1 André Malraux, « La Métamorphose des dieux, Le Surnaturel, II, La foi, VI, » in Écrits sur l’art, II, op. cit., p. 357.

2 « […] il (Cimabue) semble émerger maintenant presque exactement conforme à ce que la tradition établie par Dante avait fait de lui, c’est-à-dire le dernier et le plus accompli des représentants de la maniera greca en même temps que le précurseur immédiat de Giotto […] » Erwin Panofsky, La Renaissance et ses avant-courriers dans l’art occidental, traduit de l’anglais par Laure Verron, Flammarion (1960), 1976, p. 125.

3 René Laurentin, Court traité de théologie mariale, Paris, P. Lethielleux éditeur, 1959, p. 64.

4 George Knox est le seul à dater le tableau de 1736 dans la monographie qu’il consacre à Piazzetta. Il est par ailleurs le seul à contester de manière argumentée le titre du tableau pour lui préférer le titre plus générique de Pastoral Scene. George Knox, Giambattista Piazzetta, 1682-1754, Oxford, Clarendon Press, 1992.

5 Je remercie Xavier Vert pour son aide précieuse sur ce tableau.

6 D. Maxwell White and A. C. Sewter, I disegni di G. B. Piazzetta nella Biblioteca reale di Torino, Ist. Poligrafico e Zecca dello Stato- Archivi di Stato, Roma, 1969.

7 Leslie Marion Jones, The Painting of Giovanni Battista Piazzetta, Thesis PH. D, New York University, 1981.

8 « A liking for homely and slightly sentimental exercises in the Flemish manner, but I doubt that he would have welcomed a serious lecture on the problems of combining drinking and womanizing any more than a sermon on Bossuet and the intricacies of seventeenth-century theology. » George Knox, Giambattista Piazzetta, 1682-1754, op. cit., p. 190.

9 Joris-Karl Huysmans, « Les Grünewald et le musée de Colmar » (1904), Écrits sur l’art, op. cit., p. 407.

10 Ibid., p. 404.

11 Jean Renoir, Ma vie et mes films, op. cit., p. 84.

12 Gilles Deleuze, Francis Bacon, Logique de la sensation, Paris, éditions La différence, 1984, p. 57.

13 Joris-Karl Huysmans, « Les Grünewald et le musée de Colmar » (1904), op. cit., p. 412.

14 Ibid., p. 412.

15 Edgar Wind, « The Meanad under the Cross, I. Comments on an Observation by Reynolds, 1937 », cité par François René Martin, « Œuvres, visions et archaïsmes », in François René Martin, Michel Menu, Sylvie Ramond, Grünewald, Paris, Hazan, 2012, p. 177.

16 François René Martin, « Œuvres, visions et archaïsmes », in François René Martin, Michel Menu, Sylvie Ramond, Grünewald, Hazan, 2012, p. 178.

17 Joris-Karl Huysmans, « Les Grünewald et le musée de Colmar (1904) », op. cit., p. 410.

18 Sylvie Ramond, « Grünewald et ses artistes », in François René Martin, Michel Menu, Sylvie Ramond, Grünewald, Hazan, 2012, p. 288.

19 Joris-Karl Huysmans, « Les Grünewald et le musée de Colmar » (1904), op. cit., p. 392.

20 Ibid., p. 292.

21 Louange perpétuelle.

22 Huysmans, Écrits sur l’art, op. cit., p. 414.

23 Dans sa lettre à Aragon, Jean Renoir qui lui fait part de ses démêlés judiciaires avec Jean des Vallières, rappelle le sens politique de son film : « Mon cher Aragon, Il m’arrive une chose un peu embêtante. Je m’excuse de t’en parler mais c’est parce qu’il s’agit, je crois, d’une tentative plus générale qu’un simple chantage. J’ai fait La Grande Illusion avec des souvenirs de camarades qui m’ont raconté leur captivité. […] Les journaux de droite : Candide, Action française, etc. ont constaté le succès du film mais avec des réticences, tout au moins avec un certain étonnement de voir un individu qu’ils considèrent comme dangereux révolutionnaire, aborder un sujet national et lui donner une forme pouvant satisfaire la majorité des spectateurs de toute opinion. Dans certains de ces journaux (je crois que c’est dans un article du jeune Fayard) on avait vaguement fait allusion au fait que j’avais, peut-être, puisé ma documentation dans un bouquin d’un ami de Fayard qui s’appelle Desvallières. Cette allusion m’avait semblé très ridicule car le bouquin de Desvallières (Le Cavalier Scharnorst) est un bouquin assez haineux, dans lequel on parle de « boches », écrit dans un esprit nationaliste étroit et désagréable. Or, j’ai fait tout mon possible pour faire un film qui, tout en étant national, serait absolument internationaliste. » Jean Renoir, « Lettre à Aragon du 25 juin 1937 », in Correspondances 1913-1978, op. cit., p. 54-55.