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L’impuissance du cinéma

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Suzanne Beth

Remerciements

Volltext

1Pour remercier Silvestra Mariniello, ma directrice de thèse, de la qualité de sa présence, de la chaleur de son soutien et de la finesse de son attention, je détournerai les mots du danseur de butô Amagatsu Ushio et dirai que, dans sa direction, c’était l’espace lui-même qu’elle traitait avec soin. Sa rigueur et sa bienveillance ont nourri cette recherche autant qu’elles m’ont fait grandir.

2Je tiens également à remercier chaleureusement Marion Froger : c’est un privilège d’avoir pu bénéficier de son écoute exceptionnelle, qui sait toujours trouver ce qui est fructueux dans la réflexion des autres. Merci infiniment à Johanne Villeneuve et à Thomas Lamarre pour la générosité de leurs lectures, miroirs tendus vers l’avenir.

3De juin à décembre 2011, j’ai eu la chance de faire un séjour de recherche à la Graduate School of Letters de l’Université de Nagoya, au Japon, sous la supervision de Fujiki Hideaki, que je tiens à remercier profondément pour son accueil et pour la constance de son soutien depuis. Mes recherches à Nagoya ont aussi grandement bénéficié de l’aide de Mizukawa Hirofumi.

4Merci à tous ceux et celles qui, durant ces années, ont composé mon entourage amical et familial. À Montréal, c’est tout un milieu qu’il me faut remercier pour son compagnonnage intellectuel et affectif. En son sein, je pense particulièrement à Érik Bordeleau, interlocuteur constant de cette recherche menée aux confins de l’esthétique et des études est-asiatiques, et lecteur magnanime. Merci à Serge Cardinal pour la richesse des échanges initiés par notre souci partagé de la teneur éthique du cinéma. Merci à Léa Kalaora et à Anne Lardeux pour leur sens spontané et infini du commun.

5Pour l’enthousiasme de son soutien, je souhaite remercier Benjamin Thomas, sa lecture d’une rare qualité a permis la transformation de cette recherche doctorale en livre.

6Cette recherche a bénéficié d’une bourse d’études doctorales du Conseil de recherche en sciences humaines (CRSH, Canada), d’une bourse de la Japan Foundation pour un séjour de recherche de six mois au Japon et d’une bourse du Département d’histoire de l’art et d’études cinématographiques de l’Université de Montréal.

7Ce livre est dédié à Vincent Brault, compagnon tendre et courageux de ces années-là.

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