteur nord-est de la ville basse et datent du Protogéométrique. Entre les structures (au moins deux), il y avait des passages, des rues pavées et de ratés de cuisson.
89 N. Kontoleon, Prakt (1967), p. 116, pl. 93β. Papadopoulos 1989, p. 43 (d’après K. Syriopoulos, Εἰσαγωγή εἰς τήν ἀρχαίαν ἑλληνικήv ἱστορίαν. Οι Μεταβατικοί Χρόνοι, B’, Athènes, 1983, p. 612).
90 Marangou 2002, p. 195-198 : four creusé dans le rocher, accompagné d’une fosse de purification, mais difficile à dater. Selon L. Marangou, la première utilisation du four date des ixe-viiie siècles av. J.-C.
91 Parcelle Giannopoulou, qui ne restitue qu’une partie d’un espace artisanal plus étendu : K. Tsakos, « Σάμος, Οικόπεδαo Γιαννοπούλου (αϱ. 115) », ADelt 28 (1973), p. 537-540, pl. 500β ; Hasaki 2002, p. 330-331.
92 Gesell, Day, Coulson 1988, p. 290-293, fig. 5, pl. 79. Le four date de l’extrême fin de l’Âge du bronze.
93 D. Levi, ASAtene 19-20 (1957/8), p. 272-274, fig. 103-104 ; Hasaki 2002, p. 330.
94 Nikolaou 2003, p. 127-128, 136 fig. 11-12 (au lieu-dit Kéfalosi). Voir aussi, Malakasioti, Mousioni 2004, p. 355 (datés du Protogéométrique) ; Malakasioti 2003, p. 112. Une date dans le Sub-protogéométrique est avancée par Malakasioti, Tsiouka 2011, p. 609. Les fours étaient distants de 26,53 m l’un de l’autre.
95 S. Dakaris, Prakt (1967), p. 40-41. I. D. Sotiriou, Prakt (1969), p. 103-111 ; Papadopoulos 1989, p. 44 et Hasaki 2002, p. 328, le datent du début de l’Âge du fer, mais selon Gros 2007, p. 83, n. 238, « le contexte général de la fouille ainsi que le pithos retrouvé dans la structure sont bien antérieurs à cette époque ».
96 P. Amandry, « Chronique des fouilles en 1949 », BCH 74 (1950), p. 316-328 : plusieurs structures dans les maisons à l’εst de la Lesché des Knidiens (ibid., p. 328, fig. 41) ; un four de potier (?) sous la rampe du temple d’Apollon (ibid., p. 321-322, fig. 28 et 29).
97 Coldstream 2003, p. 292, sur la place des ateliers dans les habitats de l’époque géométrique.
98 En tout cas selon les données recueillies à Oropos et à Érétrie : Doonan, Mazarakis Ainian 2007, p. 372 ; Verdan 2007, p. 352.
99 Doonan, Mazarakis Ainian 2007, p. 371.
100 Mazarakis Ainian 2006. Pour l’importance du fer au début du ier millénaire et son monopole par les élites, voir Morris 1989.
101 Concernant la production artisanale dans les sanctuaires : Risberg 1998.
102 Verdan 2007, p. 353. Sur la mobilité des potiers à l’époque archaïque, Coulié 2000.
103 Doonan, Mazarakis Ainian 2007, p. 372-373. Voir aussi : Odyssée XVII 381-387. Sur la relation des activités métallurgiques à Oropos et les Telchines : Mazarakis Ainian 2002a, p. 168-169.
104 Comme par exemple les « semi-aristocrates » de Ch. Starr (Starr 1977, p. 123-128). Sur la technologie du fer et la nouvelle idéologie de l’élite à partir de la fin du xie siècle av. J.-C. on peut consulter Morris 2000, p. 208-218, plus précisément, p. 218 : Iron defined the tenth-century elite order.
105 Starr 1977, p. 80-81.
106 Feyel 2006, p. 432-437 pour une discussion de ces sources littéraires. Voir aussi Starr 1977, p. 92-95.
107 On pourrait étendre la discussion à d’autres formes de production, comme le tissage et le traitement de la pourpre dont Oropos donne plusieurs exemples à l’intérieur des demeures : cf. notamment Theodoropoulou 2007, p. 436-437.