Table des matières
Catherine Collobert
Homère et les Grecs : la lecture de CastoriadisPhilippe Caumières
Le social-historique chez Castoriadis et le poids de la pensée héritée- I. La critique de la pensée marxiste
- A. De la critique du contenu à la critique du principe
- B. La double orientation de la pensée de Marx
- C. Le paradoxe de la connaissance historique
- II. La compréhension historique
- A. Les significations historiques
- B. Mise en cause des positions traditionnelles
- C. Première vue sur l’ontologie de Castoriadis et ses implications
- III. Pour ne pas conclure : la position de Castoriadis en question(s)
Christophe Bouton
Le principe de faisabilité de l’histoire chez CastoriadisOlivier Fressard
L’idée de création social-historique- I. De la création
- A. L’idée de création dans la tradition philosophique
- B. La conception castoriadienne de la création
- II. Un moment idéaliste
- A. Du mode d’existence des faits institutionnels
- B. Le caractère nécessaire des faits institutionnels
- C. Le caractère arbitraire des faits institutionnels
- D. « Règles constitutives » et « institution de la société » : un parallèle Castoriadis/Wittgenstein
- III. La part de réalisme
- A. Une création sous contrainte
- B. Conclusion : réalisme ou relativisme ?
Flavio Cassinari
Temps et identité chez Castoriadis, une aporie bergsonienne- I. La critique castoriadienne de l’idéologie individualiste
- II. La réalité du temps selon Castoriadis
- A. Le temps comme institution
- B. Le temps comme objet
- III. Les caractères du temps dans son interprétation objective et la conception de l’identité qui en découle
- A. Les caractères de l’« être-ainsi en soi » du temps
- B. Le bergsonisme de Castoriadis et ses conséquences sur la conception de l’identité
- C. Au-delà de Castoriadis avec Castoriadis : l’institution du temps en tant que configuration d’identité
Éric Clémens
Créations, brisures, déterminitésIsabelle Delcroix
Le social-historique, cet « être-événement »- Introduction
- I. Le monde, le social-historique et l’événement
- II. La naissance, archétype de l’événement
- A. Le paradigme de la naissance et non celui du mourir
- B. Le monde de la naissance : la naissance comme don du monde
- C. Faire naître le monde dans le monde : de la naissance comme praxis
- D. Pour l’émergence d’un « sujet-événement »
- E. L’événement, ou ce qui surgit dans la fissure et de la rencontre
- III. « L’institution événementiale de la société »
- A. La dimension événementiale du réel – ou social-historique
- B. Qu’est-ce que la société ?
- C. Praxis révolutionnaire et sujet autonome
- Conclusion : Quel événement pour quelle révolution ?
