Table des matières

Première partie. L'éthique comme mise à l'épreuve des convictions

• 1.1. La conviction religieuse dans les sociétés post-chrétiennes
• 1.2. Religion et politique dans les mouvements populaires de libération
• § 1. L’Eglise acteur social et politique
• § 2. Le support rationnel de l’action institutionnelle
• § 3. L’objectivation des pratiques ecclésiales
• § 4. Perspective historique
• § 5. Une crise de l’autorité
• § 6. Les origines directes de la crise actuelle
• § 7. D’autres repères
• § 8. Et la théologie de la libération ?

• 2.1. Croyances et représentations des acteurs
• 2.2. La sémantique chrétienne de l’action sociale
• § 1. Pour une définition de l’éthique sociale en christianisme
• § 2. Critères d’action et représentations de l’action
• § 3. La notion de « réserve eschatologique »
• § 4. L’utopie mobilisatrice
• § 5. Une norme dynamique
• § 6. L’interaction entre marxisme et christianisme
• § 7. Le modèle gramscien
• § 8. Crible gramscien et crible de la théologie de la libération
• § 9. Bilan intermédiaire
• 2.3. Une issue critique au fondamentalisme de la conviction religieuse
• § 1. Esotérisme et occultisme : croyances et tabous
• § 2. Illuminismes et millénarismes contemporains
• § 3. La religion attestée
• a) Le rapport dogmatique
• b) Le rapport apologétique
• c) Le rapport philosophique
• d) Le rapport mystique
• e) Le rapport narratif
• f) Remarque sur les procédés de lecture
• § 4. La religion institutionnalisée
• a) L’« Eglise invisible »
• b) L’« Eglise visible »
• c) Les « chrétiens sans Eglise »
• d) L’« Eglise des pauvres »
• e) Question d’appartenance
• § 5. Conclusion intermédiaire
• 2.4. Dire Dieu aujourd’hui. Religiosité et milieu populaire
• § 1. Les formes actuelles de la religiosité en milieu populaire : illuminisme et obscurantisme
• § 2. Le dire-Dieu dans cette culture
• § 3. Un dire-Dieu décentré

Deuxième partie. Les convictions comme puissance de disposition éthique

• § 1. Présentation du paradigme communicationnel
• § 2. Les convictions dans la Théorie de l’agir communicationnel
• § 3. Ricoeur versus Habermas
• a) Le point litigieux
• b) La position de Ricoeur
• c) La réponse de J.-M. Ferry
• § 4. Portée éthique de la critique de Ricoeur
• § 5. Les limites de la compréhension wébérienne des convictions

• § 1. Représentation et moralité
• § 2. Religion et rationalité des convictions
• § 3. Exposé analytique de l’Ecrit sur la religion
• a) Le mal radical : premier argument
• b) La figure du Christ : deuxième argument
• c) L’Ecriture : troisième argument
• § 4. Conviction et illusion transcendantale
• § 5. Conviction et finalité
• §6. Une philosophie de la Vie

• 3.1. Convictions et monde vécu selon le paradigme communicationnel-Essai critique
• § 1. Communication et autoréférentialité
• § 2. La question de la récursivité du langage
• § 3. Le dépassement herméneutique de l’impasse communicationnelle
• § 4 Le dépassement phénoménologique de l’impasse communicationnelle
• 3.2. La critique du paradigme subjectiviste dans le « marxisme phénoménologique »
• § 1. Habermas et la philosophie de la praxis
• § 2. L’interprétation critique de Castoriadis
• § 3. Justification historique du changement de paradigme
• § 4. Monde vécu et « magma » : critique de la critique de Castoriadis
• § 5. Des questions en suspens
• § 6 Les critiques formulées par Castoriadis
• 3.3. La critique de la phénoménologie
• § 1. La lecture habermassienne de Husserl
• § 2. Apel versus Habermas : Raison téléologique et monde vécu
• § 3. Le « plan phénoménologique » dans la théorie de l’action
• § 4. Les composantes du monde vécu dans la Théorie de l’agir communicationnel
• § 5. Sociologie compréhensive versus phénoménologie
• § 6. Résistance du point de vue phénoménologique
• 3.4. Pour une phénoménologie des convictions
• § 1. Intropathie et conviction
• § 2. Structures de validité et communauté d’action
• § 3. Convictions et récapitulations