Euterpe et Harpocrate ou le défi littéraire de la musique
|II. Présence de la musique dans la littérature : deux illustrations contemporaines
Chapitre 2. Figures de musiciens romantiques dans le roman d'aujourd’hui : un cas exemplaire d’interdépendance musique-littérature
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Textauszug
Franz Schubert ne s'habitue pas à vivre loin de Vienne, ici à Prague, ou chez le comte Esterhazy, à Szeliz, loin des amis Schober, Mayrhofer et Senn.
François-Régis BASTIDE, La fantaisie du voyageur, Paris, Le Seuil, 1976, p. 203
Il y a tout lieu de croire que Franz Schubert a quitté Zseliz aux environs du 20 octobre 1824. Mais les circonstances de ce départ demeurent énigmatiques, et comme brusquées par on ne sait quelle poussée d'impatience, d'amertume ou de déraison.
Jean LIBIS, La musique et l'hiver, Paris, Balland, 1985, p. 248
On trouve chez Jane Austen, dans un roman paru au lendemain de la bataille de Waterloo, un petit passage très révélateur. L'auteur, on le sait, venait de vivre une douloureuse transplantation. Dans le roman, transplantée elle aussi dans une nouvelle communauté, Mrs Elton, née Miss Hawkins, exprime sa satisfaction d'arriver dans une communauté à la vie musicale riche :
I am dotingly fond of music-passionately fond - and my friends say I am not entirely devoid ...
© Presses de l’Université Saint-Louis, 1988
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