Avant-propos

1Cet ouvrage est la version abrégée d’une thèse de doctorat, effectuée à l’université Marc-Bloch de Strasbourg et soutenue en 2005. Il ne tient compte que de manière ponctuelle des travaux parus après cette date. Toutes les citations de sources sont données ici en traduction française seulement. Les lecteurs intéressés trouveront néanmoins les textes en version originale à l’adresse http://www.pur-editions.fr, où se trouvent également des annexes supplémentaires.

2Je voudrais exprimer ma gratitude envers les personnes qui m’ont aidé à réaliser ce livre : Georges Bischoffa accepté de diriger mon travail à l’Institut d’Histoire médiévale de l’Université Marc-Bloch. J’ai beaucoup appris de ses conseils attentifs et bienveillants. J’exprime aussi mes remerciements à tous les membres de l’Institut pendant les années 2001-2008.

3J’ai une grande dette envers Jean-Marie Moeglin, qui m’a orienté sur la ville de Ratisbonne en DEA, après avoir dirigé ma maîtrise à l’université de Paris XII, et qui a continué à suivre mon travail après mon départ pour Strasbourg.

4Pierre Monnet, alors directeur de la Mission Historique Française en Allemagne, a guidé mes premiers pas à Göttingen en 2000. Je bénéficie depuis lors de sa générosité et de son savoir sur la memoria et les villes d’Empire : il verra dans ce travail tout ce que je lui dois.

5Mon travail n’aurait pas été le même sans l’intérêt et le soutien constants du professeur Franz Fuchs, aujourd’hui à l’université de Wurtzbourg, qui m’a ouvert sa connaissance inépuisable des archives de Ratisbonne et m’a donné bien plus que son temps et son savoir. Madame Claudia Märtl, professeur à l’université Ludwig-Maximilian de Munich, m’a aussi prodigué ses conseils et m’a accueilli dans son séminaire.

6Je tiens également à remercier les personnels des différentes bibliothèques et archives qui m’ont aidé dans mon travail à Munich et Ratisbonne.

7La Mission Historique Française en Allemagne, qui m’a accueilli de 2004 à 2006, aura particulièrement aidé la réalisation de cet ouvrage. Ses membres d’alors, Philippe Büttgen, Julien Demade, Vincent Demont, Philippe Depreux et Nicolas Le Moigne m’ont soutenu sur tous les plans ; je tiens tout particulièrement à remercier le directeur d’alors, Christophe Duhamelle, pour tout ce qu’il a fait pour moi, et ne peux qu’espérer pouvoir rendre à tous mes collègues leur aide. J’ai également une pensée pour Friederike Wanjura qui nous a quittés à l’été 2005.

8Des bourses de l’université Paris XII, de la MHFA, du CIERA, et des aides de l’université Marc Bloch ont facilité mes séjours dans les archives bavaroises ; le Conseil scientifique de la Faculté des lettres, langues et sciences humaines (Université de Haute-Alsace) et du Centre de recherche sur les économies, les sociétés, les arts et les techniques (CRESAT, Université de Haute-Alsace) ainsi que de la MHFA ont soutenu la publication de l’ouvrage. Je remercie enfin les Presses Universitaires de Rennes d’avoir bien voulu l’accueillir dans leur collection « Histoire ».