1 http://www.ecritsdesforges.com/ (page consultée le 21 août 2013).
2 « L’Université du Québec est chargée d’un mandat de présence active sur l’ensemble du territoire québécois et de développement des régions » (extrait du texte d’accueil du site du réseau de l’Université du Québec, http://www2.uquebec.ca/siteuq/accueil.html [page consultée le 4 janvier 2008]).
3 Prospectus des Éditions des Forges, 1971. Deux ans plus tard, Les Éditions des Forges deviennent les Écrits des Forges.
4 Gaston Miron, L’Homme rapaillé, Paris, Gallimard, 1999, p. 83.
5 Jacques Michon (dir.), Histoire de l’édition littéraire au Québec au xxe siècle, vol. I, La Naissance de l’éditeur. 1900-1959, Montréal, Fides, 1999, p. 274.
6 Laurent Mailhot et Pierre Nepveu, La Poésie québécoise des origines à nos jours, Montréal, Éditions de l’Hexagone, « Typo », 1996 [1986], p. 25. Soulignons que Lapointe n’a pas publié son recueil à l’Hexagone mais aux Éditions du Jour.
7 Gatien Lapointe, « Au cœur du Québec », Estuaire, nos 9-10, décembre 1978, p. 116.
8 Les travaux de Gilles Deleuze ont exercé une influence considérable sur les études littéraires et philosophiques au cours des années 1980. Un collègue et ami de Lapointe, Armand Guilmette, mettait ces œuvres au programme.
9 Bernard Pozier, Yves Boisvert et Louis Jacob, Manifeste : Jet/usage/résidu, Trois-Rivières, Écrits des Forges, « Les rouges-gorges », 1977, p. 61.
10 Louise Blouin, « Gatien Lapointe parle des Écrits des Forges », Le Nouvelliste, 30 août 1980, p. 14.
11 Louise Blouin et Bernard Pozier, Poètes des Écrits des Forges, Montréal, Fides, « Bibliothèque québécoise », 2003, 157 p.
12 Frank Smith et Christophe Fauchon, « Une ville-poésie : Trois-Rivières (Québec) », entretien avec Gaston Bellemare, dans Zigzag Poésie. Formes et mouvements : l’effervescence, Paris, Autrement, « Mutations », 2001, p. 123.
13 Voir le site du Festival international de la poésie de Trois-Rivières : http://www.fiptr.com/ [page consultée le 21 août 2013].
14 « Bienvenue aux jeunes poètes de Trois-Rivières », Le Devoir, 1er mai 1971, p. 12.
15 Hugues Corriveau, Lettres québécoises, no 71, 1993, p. 37. Voici le passage incriminant : « Mais il y a pire, car les Écrits des Forges confie l’impression de ses textes à un imprimeur nommé Art graphique inc. à Trois-Rivières; or, cet imprimeur ne connaît que le gros papier cartonné, épais, et sa colle est aussi épaisse que de la matière plastique, (si ce n’est pas un mélange d’eau et de farine comme dans notre enfance). Ce qui fait que les livres se cassent, explosent. […] Pourquoi, ciel, faut-il que certains livres des Écrits des Forges soient si laids ? »
16 Pierre Nepveu, « La poésie qui se fait et celle qui ne se fait pas », Lettres québécoises, n° 9, 1978, p. 15-17.
17 Lettres québécoises est un magazine qui couvre l’actualité littéraire québécoise. Dans le n° 20, Richard Giguère signe le premier article consacré aux Forges depuis celui de Nepveu. Voix et images est une revue savante gérée par le Département d’études littéraires de l’Université du Québec à Montréal. Elle est entièrement consacrée à la littérature québécoise. André Brochu y a tenu une chronique de poésie pendant de longues années.
18 Olivier Kemeid, Jean-Philippe Warren, « La contre-culture dans le Québec inc. », Revue Liberté, no 299, printemps 2013, p. 9.
19 Dans le cadre du festival où le lauréat doit assurer une présence constante dans les lectures de poèmes ou les entretiens médiatiques, un éditeur obtient une garantie de succès de vente. Les Forges y sont bien représentés, avec onze lauréats, ex aequo avec les éditions du Noroît, mais la palme revient aux Herbes rouges.
20 « À nous demain. Poétiques d’auteurs et pratiques éditoriales aux Écrits des Forges (1971-2011) », colloque organisé par Sébastien Dulude, Hélène Marcotte et Jacques Paquin, Trois-Rivières, Université du Québec à Trois-Rivières, 14-15 octobre 2011. Les actes de ce colloque sont présentement sous presse aux Éditions Nota Bene.