1 Vasset (P.), Une vie en l’air, Paris, Arthème Fayard, 2018, p. 138.

2 Parent (A.M.), Xanthos (N.), « Introduction », dans Intérieurs d’Hélène Lenoir, op. cit., p. 7.

3 Martin-Achard (F.), Voix intimes, voix sociales : usages du monologue romanesque aujourd’hui, Paris, Classiques Garnier, 2017, p. 30.

4 Ibid., p. 20.

5 Jenny (L.), La fin de l’intériorité, Paris, Presses Universitaires de France, 2002, p. 44.

6 Adert (L.), Les mots des autres: lieu commun et création romanesque dans les œuvres de Gustave Flaubert, Nathalie Sarraute et Robert Pinget: essai, Paris, Presses universitaires du Septentrion, 1996 ; Rykner (A.), Nathalie Sarraute, Paris, Le Seuil, 1991.

7 Rykner (A.), Nathalie Sarraute, op. cit., 1991, p. 23.

8 Cohn (D.), La transparence intérieure: modes de représentation de la vie psychique dans le roman, Paris, Le Seuil, 1981, p. 22.

9 Ibid.

10 Ibid., p. 22-23.

11 Benasayag (M.), Le mythe de l’individu, Paris, La Découverte, 2004.

12 Jenny (L.), La fin de l’intériorité, op. cit., 2002.

13 Bikialo (S.), « Hélène Lenoir : un minimalisme orchestré », art. cit., 2012, p. 258.

14 Martin-Achard (F.), « Une intériorité sans psychologie ? Étude sur trois romans de la vie intérieure (Kerangal, Lenoir, NDiaye) », art. cit., p. 5-14.

15 Martin-Achard (F.), Voix intimes, voix sociales, op. cit., 2017, p. 38.

16 Authier-Revuz (J.), « Hétérogénéité(s) énonciative(s) », Langages, 73, (1984), p. 98-111.

17 Bikialo (S.), « Hélène Lenoir : un minimalisme orchestré », art. cit., 2012, p. 261-266.

18 Blanckeman (B.), « En cellule familiale », in Intérieurs d’Hélène Lenoir, op. cit., p. 191.

19 Duras (M.), Beaujour (J.), La vie matérielle, op. cit., 1987, p. 70.

20 Viart (D.), « Formes et dynamiques du ressassement : Giacometti, Ponge, Simon, Bergounioux », in Écritures du ressassement, sous la direction de Benoît (É.), Pessac, Presses universitaires de Bordeaux, 2001, p. 59.

21 Bacry (P.), Les figures de style et autres procédés stylistiques, Paris, Belin, 1992, p. 236.

22 Ibid.

23 Martin-Achard (F.), « Une intériorité sans psychologie ? », art. cit., 2016, p. 11.

24 « Lacan pose l’équivalence entre le symptôme et les points de suspension » (Izcovich (L.), « L’écriture du symptôme », L’en-je lacanien, 16 (17 juin 2011), p. 91, en ligne, https://doi.org/10.3917/enje.016.0081, page consultée le 5 juillet 2019.

25 Ibid., p. 83.

26 Bonnet (G.), « R-e-s-s-a-s-s-e-r à rebours, c’est encore ressasser », in Écritures du ressassement, op. cit., 2001, p. 48.

27 Rabaté (D.), « Singulier, pluriel », in Écritures du ressassement, op. cit., 2001, p. 15.

28 Ibid.

29 Ibid.

30 « Nathalie, ta tante Nathalie, Natha, tu te souviens d’elle ?... Quelque chose comme ça et on verra si j’ai raison de penser qu’elle est tout à fait sortie du tunnel et capable avec moi aussi, en adulte, je n’ai plus besoin de ces trucs de gosse, photos et compagnie pour lui réapprendre l’alphabet Bohlander. Sa grand-mère, le curé et Violaine, le bon tonton Bernard, la sainte famille de Versailles » (PR, p. 107).

31 Bikialo (S.), « Hélène Lenoir : un minimalisme orchestré », art. cit., 2012, p. 259.

32 Martin-Achard (F.), « Une intériorité sans psychologie ? », art. cit., 2016, p. 11.

33 Ibid.

34 Robert Dion évoque une « herméneutique entravée » (Dion (R.), « Un récit suspendu : La Folie Silaz », in Intérieurs d’Hélène Lenoir, op. cit., 2019, p. 129).

35 Martin-Achard (F.), « Une intériorité sans psychologie ? », art. cit., 2016, p. 13.

36 Ibid., p. 12.

37 Ibid.

38 Robert Dion parle ainsi de récit « suspendu » ou « flou » (Dion (R.), « Un récit suspendu : La Folie Silaz », art. cit., 2019).

39 Martin-Achard (F.), « Une intériorité sans psychologie ? », art. cit., 2016, p. 13.

40 Barthes (R.), Comment vivre ensemble, op. cit., 2002, p. 89.

41 Perrot (M.), Histoire de chambres, op. cit., 2009.

42 Ibid., p. 8.

43 Ibid., p. 9.

44 Wajcman (G.), L’architecture, l’intime et le secret, 2008, p. 9, en ligne, http://www.lelaa.be/index.php?site=flexpaper&flexpaper=484, page consultée le 4 août 2022.

45 Artières (P.), Histoire de l’intime, op. cit., 2022, p. 9.

46 Perrot (M.), Histoire de chambres, op. cit., 2009, p. 9.

47 Ibid., p. 10.

48 Tiberghien (G.A.), Notes sur la nature..., op. cit., 2005, p. 37-38.

49 Perrot (M.), Histoire de chambres, op. cit., 2009, p. 9.

50 Wajcman (G.), Fenêtre, op. cit., 2004, p. 457.

51 Ibid., p. 459.

52 Piret (P.), « Le dispositif minimaliste et la dialectique du désir (Echenoz, Toussaint) », in Représenter à l’époque contemporaine. Pratiques littéraires, artistiques et philosophiques, sous la direction d’Ost (I.), Piret (P.), Van Eynde (L.), Bruxelles, Facultés universitaires Saint-Louis, 2010, p. 342.

53 Lacan (J.), Écrits I, Paris, Le Seuil, 1999, p. 428.

54 Ibid.

55 Chemama (R.), « Autre », in Dictionnaire de la psychanalyse, op. cit., 2009, p. 79-81.

56 Ibid., p. 80.

57 Lacan (J.), Le séminaire de Jacques Lacan, texte établi par Jacques-Alain Miller. Livre XVI : D’un Autre à l’autre. 1968-1969, Paris, Le Seuil, 2006, p. 249.

58 Authier-Revuz (J.), Ces mots qui ne vont pas de soi. Boucles réflexives et non-coïncidences du dire, Paris, Larousse, 1995, p. 80-81.

59 Authier-Revuz (J.), « Hétérogénéité(s) énonciative(s) », art. cit., 1984, p. 99.

60 Wajcman (G.), « L’architecture, l’intime et le secret », art. cit., 2008, p. 6-7.

61 Levy (D.), État des lieux, trad. Céline Leroy, Paris, Éditions du sous-sol, 2021, p. 23.

62 Parent (A.M.), « Home sweet home », art. cit., 2019, p. 20.

63 Goetz (B.), Théorie des maisons, op. cit., 2011, p. 106-107.

64 Askofaré (S.), « Du corps... au discours », in Pratiques et usages du corps dans notre modernité, sous l direction de Doucet (C.), Gaspard (JL.), Eres, Toulouse, 2009, p. 61, en ligne, http://www.cairn.info/pratiques-et-usages-du-corps-dans-notre-modernite---page-59.htm, page consultée le 4 août 2022.

65 Ibid.

66 Perrot (M.), Histoire de chambres, op. cit., 2009, p. 10.

67 Wajcman (G.), « L’architecture, l’intime et le secret », art. cit., 2008, p. 10.

68 Cotea (L.), À la lisière de l’absence. L’imaginaire du corps chez Jean-Philippe Toussaint, Marie Redonnet et Éric Chevillard, Paris, L’Harmattan, 2013.

69 Notons que ce partage genré de l’espace dans l’œuvre de Lenoir a également été relevé par la critique : Besnard (A.), « L’individu face à la famille. Femmes à la (re)conquête de leur identité », in Le roman contemporain de la famille, sous la direction de Coyault (S.), Jérusalem (C.), Turin (G.), Paris, Lettres modernes Minard, 2015 2015, p. 199-212 ; Kieffer (M.), « “Écriture féminine” et identités de genre : les fictions polémiques de Marie Redonnet et Hélène Lenoir », SELF XX - XXI, Écriture féminine aux XXe et XXIe siècles, entre stéréotype et concept, 2015, en ligne, https://self.hypotheses.org/publications - en - ligne/ecriture - feminine - aux - xxe - et - xxie - siecles - entre - stereotype - et - concept/corps - feminins - corps - politiques - 1, page consultée le 4 août 2022.

70 Woolf (V.), Un lieu à soi, préface et traduction de Marie Darrieussecq, Paris, Gallimard, 2020, p. 11.

71 Ibid., p. 10.

72 Adler (A.), « Une chambre à soi dans les romans d’Hélène Lenoir », in Intérieurs d’Hélène Lenoir, op. cit., p. 51.

73 Adélie Le Guen commente ainsi, entre autres, des photographies de Susan Meiselas et de Jennifer Karady, une vidéo de Nuria Güell, des performances d’Emma Sulkowicz et des installations de Penny Slinger (Le Guen (A.), « Chambres en souffrance : révéler la parole des artistes et des femmes victimes de violences à travers l’espace intime », Les Cahiers de l’Ecole du Louvre, 15 (2020), p. 1-16).

74 Notons que dans La crue de juillet, c’est le personnage masculin qui subit une agression sexuelle de la part de la protagoniste (CJ, p. 59).

75 Wajcman (G.), « L’architecture, l’intime et le secret », art. cit., 2008, p. 6.

76 Barthes (R.), Comment vivre ensemble, op. cit., 2002, p. 89.

77 Ibid.

78 Wajcman (G.), « L’architecture, l’intime et le secret », art. cit., 2008, p. 11.

79 Ibid., p. 6.

80 Ibid. Rappelons que dans son ouvrage sur la fenêtre et comme nous l’avons résumé, Wajcman montre que l’oculus de Mantegna « laïcise » le regard de l’Autre dans la chambre, ne le faisant pas disparaître mais autorisant le sujet à s’imaginer à l’abri du regard dans la chambre.

81 Butler (J.), Ces corps qui comptent : de la matérialité et des limites discursives du sexe, Paris, Amsterdam, 2009, p. 105.

82 Woolf (V.), Une pièce bien à soi, préface et traduction d’Elise Argaud, Paris, Rivages, 2012.

83 Goetz B., Théorie des maisons, op. cit., 2011, p. 39-40.

84 Wajcman (G.), L’œil absolu, op. cit., 2010, p. 13-14.

85 Fine (A.), « La production du féminin. L’exemple de l’écriture de soi », in Ce que le genre fait aux personnes, Bonnemère (P.), Théry (I.), Paris, École des hautes études en sciences sociales, 2008, p. 238-239.

86 Ibid., p. 246.

87 Ibid.

88 Ibid.

89 Viart (D.), « Fictions familiales versus récits de filiation. Pour une topographie de la famille en littérature », in Le roman contemporain de la famille, op. cit., 2015, p. 21.

90 Rabaté (D.), « La gloire de l’infamille », in Le roman contemporain de la famille, op. cit., 2015, p. 219 ; Reggiani (C.), « Depuis 198 », in Reid (M.), Femmes et littérature. Une histoire culturelle II, Paris, Gallimard, 2020, coll. Folio Essais, p. 439-440.

91 Demanze (L.), Encres orphelines : Pierre Bergounioux, Gérard Macé, Pierre Michon, Paris, Corti, 2008.

92 Thibaudet (A.), Réflexions sur la littérature, édition établie et annotée par A. Compagnon et C. Pradeau, Paris, Gallimard, 2007, pp. 877-892.

93 Viart (D.), « Fictions familiales versus récits de filiation. Pour une topographie de la famille en littérature », art. cit., 2015, p. 22.

94 Thibaudet (A.), Réflexions sur la littérature, op. cit., 2007, p. 881.

95 Rabaté (D.), « La gloire de l’infamille », art. cit., 2015, p. 224.

96 Eiguer (A.), L’inconscient de la maison, op. cit., 2013, p. 14-16 ; p. 103-160.

97 Bourdieu (P.), Les structures sociales de l’économie, Paris, Le Seuil, 2000, p. 34-35.

98 Demanze (L.), Encres orphelines, op. cit., 2008, p. 13.

99 Blanckeman (B.), « En cellule familiale », art. cit., 2019, p. 183.

100 Sennet (R.), Les tyrannies de l’intimité, op. cit., 1979, p. 141.

101 Kaufmann (J.C.), La chaleur du foyer : analyse du repli domestique, Paris, Méridiens Klincksieck, 1988.

102 Salignon (B.), Qu’est-ce qu’habiter ?, Paris, Éditions de la Villette, 2010, p. 75.

103 Rabaté (D.), « La gloire de l’infamille », art. cit., 2015, p. 228.

104 Collington (T.), « “Cette existence de vermine” : images de bêtes et de bestioles dans les intérieurs infestés d’Hélène Lenoir », in Intérieurs d’Hélène Lenoir, op. cit., 2019, p. 236.

105 Bikialo (S.), « Hélène Lenoir : un minimalisme orchestré », art. cit., 2012, p. 261.

106 Sartre (J.P.), « Préface » de : Sarraute (N.), Portrait d’un inconnu, Paris, Gallimard, 1974, p. 8-9.

107 Sarraute (N.), L’Usage de la parole, Paris, Gallimard, 1980, p. 97.

108 Rykner (A.), Nathalie Sarraute, op. cit., 1991.

109 Bikialo (S.), « Hélène Lenoir : un minimalisme orchestré », art. cit., 2012, p. 266.

110 Ibid., p. 263-264.

111 Ainsi cet échange entre Richard et Paule, retirés dans leur chambre :

‒ Toi, vraiment j’admire, je ne sais pas comment tu fais, tu supportes sans broncher, tu sais faire, tu te débrouilles toujours pour être dans ses petits papiers et il apprécie, il est très sensible à tous ces efforts que tu fais, je le vois bien et j’en suis très content.

‒ Oh, ce n’est pas grand-chose, et puis je le fais pour toi, chéri, tu sais bien ! C’est mon naturel, ça, je n’y peux rien, j’ai besoin d’harmonie, d’amour, de paix autour de moi. (p. 74).

112 Piret (P.), « Fonctions du verbalisme dans le théâtre contemporain », Incertains regards. Cahiers dramaturgiques, 3 (2013), p. 39.

113 Bonnet (G.), « R-e-s-s-a-s-s-e-r à rebours, c’est encore ressasser », art. cit., 2001, p. 42.

114 Bikialo (S.), « Hélène Lenoir : un minimalisme orchestré », art. cit., 2012, p. 263.

115 Lejeune (P.), Bogaert (C.), Le journal intime. Histoire et anthologie, Paris, Textuel, 2006, p. 139.

116 Ibid., p. 142.

117 Didier (B.), Le journal intime, Paris, Presses Universitaires de France, 1976, p. 116-137.

118 Albert (J.P.), « La maison des écritures : présentation », in Écritures ordinaires, sous la direction de Fabre (D.), Albert (J.P.), Paris, Centre Georges Pompidou. Bibliothèque publique d’information, 1993, p. 35.

119 Lejeune (P.), Le Moi des demoiselles : enquête sur le journal de jeune fille, Paris, Le Seuil, 1993 ; Lejeune, Bogaert, Le journal intime. Histoire et anthologie, op. cit., 2006.

120 Fine (A.), « La production du féminin. L’exemple de l’écriture de soi », art. cit., 2008, p. 238.

121 Albert (J.P.), « La maison des écritures : présentation », art. cit., 1993, p. 35.

122 Ibid., p. 34.

123 Fine (A.), « La production du féminin. L’exemple de l’écriture de soi », art. cit., 2008, p. 238-239.

124 Artières (P.), Histoire de l’intime, op. cit., 2022, p. 65.

125 Lacan (J.), Le séminaire de Jacques Lacan., texte établi par Jacques-Alain Miller. Livre XVIII : D’un discours qui ne serait pas du semblant 1971, Paris, Le Seuil, 2006, p. 120-121.

126 Ibid., p. 121.

127 Ibid.

128 Ibid.

129 Piret (P.), « Présentation », art. cit., 2008, p. 10-11.

130 Lacan (J.), Le séminaire de Jacques Lacan. XVIII, op. cit., 2006, p. 122.

131 Darmon (M.), « Lettre », in Dictionnaire de la psychanalyse, op. cit., 2009, p. 323.

132 Piret (P.), « Présentation », art. cit., 2008, p. 11.

133 Izcovich (L.), « L’écriture du symptôme », art. cit., 2011, p. 89.

134 Piret (P.), « Présentation », art. cit., 2008, p. 11.

135 Cohn (D.), La transparence intérieure, op. cit., 1981.

136 Didier (B.), Le journal intime, op. cit., 1976, p. 116.

137 Piret (P.), « Fonctions du verbalisme dans le théâtre contemporain », art. cit., 2013, p. 40.

138 Milner (J.C.), L’amour de la langue, Paris, Le Seuil, 1978, p. 27.

139 Piret (P.), « Fonctions du verbalisme dans le théâtre contemporain », art. cit., 2013, p. 40.

140 Izcovich (L.), « L’écriture du symptôme », art. cit., 2011, p. 85.

141 Ibid., p. 89-90.

142 Lacan (J.), Le séminaire de Jacques Lacan. XVIII, op. cit., 2006, p. 120.

143 Ibid., p. 122.

144 Solal (J.F.), « “ La parole, c’est la cure ” », Revue française de psychanalyse, 71, 5, (2007), p. 1681, en ligne, https://doi.org/10.3917/rfp.715.1679, page consultée le 6 juillet 2019.

145 Izcovich (L.), « L’écriture du symptôme », art. cit., 2011, p. 90.

146 Collington (T.), « “Cette existence de vermine” : images de bêtes et de bestioles dans les intérieurs infestés d’Hélène Lenoir », art. cit., 2019, p. 237-239.

147 Piret (P.), « Présentation », art. cit., 2008, p. 11.

148 Izcovich (L.), « L’écriture du symptôme », art. cit., 2011, p. 89, nous soulignons.

149 Bikialo (S.), « Hélène Lenoir : un minimalisme orchestré », art. cit., 2012.

150 Jenny (L.), La fin de l’intériorité, op. cit., 2002, p. 43.

151 Lacan (J.), Le séminaire de Jacques Lacan. XVIII, op. cit., 2006, p. 119.

152 Izcovich (L.), « L’écriture du symptôme », art. cit., 2011, p. 87.

153 Ibid., p. 89.

154 Ibid., p. 90.

155 Cohn (D.), La transparence intérieure, op. cit., 1981, p. 236.

156 Ibid., p. 243.

157 Albert (J.P.), « La maison des écritures : présentation », art. cit., 1993, p. 35.

158 Ortel (P.), « Avant-propos », art. cit., 2008, p. 6.

159 Rabaté (D.), « La gloire de l’infamille », art. cit., 2015, p. 226, nous soulignons.

160 Lacan (J.), Séminaire VII. L’éthique de la psychanalyse, op. cit., 1986, p. 144.

161 Wajcman (G.), « L’architecture, l’intime et le secret », cit., 2008, p. 6.

162 Lacan (J.), Séminaire VII. L’éthique de la psychanalyse, op. cit., 1986, p. 144.

163 Vandermersch (B.), « Chose (la) », in Dictionnaire de la psychanalyse, op. cit., 2009, p. 102.

164 Saint-Cyr (V.M.), « Créer un vide ou de la sublimation chez Lacan », Recherches en psychanalyse, 13 (03.09.2012), p. 15, en ligne, https://doi.org/10.3917/rep.013.0014, page consultée le 4 juillet 2019.

165 Ibid., p. 16.

166 Ibid., p. 15-16.

167 Ibid., p. 16.

168 Ibid.

169 Saint-Cyr (V.M.)., « L’architecture réussit là où l’hystérie échoue », in Pourquoi est-il si difficile de parler d’architecture ?, actes du colloque organisé par le LAA au CIVA, les 3, 4 et 5 décembre 2013, op. cit., 2014, p. 57.

170 Ibid., p. 64.

171 Bikialo pose le même constat, parlant d’« absence de dénouement explicatif » et de fins « ouvertes » (Bikialo (S.), « Hélène Lenoir : un minimalisme orchestré », art. cit., 2012, p. 256-257).

172 Lacan (J.), Le séminaire de Jacques Lacan. Livre VII : L’éthique de la psychanalyse (1959-1960), texte établi par JA. Miller, Paris, Le Seuil, 1986, p. 162.

173 Ibid., p. 145.

174 Saint-Cyr (V.M.), « Créer un vide ou de la sublimation chez Lacan », art. cit., 2012, p. 14.

175 Desprats-Péquignot (C.), « Sublimation », in Dictionnaire de la psychanalyse, op. cit., 2009, p. 552.

176 Lacan (J.), Séminaire VII. L’éthique de la psychanalyse, op. cit., 1986, p. 145.

177 Desprats-Péquignot (C.), « Sublimation », art. cit., 2009, p. 552.

178 Saint-Cyr (V.M.), « Créer un vide ou de la sublimation chez Lacan », art. cit., 2012, p. 16.

179 Ibid.

180 Ibid., p. 19.

181 Vandermersch (B.), « Objet a », in Dictionnaire de la psychanalyse, op. cit., 2009, p. 403.

182 Lacan (J.), Séminaire VII. L’éthique de la psychanalyse, op. cit., 1986, p. 145.

183 Ibid., p. 146.