1 Xavier Le Person, « Practiques » et « practiqueurs ». La vie politique à la fin du règne de Henri III, Genève, Droz, 2002.
2 Mémoires de Philippe Hurault de Cheverny, p. 476, cité par Jacqueline Boucher, La cour de Henri III, Rennes, Éditions Ouest-France, 1986, p. 16.
3 Jacqueline Boucher, Société et mentalités autour de Henri III, Paris, Champion, 2007, p. 27.
4 Id., Deux épouses et reines à la fin du xvie siècle. Louise de Lorraine et Marguerite de France, Saint-Étienne, Publications de l’université de Saint-Étienne, 1995, p. 135.
5 Bibliothèque nationale de France (BNF), ms. Champion, 5073, juin 1582, cité dans J. Boucher, Société et mentalités…, op. cit., 2007, p. 31.
6 Thierry Wanegffelen, Le pouvoir contesté. Souveraines d’Europe à la Renaissance, Paris, Payot, 2008, p. 102-107.
7 Lettre de Philippe Desportes, 11 août 1587, citée par J. Boucher, op. cit., 2007, p. 104-105.
8 Cette notion, utilisée tant par Éliane Viennot que Thierry Wanegffelen pour l’ensemble de la première modernité, se trouve analysée pour les dernières années du xvie siècle par Michel de Waele, « La fin des Guerres de religion et l’exclusion des femmes de la vie politique française », French Historical Studies, 2006, 29 (2), p. 199-230.
9 Nicolas Le Roux, Un régicide au nom de Dieu. L’assassinat d’Henri III. 1er août 1589, Paris, Gallimard, 2006, p. 48.
10 Lettres de Henri III, roi de France, Pierre Champion, Michel François (éd.), Paris, Klincksieck, 1965, II [1er septembre 1574 – 6 août 1576], n° 1219 : lettre à Monsieur de Bellièvre, le 5 février 1575.
11 Noël Gillet, Epithalame et chant nuptial sur la nopce du Tres Chrestien Roy de France et de Pologne, Henry troisiesme de ce nom & de Loïse de Lorraine. A la Royne, Lyon, Joue & Pillehotte, 1575, strophe 10.
12 François du Tertre, Epithalame sur le mariage du Roy & tres noble & tres excellente princesse Loyse de Lorraine. Par F.R. Parisien, Lyon, Rigaud, 1575.
13 Atelier de Jean Decourt, Louise de Lorraine, reine de France (1553-1601), vers 1575. Pierre noire, sanguine, pastel, aquarelle jaune et rose sur papier, BNF, Estampes, Na 22 Rés., boîte 16, n° 1.
14 Anonyme, Louise de Lorraine, reine de France. Huile sur toile, Museum of Fine Arts, Houston.
15 Antoine Malet, Oeconomie spirituelle et temporelle de la vie et maison, noblesse et religion des nobles et grands du monde, dressée sur la vie, piété et sage oeconomie de Louyse de Lorraine Royne de France et de Pologne, Paris, E. Foucault, 1619, VI, p. 6.
16 Attribué à Hieronymus Francken, Bal à la cour d’Henri III, après 1583. Huile sur toile, 120 x 183 cm. Paris, musée du Louvre, département des Peintures, inv. 8730.
17 Anonyme, Scène de bal, dit Bal à la cour des Valois, après 1582. Huile sur toile, 94 x 155 cm. Blois, Musée du château, inv. 873.3.2.
18 Girolamo Ragazzoni, évêque de Bergame, nonce en France, Correspondance de sa nonciature (1583-1586), P. Blet (éd.), Faculté d’histoire ecclésiastique de l’Université pontificale grégorienne et École française de Rome, Rome-Paris, Éditions de Boccard, 1961, p. 370 : « Il cardinale di Vademont et il duca di Mercurio, suo fratello, et il duca du Guisa hanno dimostrato al padre Claudio, gesuita, haver gran sospetto che il Re Christianissimo sia per ripudiar la moglie come sterile alligando vanamente che il re di Francia hanno privilegio di far tali repudij quando le moglie loro sono sterili per il spatio di dieci anni. »
19 J. Boucher, Deux épouses et reines…, op. cit., 1995, p. 139.
20 Lettre de Louise de Lorraine, reine de France, à Anne d’Este, duchesse de Nemours, septembre 1580, à Bourbon-Lancy, BNF, ms. fr. 3238, fol. 26.
21 Nicolas Le Roux, La faveur du Roi. Mignons et courtisans au temps des derniers Valois (vers 1547-vers1589), Seyssel, Champ Vallon, 2000, p. 436-440.
22 J. Boucher, op. cit., 1995, p. 130-131.
23 Œuvres complètes de Pierre de Bourdeilles, seigneur de Brantôme, Ludovic Lalanne (éd.), Paris, veuve J. Renouard, 1864, VI, p. 337.
24 Pierre de L’Estoile, Registre-Journal du règne de Henri III, Madeleine Lazard et Gilbert Schrenck (éd.), Genève, Droz, 1997, III, p. 114-115 (20 novembre 1580).
25 Id., tome IV (1582-1584), Genève, Droz, 2000, p. 88 (11 avril 1583).
26 J. Boucher, op. cit., 1995, p. 138.
27 Frances A. Yates, Astrée. Le symbolisme impérial au xvie siècle, trad. fr., Paris, Belin, 1989, p. 371. Plusieurs dessins se rapportent également à une procession menée par Louise de Lorraine. Elle est ainsi représentée sortant du Louvre, tenant la maquette d’une église et entourée d’enfants imaginaires, après des séries d’images figurant les parents éprouvés par Dieu et qui ont finalement eu des enfants, tels Abraham et Sarah, Zacharie et Élisabeth, etc.
28 Balthazar de Beaujoyeulx, Le Balet comique de la Royne by B. de B. A fac simile with an introduction by Margaret McGowan, New York, Center for Medieval & Early Renaissance Studies, 1982, p. 2 r°.
29 Ibid., stances de Claude Billard, v. 14-24.
30 Ibid., « Chant des Tritons », p. 17 v°-18 v°.
31 Ibid., « dialogue de Glaucus et de Thétys », p. 22 r°.
32 Le Balet comique…, cité dans J. Boucher, Deux épouses et reines…, op. cit., 1995, p. 111.
33 P. de L’Estoile, op. cit., tome III, p. 109-110 (septembre 1580).