1 Antoni Tapiés, « La Réalité comme art », cité in Jean-Yves Bosseur, Vocabulaire des arts plastiques au XXe siècle, op. cit., p. 22.
2 Peter Kubelka in Christian Lebrat (dir.), Peter Kubelka, op. cit., p. 71.
3 « Le cinéma n’est pas le ciné », ibid., p. 71.
4 « I don’t make films. I am just filming. »
5 Marc Jimenez, Vers une esthétique négative. Adorno et la modernité, op. cit., p. 32.
6 Stefano Masi, « Peter Kubelka, sculpteur du temps », in Christian Lebrat (dir.), Peter Kubelka, op. cit., p. 109.
7 Peter Kubelka, « La Théorie du cinéma métrique », in Christian Lebrat (dir.), Peter Kubelka, op. cit., p. 68.
8 Voir J. W. Gœthe, la Métamorphose des plantes, op. cit.
9 Jean-Marie Pontévia, Tout a peut-être commencé par la beauté, op. cit., p. 189.
10 Peter Kubelka, « La Théorie du cinéma métrique », in Christian Lebrat (dir.), Peter Kubelka, op. cit., p. 63.
11 Ibid., p. 62.
12 Serguei Eisenstein, « Béla oublie les ciseaux », in Au-delà des étoiles, Paris, UGE, 1974, p. 162.
13 Paul Sharits, « -UR(i)N(ul)LS:TREAM:S:S:ECTION:S:SECTION:-S:S:ECTIONED (A) lysis) JO: “1968-1970” », in Film Culture, no 65-66, op. cit., p. 12, notre traduction.
14 Ibid., p. 12.
15 Ibid., p. 19.
16 Umberto Eco, L’Œuvre ouverte (1962), traduction de Chantal Roux de Bézieux, Paris, Le Seuil, 1964, p. 124.
17 Rose Lowder, Le Film expérimental en tant qu’instrument de recherche visuelle, op. cit., p. 218.
18 Novalis, Le Brouillon général, op. cit., fragment no 75, p. 34.
19 Cette traduction est consultable à l’adresse suivante : [www.cerphi.net/hum/luce.htm].
20 Novalis, Le Brouillon général, op. cit., fragment no 78, p. 35.
21 « Pour réaliser l’ambiguïté comme valeur, les artistes contemporains ont souvent recours à l’informel, au désordre, au hasard, à l’indétermination des résultats », in Umberto Eco, L’Œuvre ouverte, op. cit., p. 10.
22 Ibid., p. 124.
23 Voir Christian Godin, Dictionnaire de philosophie, op. cit.
24 Novalis, Semences, op. cit, p. 159.
25 « Tout arrive en nous, bien avant que d’avoir lieu. Prophètes », Novalis, Le Brouillon général, op. cit., fragment no 516, p. 138.
26 Robert Morris cité in Mark Segal, « Hollis Frampton/Zorn’s Lemma », Film Culture, no 52, New York, printemps 1971, p. 88, notre traduction.
27 Richard Whitehall, « An Interview with Bruce Baillie », in Film Culture, no 47, op. cit., p. 17, notre traduction.
28 Bruce Baillie, in Scott Macdonald, A Critical Cinema 2, op. cit., p. 109-138, notre traduction.
29 Rose Lowder, Le Film expérimental en tant qu’instrument de recherche visuelle, op. cit., p. 234-235, nous soulignons.
30 Asger Jorn, Pour la forme, op. cit., p. 46.
31 Rose Lowder, Le Film expérimental en tant qu’instrument de recherche visuelle, op. cit., p. 205, nous soulignons.
32 Exploding, revue d’analyse de l’expérimentation cinématographique, # 5, « Formes brèves », avril 2000, n. p.
33 Friedrich Hegel, Système des Beaux-Arts (Cours d’Esthétique), traduction de Ch. Bénard, Paris, Librairie philosophique de Ladrange, 1860, p. 390-392.
34 Augustin Gimel, entretien avec l’auteur, Paris, 31 mai 2005.
35 Stan Brakhage, Métaphores et Vision, op. cit., p. 47.
36 Paul Sharits, « Mots par page », in Entendre : voir/Mots par page/Filmographie, op. cit., p. 11.
37 Theodor W. Adorno, Théorie esthétique, op. cit., p. 46.
38 Ibid., p. 45.
39 Carl Einstein, « Notes sur le cubisme », Documents 3, année 1929, Paris, Jean-Michel Place, 1991, p. 154-155.
40 Françoise Susini-anastopoulos, L’Écriture fragmentaire, op. cit., p. 232.
41 Ibid.
42 Ibid.
43 Maurice Merleau-ponty, Phénoménologie de la perception, op. cit., p. 192, nous soulignons.
44 Jonas Mekas, in Scott Macdonald, A Critical Cinema 2, op. cit., p. 87, notre traduction.
45 Maurice Merleau-ponty, « Préface », Phénoménologie de la perception, op. cit., p. 1, 5, 16.
46 Maurice Merleau-ponty, Le Visible et l’invisible, op. cit., p. 53.
47 Maurice Merleau-ponty, Phénoménologie de la perception, op. cit., p. 350, 377.
48 Jonas Mekas, Ciné-journal, op. cit., p. 179.
49 Maurice Merleau-ponty, Phénoménologie de la perception, op. cit., p. 191-192.
50 Jonas Mekas, in Scott Macdonald, A Critical Cinema 2, op. cit., p. 91.
51 Novalis, Le Brouillon général, op. cit., fragment no 502, p. 134.
52 Olivier Schefer, « La vie esthétique » (postface), Novalis, Le Monde doit être romantisé, Paris, Allia, 2002, p. 125.
53 « En transcendant la réalité immédiate, [l’art] brise l’objectivité réifiée des rapports sociaux établis et ouvre une nouvelle dimension de l’expérience : c’est la renaissance de la subjectivité rebelle », Herbert Marcuse, La Dimension esthétique, pour une critique de l’esthétique marxiste (1978), traduction de Didier Coste, Paris, Le Seuil, coll. « Philosophie générale », 1979, p. 21.
54 Jonas Mekas, Notes de programmation, MoMa, New York, juin 1970, reproduites in Film-Maker’s Cooperative Catalogue, no 6, 1975, p. 178 et traduites in Rose Lowder, Le Film expérimental en tant qu’instrument de recherche visuelle, op. cit., p. 90.
55 Jonas Mekas, Ciné-Journal, op. cit., p. 269.
56 Georges Bataille, L’Expérience intérieure, op. cit., p. 45.
57 Cette recherche de l’immédiateté, d’être « au plus près », qui se traduit par une forte discontinuité se retrouve aussi bien chez Adorno (« Or, la vie “dans son immédiateté”, vie fragmentée, mutilée, considérée délibérément d’un point de vue subjectif, ne trouve son expression que dans un texte éclaté, aussi formellement éclaté que l’est celui des Minima moralia », Marc Jimenez, Vers une esthétique négative. Adorno et la modernité, op. cit., p. 257) que chez William Burroughs dont le cut-up est envisagé comme mimésis de la vie et de la conscience.
58 Maurice Blanchot, L’Entretien infini, op. cit., p. 10.
59 Georges Didi-huberman, L’Étoilement, conversation avec Hantaï, op. cit., p. 35.
60 Stan Brakhage, « Cine-dance », in Dance Perspectives, # 30, 1967, p. 39, notre traduction.
61 Theodor W. Adorno, Philosophie de la nouvelle musique, op. cit., p. 50.
62 Sergueï M. Eisenstein, « Le fond, la forme et la pratique », in Le Film : sa forme, son sens, op. cit., p. 342.
63 « Pour l’instinct du purisme scientifique, tout mouvement expressif de la présentation menace l’objectivité… », Theodor W. Adorno, « L’Essai comme forme », in Notes sur la littérature, op. cit., p. 8.
64 Malcolm Le Grice, « Thoughts on Gidal’s Films and Theory », op. cit., p. 70.
65 Ibid., p. 71-72.
66 Jean-Luc Godard, Éloge de l’amour (2000), notre transcription.
67 Paul Sharits, « Mots par page », in Entendre : voir/Mots par page/Filmographie, op. cit., p. 10.
68 Theodor W. Adorno, Théorie esthétique, p. 210-211.
69 Theodor W. Adorno, « L’Essai comme forme », in Notes sur la littérature, op. cit., p. 14.
70 Nicole Brenez, « Ultra-moderne. Jean Epstein contre l’avant-garde (repérage sur les valeurs figuratives) », in Jean Epstein, Cinéaste, poète, philosophe, Paris, Cinémathèque française, 1998, p. 220. Ce propos introduit une citation d’Epstein : « De fait, quand on passe de l’œil d’un homme à la ceinture d’une femme, cela dit, mais à l’endroit seul de la jonction, carrément un désir », « Réalisation de détail » (1922), in Écrits 1, op. cit., p. 105.
71 Gilles Deleuze et Félix Guattari, Capitalisme et schizophrénie 1. L’Anti-Œdipe, op. cit., p. 11.
72 Philippe Grandrieux, « L’Emprise », Trafic, no 38, Paris, POL, été 2001, p. 22.
73 Nicole Brenez, « Ultra-moderne. Jean Epstein contre l’avant-garde », op. cit., p. 216-217.
74 « “Que c’est joli !”, même cette exclamation innocente revient à justifier les infamies de l’existence, qui est tout autre que belle ; et il n’y a plus maintenant de beauté et de consolation que dans le regard qui se tourne vers l’horrible, s’y confronte et maintient, avec une conscience entière de la négativité, la possibilité d’un monde meilleur », Theodor W. Adorno, Minima moralia, op. cit., p. 21-22.
75 « Tous en un tas ! Nous sommes attirés les uns vers les autres, et rien ne peut nous empêcher d’obéir à cette attraction », Franz Kafka, Recherches d’un chien, in La Muraille de Chine et autres récits (1936), traduction de Jean Carrive et Alexandre Vialatte, Paris, Gallimard, 1950, p. 233.
76 Philippe Grandrieux, « La Vie nouvelle, correspondance avec Éric Vuillard », Trafic, Paris, POL, hiver 2002, p. 29.
77 Sergueï Eisenstein, « Le montage des attractions » (1923), in Le Film, sa forme, son sens, op. cit., 1976, p. 16-17.
78 Gilles Deleuze, Logique du sens, op. cit., p. 246.
79 « Je ne répondis plus, car je m’apercevais – et une nouvelle vie me transperça, la vie que donne l’épouvante – je constatais, à des détails infimes, imperceptibles sans doute à d’autres que moi-même, qu’au fond de sa gorge le chien commençait à chanter », Franz Kafka, Recherches d’un chien, op. cit., p. 278.
80 Et comme l’écrit Grandrieux, le film a bien « la violence d’un rêve », in « La Vie nouvelle, correspondance avec Éric Vuillard », op. cit., p. 33.
81 Stéphane Delorme, « Le Chaos organisé de la Vie Nouvelle », in Cahiers du cinéma, no 570, juillet-août 2002, p. 34-35.
82 Propos de Cézanne rapportés par Joachim Gasquet dans Cézanne, Bernheim-Jeune, Paris, 1921, p. 80-81 et repris par Herbert Marcuse dans Contre-révolution et révolte, op. cit., p. 136.