Table des matières
Michel Fabre, Loïc Clavier et Pierre Billouet
PrésentationPartie 1 - Religion et rationalité
Alain Kerlan
Chapitre Ier
Le fantôme d’Auguste Comte dans la machine pédagogique- L’exigence du temps des sciences : la régénération
- Le scandale du positivisme religieux
- Scinder Monsieur Comte lui-même…
- Prendre au sérieux, néanmoins, le positivisme religieux
- L’humanité et la culture au temps définitif des sciences
- La synthèse subjective, une exigence de civilisation
- La science sanctifiée au service de la synthèse et de l’éducation universelle
- L’exigence de l’unité
- Le fantôme d’Auguste Comte dans la machine pédagogique
- Éduquer à l’âge des sciences
- La doctrine universelle de l’éducation ou l’unité humaine réalisée
- Un message inaudible ? Pas sûr
- Conclusion
Marie-Louise Martinez
Chapitre II
Émile Durkheim : le religieux, comme sacré et comme symbolique, condition de possibilité de l’éducation et de l’humanisation- À la hauteur des dangers d’une époque perturbée, la réponse d’un questionnement puissant
- La guerre, l’antisémitisme de crise et le sacré
- La division du travail social, comprendre et enrayer la crise
- Le contexte de crise économique, sociale et politique
- Un questionnement mûrement réfléchi
- Voir et comprendre la crise du religieux pour en sortir
- Quand la religion pénètre toute vie sociale, la solidarité est mécanique
- Quand la religion se retire, un individualisme concurrentiel progresse
- La solidarité organique nécessaire aux sociétés modernes
- Priorités du religieux à venir, les finalités de l’éducation
- Sur le plan de la culture et de la connaissance
- Sur le plan du collectif
- Sur le plan subjectif
- Conclusion
Céline Chauvigné
Chapitre III
Max Weber et la sécularisation : genèse, élaboration et limites d’un paradigme- Une interrogation sur la modernité
- L’élaboration d’un paradigme : mondanisation, rationalisation, différenciation
- Les religions mondiales à l’origine du paradigme
- Des religions mondiales à l’éthique protestante
- Du protestantisme à la forme ultime de la rationalisation
- De la rationalisation économique à la rationalisation des activités sociales
- Du paradigme de la sécularisation au désenchantement : peut-on parler du religieux sans religion ?
- Désenchantement du monde : sens et interprétations
- Les formes de sécularisation : du désenchantement du monde à la recomposition du religieux
- Fin des religions ou recomposition : une lecture post-wébérienne
- Conclusion
Alfred-Romuald Gambou
Chapitre IV
Ernest Renan : l’éloge de la pensée critique- Les devanciers de Renan : contexte d’émergence de sa pensée
- Vie de Jésus de Schleiermacher
- Vie de Jésus de Strauss
- L’approche méthodologique de Renan
- Les origines du christianisme : la figure de Jésus primitif pour Renan
- L’originalité de Jésus du point de vue de Renan
- L’esprit libre et critique de Jésus
- L’idée d’une religion de la science chez Renan
- Conclusion
Partie 2 - Religion et politique
Jean-Marc Lamarre
Chapitre VI
À la source théologico-politique de la laïcité française : religion, politique et éducation chez Edgar QuinetPartie 3 - Religion, conversion, déconversion
Loïc Clavier
Chapitre X
Tolstoï : du nihilisme à une spiritualité d’inspiration chrétienne- La relation entre la morale, la religion et la science
- Nihiliste et anarchiste
- La nuit d’Arzamas ou la conversion
- L’évolution pédagogique de Tolstoï : de l’émergence d’une foi chrétienne
- La période de l’école d’Iasnaïa Poliana et de l’Abécédaire
- La foi chrétienne et les derniers écrits pédagogiques
- Conclusion
Michel Fabre
Chapitre XI
Jean-Marie Guyau ou l’anomie religieuse- Sociomorphisme religieux et nominalisme sociologique
- Genèse des religions
- Un nominalisme sociologique
- L’anomie religieuse, entre radicalité et modération
- Un traité d’irréligion
- Ce qu’il faut conserver de la religion
- Éducation irréligieuse et laïcisme concordataire
- Vers une éducation sans Dieu
- La morale sans la religion
- Conclusion
Anne Vézier
Conclusion