1 Insc. 151 bis.
2 Également Beloch, 1927, p. 353-365 ; Bikerman, 1938a, p. 201-205 ; Musti, 1984, p. 187-189.
3 App., Syr., 62.
4 Niese, 1903, p. 94.
5 Tarn, 1930, p. 24-33 ; Tarn, 1951, p. 2-3.
6 Tarn, 1951, p. 3 et p. 442-445.
7 Bengtson, 1944, p. 19-20 et 30-38.
8 Bengtson, 1944, p. 32-38.
9 Sur cette région à l’époque séleucide, en dernier lieu : Schuol, 2000, p. 265-266.
10 L’hypothèse d’une origine séleucide pour les districts qui portaient des noms se terminant en -ηνη, -αην (ou -ιανη), trouve un contre exemple dans la description que Strabon donne de la Cappadoce où il évoque les dix provinces (strategiai) qui effectivement portent des noms en -ηνη, -αην mais, pour la plupart d’entre elles, ne peuvent avoir été des éparchies séleucides : Strab., 12, 1, 4.
11 Par exemple, pour l’« éparchie » de Susiane : Pol., 5, 46, 7. Le terme de stratégie est employé par Appien pour qualifier une province au moment de la réorganisation de la Syrie par Pompée : App., Mithr., 105.
12 I.v. Pergamon 13, l. 54-55.
13 Sur l’origine et le développement du terme de satrapie : Petit, 1990, p. 13-97 ; Briant, 1996, p. 75-78, 917-919 ; Debord, 1999, p. 23-29.
14 Bengtson, 1944, p. 118.
15 Cf. Memnon, FGrHist 434, F7.
16 Cf. Liv., 37, 44, 7.
17 Cf. Gera, 1998, p. 13-14 et 30-31.
18 Cf. Van der Spek, 1985, p. 542-562 et Van der Spek, 1987, p. 63.
19 Cf. Insc. 158.
20 Cf. Diod., 31, 19a.
21 Cf. II Macc., 3, 5.
22 Cf. Gera, 1998, p. 260-261 et 267-271.
23 Cf. Jos., AJ, 13, 88 et I Macc., 10, 69.
24 Cf. Insc. 152.
25 Cf. I Macc., 15, 38.
26 Cf. I Macc., 3, 10-12 ; Jos., 12, 261-264 et 287.
27 Del Monte, 1997, AD 3 n° 132.
28 Cf. Gera, 1998, p. 261-263 et Savalli-Lestrade, 1998b, n° 64.
29 Petit, 1990, p. 13-97 ; Briant, 1996, p. 713-788 ; Debord, 1999, p. 23-29 et p. 116-130 et Briant, 2001a, p. 121-125.
30 Pour l’organisation satrapique sous Alexandre : Debord, 1999, p. 158-165. Sur l’évolution du maillage satrapique à partir de la conquête macédonienne : Berve, 1926, p. 253-257 ; Bosworth, 1988, p. 229-241 et surtout Klinkott, 2000, p. 94-100.
31 Billows, 1985, p. 546-560.
32 Dans les années 280, il y eut un « stratège des cités d’Ionie » : RC 6 ; Syll.3 363 ; SEG 35, 926. Ce stratège avait en réalité autorité sur l’essentiel de la région côtière : Bengtson, 1937, p. 220-223 ; Franco, 1993, p. 183-187.
33 Insc. 137, l. 4-5.
34 Pol., 21, 46, 9-11.
35 Insc. 22, l. 25-26 ; Insc. 23, l. 5-6. Pour H. Bengtson, Méléagros était le responsable de l’Asie Mineure séleucide, Bengtson, 1944, p. 97-99.
36 Polemaios est connu comme « stratège des régions de l’Hellespont » en 314 : Memnon, FGrHist 434, F 4, 6 ; Billows, 1990, p. 553.
37 Liv., 38, 16, 5.
38 Dion. Byz., Anaplus Bospor., 30, 3 (Güngerich). Cf. Bengtson, 1944, p. 118.
39 Holleaux, 1938b, p. 73-125 ; Bengtson, 1944, p. 211-226 ; Allen, 1983, p. 87-90.
40 Holleaux, 1938b, p. 114-115.
41 Dans sa dédicace à Athéna après sa victoire sur Antiochos Hiérax, Attale Ier évoque la prise de la Фρυγία ἡ ἐϕ’ Ἑλλησπόντου (OGIS 274) qui correspondait sans doute à la province séleucide de l’Hellespont.
42 Antiochos Ier ( ?) et Lysimacheia : Insc. 26 ; Périnthe sous Antiochos III : Insc. 20. Un atelier royal fut installé à Lysimacheia par Antiochos Hiérax. On sait par ailleurs qu’à la fin des années 190 Antiochos III installa son fils Séleucos à Lysimacheia.
43 IG XII, 8, 156 ; Bengtson, 1952, p. 178.
44 OGIS 339 = IK-Sestos 1.
45 Selon Polybe, à Apamée les Romains donnèrent à Eumène en Europe : la Chersonnèse, Lysimacheia, les forts autour et la chôra qu’Antiochos avait contrôlée : Pol., 21, 46, 9. Il semble y avoir eu une réelle distinction dans les négociations entre cette partie européenne et la Phrygie hellespontique située du côté asiatique du détroit.
46 RC 6 ; Syll.3 363 ; SEG 35, 926.
47 Malay, 1996, p. 83-86. Cette fonction devait être identique à celle de στρατηγòς ἐπὶ τεἘϕέσου καὶ τῶν κατ᾽ Ἑλλήσποντον τόπων καὶ Kαύστρου πεδίον καὶ τò Kιλβιανόν : IK-Ephesos 201.
48 Insc. 115, l. 44-49.
49 Insc. 115, l. 8-10.
50 Musti, 1965, p. 153-160 ; Musti, 1966, p. 166.
51 L’inscription honorifique pour Boulagoras nous montre ce Samien rencontrant le roi Antiochos et sa cour à Éphèse puis à Sardes : Insc. 17, l. 9-11.
52 Ma, 1999b, p. 269.
53 Insc. 43, l. 5-10.
54 Sur Thémistoklès : Meyer, 1925a, p. 129 ; Welles, 1934, p. 134-135 ; Bengtson, 1944, p. 120 et en dernier lieu Ma, 1999b, p. 57 et 269.
55 Cf. Ma, 1999b, p. 60.
56 Insc. 29, l. 8.
57 Pol., 5, 77, 8. Sur Thémistoklès : Bengtson, 1944, p. 116-117.
58 Pol., 21, 46, 10.
59 Pol., 21, 35, 2.
60 Insc. 139, l. 13-14.
61 Cf. J. et L. Robert, Bull. épigr., 1976, 628 ; Mitchell, Waelkens, 1998, p. 24.
62 Insc. 137, l. 12-38.
63 Robert, 1967, p. 282 ; Ma, 1999b, p. 124.
64 Pol., 21, 16, 4 ; Liv., 37, 45, 5.
65 Briant, 1996, p. 686-689, 726-729.
66 Billows, 1995, p. 91-92 ; Descat, 1998, p. 167-190.
67 Kobes, 1996, p. 121-125.
68 Insc. 73, l. 4-12. Bengtson, 1944, p. 117.
69 Insc. 85, l. 4-6 où Olympichos est désigné comme le « stratège du roi Séleucos ». Insc. 82 : lettre de Séleucos II à Olympichos ; Insc. 83 : lettre d’Olympichos à Mylasa où le stratège confirme les droits de la cité ; Insc. 84 : lettre d’Olympichos à Mylasa dans laquelle le stratège annonce la consécration de terres à Zeus Osogô.
70 Insc. 125.
71 Insc. 82 ; Insc. 83 ; Insc. 84 ; Insc. 85 ; Insc. 86 ; Insc. 87 ; Insc. 88 ; Insc. 89 ; Insc. 90.
72 Insc. 103.
73 Insc. 84, l. 16-26.
74 Malay, 1996, p. 83-86, col. B. Cf. Savalli-Lestrade, 2001b, p. 81-91.
75 Bagnall, 1976, p. 105-114.
76 Bengtson, 1944, p. 14.
77 Sur la Myliade à l’époque hellénistique : Hall, 1986, p. 137-157. Inscription d’Olbasa : Kearsley, 1994, p. 47-57 ; cf. Ph. Gauthier, Bull. épigr., 1997, 563 ; Virgilio, 2003, p. 308-310.
78 Diod., 18, 3, 1. Cf. Briant, 1973, p. 47-49 ; Bosworth, 1988, p. 233 ; Debord, 1999, p. 161-162.
79 Insc. 137, l. 4-5.
80 Cf. Debord, 1999, p. 162-163.
81 L’expression de « Cappadoce séleucide » est connue grâce à Appien (App., Syr., 55). Pour K. J. Beloch, ce ne serait qu’après Couropédion en 281 que Séleucos aurait pu mettre la main sur la Cappadoce méridionale : Beloch, 1927, p. 353-355. Ed. Meyer considère en revanche que le roi séleucide tenait la Cappadoce méridionale dès 301 : Meyer, 1925a, p. 121-122. Un passage de Plutarque atteste du contrôle séleucide de la Cataonie dès 286 : Plut., Dém., 48, 1. D. Musti suggère que la Kαππαδοκὶα Σελευκίς …j était constituée dès 295 de la Cataonie et du Sud-Est de la Cappadoce, c’est-à-dire les régions qui n’étaient contrôlées ni par Ariarathe, ni par Lysimaque : Musti, 1966, p. 71-73. Pour le début du règne d’Antiochos III : Schmitt, 1964, p. 38-39.
82 Diod., 31, 19, 5. Cf. Beloch, 1927, p. 217-218 ; Bikerman, 1938a, p. 203 ; Bengtson, 1944, p. 77.
83 La Cataonie est parfois associée et parfois distinguée de la Cappadoce. Elle permettait de contrôler les voies de passage entre l’Asie Mineure et la Syrie. Cf. Briant, 1996, p. 731-732.
84 Plut., Dém., 48, 1-2.
85 Pour H. Bengtson Amyntas n’était que le chef des troupes royales dans sa satrapie : Bengtson, 1944, p. 76-78.
86 Diod., 31, 19, 6 ; Strab., 12, 1, 2. Cf. Will, 1979a, p. 292-293.
87 Insc. 137, l. 4-5.
88 Pour une géographie historique de ces régions à l’époque hellénistique : Sartre, 1988, p. 16-26.
89 Hdt., 3, 91. Cf. Briant, 1996, p. 503-505, 976-977 et 1040-1043 ; Sartre, 2001, p. 58-59.
90 Dans le royaume séleucide, la Cilicie était très fortement liée à la Syrie du Nord, le Taurus constituant la véritable frontière géographique et administrative entre l’Asie Mineure et l’Anatolie occidentale.
91 Le rôle stratégique de la Cilicie reposait sur le contrôle des routes et sur la capacité de cette région à produire du bois en grande quantité, notamment pour les chantiers navals. Cf. Briant, 1996, p. 730-733, 1038-1040 et Debord, 1999, p. 163-165.
92 Plut., Dém., 32.
93 À partir d’Antiochos IV, tous les prétendants au trône séleucide prirent pour base la Cilicie.
94 Deux stratèges lagides de Cilicie sont bien connus : l’Aspendien Aetos et son fils Thraséas : Kirsten, Opelt, 1989, p. 55-66 ; Habicht, Jones, 1989, p. 317-346.
95 P. Petrie, 2, 45 ; 3 144 (P. Gourob ; FGrHist 160). Bengtson, 1944, p. 76-77.
96 Aribazos est un nom d’origine iranienne : Robert, 1963b, p. 514-515. Les études récentes ont souligné l’importance de la présence perse dans la Cilicie achéménide : Briant, 1996, p. 730-733. On imagine volontiers qu’Aribazos ait pu appartenir à une famille perse installée en Cilicie. Cf. Holleaux, 1942f, p. 281-297 ; Bengtson, 1944, p. 76-78 ; Launey, 1949-1950, p. 566, 1250 ; Benvéniste, 1966, p. 105 ; Carsana, 1996, A6, p. 104 ; Grainger, 1997, p. 81.
97 Aribazos avait peut-être sous sa garde la grande gazophylakie de Kyinda située sur la côte cilicienne. Cf. Bengtson, 1944, p. 76.
98 Cf. Bengtson, 1944, p. 77.
99 Pour une discussion sur l’appartenance de la Commagène à la Syrie : French, 1991, p. 11-19 ; Sartre, 2001, p. 424.
100 Description de la Commagène : Strab., 16, 2, 3. Sur l’émergence du royaume de Commagène : Sartre, 2001, p. 502-504 et Facella, 2006, p. 199-224.
101 Strab., 11, 14, 15. Cf. Facella, 2006, p. 190-192.
102 Cf. Facella, 2006, p. 199-205.
103 Bengtson, 1944, p. 185-186. Contra : Bikerman, 1938a, p. 162-163.
104 Diod., 19, 15, 3 par exemple à propos des satrapes et des stratèges des Hautes Satrapies ralliés à Eumène en 316.
105 Facella, 2000, p. 127-158.
106 Cf. Facella, 2006, p. 183-198.
107 Ce terme apparaît d’abord dans le décret d’Ilion pour Antiochos Ier : Insc. 28, l. 4-5. Le document évoque les cités de la Seleukis qui ne peuvent être que les cités de Syrie du Nord. Également : Insc. 40, l. 1-2. Pour les sources littéraires : Strab., 16, 2, 1, qui distingue dans sa description de la Syrie, la Commagène, la Séleucide, la Koilè-Syrie, la Phénicie et la Judée. La Séleucide correspondait notamment à la Tétrapole et constituait la région la meilleure. Le géographe Ptolémée (5, 15, 15) mentionne aussi la Séleucide en y intégrant la Cyrrhestique. D. Musti montre justement l’ambiguïté territoriale du terme Seleukis : Musti, 1966, p. 64.
108 Insc. 28, l. 12.
109 Musti, 1966, p. 61-80, en particulier p. 79-80. L’interprétation traditionnelle qui associe la Seleukis à la Syrie septentrionale est représentée par Kahrstedt, 1926, p.46-51 ; Otto, 1928, p.39-40 ; Bengtson, 1944, p. 181-186.
110 App., Syr., 55.
111 Sont attribuées à Séleucos Ier les fondations d’Antioche du Pyrame, d’Antioche du Kydnos et de Séleucie du Kalykadnos : Cohen, 1995, p. 358-362, 369-371. Dans le décret d’Ilion comme dans la description de Strabon, l’expression de Seleukis avait la « connotation précise de territoire urbanisé » : Teixidor, 1988, p. 41.
112 Frézouls, 1961, p. 223-234 et 1977b, p. 169-173. Déjà : Beloch, 1927, p. 356 ; Bikerman, 1938a, p. 201. Contra : Kahrsted, 1926, p. 46-47.
113 Insc. 13 ; Insc. 14 ; Insc. 15. L’identité du roi Démétrios est discutée. Pour H. Bengtson il s’agirait de Démétrios Ier ou II : Bengtson, 1944, p. 63-64 ; D. Musti suggère plutôt Démétrios III (95-88) : Musti, 1966, p. 63-64. Sur Ménodotos : Baslez, 1994, p. 28-29 et Savalli-Lestrade, 1998a, n° 96.
114 À l’époque de l’usurpateur Tryphon, en 138, un certain Aischrion occupait la fonction de stratège de la Seleukis : Diod., 31, 40a.
115 La satrapie de Seleukis des inscriptions de Délos pourrait avoir correspondu en fait au territoire de Séleucie de Piérie, plus qu’à l’ensemble de la Syrie du Nord : Musti, 1966, p. 63-64.
116 Strab., 16, 2, 4. Pour E. Bikerman les quatre satrapies correspondaient aux quatre cités de la Tétrapole : Bikerman, 1938a, p. 201. Contra : Frézouls, 1961, p. 221-234 et Sartre, 2001, p. 165.
117 Insc. 150, l. 7.
118 Pol., 5, 50, 7-8.
119 Cf. Frézouls, 1977b, p. 164-168.
120 Frézouls, 1979b, p. 168-173.
121 I Macc., 7, 8.
122 Bengtson, 1944, p. 181-185 ; Musti, 1966, p. 67.
123 Jos., AJ, 12, 393.
124 Cf. Abel, 1949, p. 181 ; Bar-Kochva, 1989, p. 380-381.
125 Par « Syrie du Sud » nous entendons les pays qui furent soumis à l’autorité lagide jusqu’en 200, c’est-à-dire à la fois la Phénicie et ce que les Lagides nommaient la Koilè-Syrie, c’est-à-dire la Syrie intérieure. Cf. Schalit, 1954, p. 64-77 et Sartre, 1988, p. 15-40.
126 Cf. Bickerman, 1988, p. 70, Bengtson, 1944, p. 159. Sur l’expression de Koilè-Syrie dans les royaumes lagide et séleucide : Sartre, 1988, p. 21-26.
127 Inscription d’Hefzibah : Insc. 151, l. 21-22.
128 Dédicace de Soloi : Insc. 140, l. 1-3. L’expression « Koilè-Syrie et Phénicie » est aussi employée par Séleucos IV dans une lettre à Héliodôros : Insc. 151bis.
129 Strab., 16, 2, 4-5.
130 II Macc., 10, 11.
131 Kahrstedt, 1926, p. 57.
132 Bengtson, 1944, p. 165 ; Meyer, 1921, p. 233 et Habicht, 1976b, p. 251, note 11c. Contra : Bikerman, 1938a, p. 202 ; Abel, 1949, p. 409 ; Fischer, 1980, p. 206.
133 II Macc., 13, 24.
134 I Macc., 11, 36.
135 I Macc., 15, 38.
136 Sartre, 2001, p. 166.
137 Contra Bengtson, 1944, p. 176-177. Un agent royal issu des « premiers philoi » fit une dédicace, découverte à Ptolémaïs, pour Antiochos VII et la reine Cléopâtre : SEG 20, 413. Il portait le titre de ὁ ἀπολελειµµένος δὲ καὶ ἐπὶ τῶν τόπων et il était certainement le stratège de la région de la Paralie.
138 Jos., AJ, 12, 261-264 ; Jos., AJ, 12, 287.
139 I Macc., 10, 65. Cf. Abel, 1949, p. 55. Le titre de meridarchos aurait pu correspondre à la compétence de gouverneur d’un district et celui de stratègos à celle de chef militaire.
140 II Macc., 10, 14 ; II Macc., 12, 32.
141 L’intervention d’Apollônios, le méridarque et stratège de Samarie en 167, à Jérusalem, suggère qu’il avait compétence sur la Judée et que sa circonscription rassemblait la Judée-Samarie : I Macc., 3, 10-12 ; Jos., AJ, 12, 287.
142 Sartre, 2001, p. 156-157.
143 Sartre, 2001, p. 156.
144 Jos., AJ, 13, 88 ; I Macc., 10, 69.
145 Il est possible que Nikanôr, le fondateur présumé de Doura-Europos, ait été satrape de Mésopotamie ou de Parapotamie autour de 300. Pline qualifie en tout cas le fondateur d’Édesse/Antioche Arabis de praefectus Mesopotamiae : Pline, NH, 6, 117. Selon Polybe, en 218, un certain Dioklès, stratège de Parapotamie, participa activement à la campagne d’Antiochos III en Syrie lagide : Pol., 5, 69, 5.
146 Cf. Bousdroukis, 2003, p. 12-13.
147 Fondée sur l’analyse des monnayages de bronze semi-autonomes, l’opinion dominante attribue la refondation à Antiochos IV. Par exemple Le Rider, 1994b, p. 23-24. A. Bousdroukis propose cependant de dater du règne de Séleucos Ier la métonomasie de Nisibis en Antioche de Mygdonie : Bousdroukis, 2003, p. 12-13, note 10.
148 Cf. Strab., 16, 1, 23.
149 Pour une description de la région : Dillemann, 1962, p. 112-113.
150 Strab., 16, 1, 21-26 ; Pline, NH, 6, 41-42.
151 Insc. 15, l. 2.
152 Del Monte, 1997, AD 1 n° 261 C v°9. Cf. également Del Monte, 1997, p. 35.
153 En 222, au moment de la sécession de Molôn, la charge de stratège de la mer Érythrée était occupée par Pythiadès : Pol., 5, 46, 7. Après la victoire des armées royales, Antiochos III nomma à la tête de cette région Tychôn : Pol., 5, 54, 12. Il est possible qu’un agent royal du nom de Nouménios ait occupé cette même charge. Décrit comme praepositum dans la région de Mésène sous un roi Antiochos (Pline, NH, 6, 152), il est possible que Nouménios ait été le gouverneur de la région sous Antiochos IV. Cf. Mørkholm, 1966, p. 169-170 et Potts, 1990, p. 12-13.
154 Salles, 1987, p. 96-98.
155 Strab., 2, 1, 31. Cf. Salles, 1987, p. 96-98 et Salles, 1993, p. 234 ; Bernard, 1990c, p. 29-31 ; Schuol, 2000, p. 265-270.
156 Eutélès fut stratège de Susiane en 310-309 : Diod., 19, 100, 5. Un certain Agathoklès pourrait avoir été gouverneur de la Susiane au milieu du iiie siècle : Syncelle, 343. Mais le témoignage est ambigu. On sait surtout que Diogénès puis Apollodôros se succédèrent à cette fonction au début du règne d’Antiochos III : Pol., 5, 46, 7 et 54, 12. Dans la première moitié du iie siècle, la charge de stratège de Susiane revint à un certain Arrhéneidès : Insc. 159.
157 Sur Suse et son territoire à l’époque hellénistique : Le Rider, 1965, p. 260-275.
158 Tarn, 1930, p. 24-33.
159 Bengtson, 1944, p. 30-38.
160 Sur les responsabilités régionales de Molôn et de son frère Alexandros : Pol., 5, 40, 7.
161 Polybe souligne la richesse de la Médie et sa centralité dans l’organisation du territoire séleucide : Pol., 5, 44, 1-11.
162 Une lettre royale adressée à Magnésie du Méandre témoigne de la présence d’Antiochos III à Antioche de Perside en 205 : Insc. 60, l. 9-10.
163 Pline, NH, 6, 152.
164 Strab., 11, 14, 5. Sur ces deux agents royaux : Bengtson, 1944, p. 157-158 ; Schottky, 1989, p. 135-147.
165 La satrapie n’avait pas été attribuée à Triparadeisos ce qui prouve le caractère périphérique de l’Arménie dans l’esprit des Macédoniens à la fin du ive siècle.
166 La Parthyène : Diod., 17, 105, 8 ; Arr., Anab., 3, 22, 1 ; l’Hyrcanie : Diod., 17, 78, 4.
167 Strab., 11, 7, 1-3 et Pol., 10, 48. Cf. Kuhrt, Sherwin-White, 1993, p. 81-82.
168 Strab., 11, 9, 1 et Arr., Parth., 1.
169 Contra : Kuhrt, Sherwin-White, 1993, en particulier p. 107-111, 197-200.
170 Sur la satrapie d’Arie : Diod., 17, 78, 1 ; 105, 8. Stasanor était satrape d’Arie et de Drangiane lors de la campagne d’Eumène de Cardia dans les satrapies supérieures : Diod., 19, 14, 7.
171 Schober, 1981, p. 40-45 ; Klinkott, 2000, p. 65-74.
172 Diod., 18, 3, 1-5.
173 Pol., 5, 43, 6.
174 Sur ce point Will, 1962, p. 107-108 et Schmitt, 1964, p. 123.
175 Molôn et Alexandros obtinrent simplement des satrapes voisins la neutralité dans le conflit.
176 Sur la politique matrimoniale des Séleucides avec le royaume de Cappadoce, en particulier le mariage d’Antiochis, la fille d’Antiochos III, avec Ariarathe IV : App., Syr., 5. Cf. Günther, 1995, p. 47-61.
177 Cf. Sartre, 2001, p. 154.
178 Sur la frontière septentrionale du royaume séleucide en Asie centrale : Bader, Gaibov, Košelenko, 1995, p. 39-50 et Holt, 1999, p. 26-29. Cf. supra p. 79-81 et 110-112.
179 Pol., 11, 34, 5.
180 Antiochos III : Diod., 28, 3 ; 29, 15. Antiochos IV : Pol., 31, 9, App., Syr., 66 ; Jos., AJ, 12, 358-359.
181 Cf. Briant, 1976, p. 186-187.
182 Ériza : insc. 137. Kermānchāh : insc. 32. Laodicée/Nehavend : insc. 166.
183 Insc. 29.
184 Insc. 151bis.
185 Insc. 97 ; Insc. 98 ; Insc. 102.
186 Insc. 98, l. 6-7.
187 Insc. 101, l. 3-4.
188 Insc. 97, l. 11.
189 Insc. 98, l. 10-11.
190 Insc. 99, l. 1-2.
191 Cf. Bengtson, 1944, p. 21. Sur les hyparques dans l’empire d’Alexandre : Bertrand, 1974, p. 26-34.
192 Insc. 138, l. 1-2.
193 La mention des phylakitai de l’hyparchie n’est pas une marque attalide. L’exemplaire du prostagma d’Antiochos III retrouvé à Kermānchāh montre en eff et qu’une phylakè structurait le territoire de cette région : Insc. 168, l. 32. Cf. Wörrle, 1998b, p. 149.
194 Cohen, 1995, p. 325-356 et Robert, 1962, p. 112, note 4 et p. 116, note 6.
195 Insc. 115, l. 55-60.
196 C.Ord.Ptol. n° 22, l. 5-6 ; Durand, 1997, n° 59.
197 À Avroman : Minns, 1915, p. 28-29 (date : 88-87 ou 24-23) ; à Doura-Europos : Fink, Gilliam, Welles, 1959, n° 20 (121 apr. J.-C.).
198 Minns, 1915, p. 28-29, I A, 6 ; B, 6.
199 Pour Mégasthénès, rapporté par Arrien, le territoire des Mauryas était divisé en νοµάρχαι. Selon le même témoignage, des agents royaux portaient le titre d’ὕπαρχοι : Arr., Ind., 12, 7. Ce passage suggère que Mégasthénès connaissait l’existence d’ὕπαρχοι dans le royaume séleucide.
200 Sur les quatre merides de la Macédoine : Hatzopoulos, 1996, p. 231-260 et Hatzopoulos, 1997, p. 22-23 ; pour les possessions lagides en Thrace : Bagnall, 1976, p. 163.
201 Jos., AJ, 12, 261.
202 Jos., AJ, 12, 287.
203 I Macc., 10, 65.
204 Briant, 1996, p. 503-504, 737.
205 Strab., 16, 2, 4.
206 Cf. supra p. 250.
207 Sur ces inscriptions de Taxila : Bengtson, 1944, p. 26-27, note 3, 309 ; Tarn, 1951, p. 242.
208 Cf. Bengtson, 1944, p. 27, note 2 et p. 35.
209 Insc. 168.
210 Cf. Briant, 1976, p. 211.
211 Corsten, Drew-Bear, Özsait, 1998, n° 4, p. 54-55.
212 OGIS 752, l. 4. Cf. Bengtson, 1944, p. 22 ; Magie, 1950, p. 1338.
213 Sartre, 2001, p. 157, 578.
214 I Macc., 11, 28 ; 11, 34 ; 11, 57.
215 Abel, 1949, p. 209-210.
216 Bengtson, 1944, p. 30-31 ; Wörrle, 1975, p. 74.
217 Insc. 136, l. 4.
218 Pour Th. Corsten, il s’agirait en réalité de l’officier commandant la place de Neon Teichos où fut retrouvé le décret : IK-Laodikeia am Lykos 1 p. 12-13. On ne peut cependant exclure que Hélènos ait été l’administrateur des domaines royaux dans la région. Le terme epimeletès est en effet employé par Plutarque dans ce sens précis à propos des haras royaux de Mysie : Plut., Eum., 8, 1.
219 Wörrle, 1975, p. 75.
220 Insc. 136, l. 24-25.
221 Sardis VII.1, 1, l. 17.
222 Insc. 22, l. 47-48.
223 Autour de 220, Olympichos annonça ainsi aux Mylasiens qu’il leur rendait le τόπος de Labraunda, défini comme une unité identifiable au sein du territoire de Mylasa et, plus largement, du territoire carien : Insc. 88, unité b, l. 6-8. Cf. Schüler, 1998, p. 81-83.
224 Insc. 137, l. 29-30. Notons que le terme τόπoι est sous-entendu dans l’expression : τῶν ἐν τῆι σατραπίαι.
225 Bengtson, 1944, p. 10-11.
226 L’expression οἱ τόποι servait à désigner l’ensemble des Hautes Satrapies : Pol., 5, 41, 7.
227 Bengtson, 1944, p. 11 et Bengtson, 1952, p. 97-98. Les cités d’Asie Mineure désignaient les régions cistauriques comme les οἱ ἐπὶ τάδε τοῦ Tαύρου τόποι. Ainsi à Ilion, sans doute sous Antiochos Ier : Insc. 28, l. 12 et à Téos sous le règne d’Antiochos III : Insc. 46, l. 8-11.
228 OGIS 339, l. 12 ; SEG 2, 663, l. 3-4. Également : Malay, 1996, p. 83, colonne B, l. 3-4. Cf. Allen, 1983, p. 91-94.
229 Contre cette interprétation : Bengtson, 1944, p. 10-11, 22-23 ; Wörrle, 1975, p. 75. Ces deux historiens soutiennent l’idée d’une certaine uniformité du découpage du royaume séleucide en districts appelés τόποι. Dans le sens proposé ici, les remarques de J.-M. Bertrand à propos de l’inscription d’Hefzibah : Bertrand, 1982, p. 171 ; également : Bertrand, Gruenais, 1981, p. 75-78.
230 Grayson, 1975a, n° 13 r° 5 ; Del Monte, 1997, p. 200-201. Les attestions de la fonction de lùpāhāt sont relativement rares. Outre cette attestation, qui concerne Séleucie du Tigre, deux documents évoquent le gouverneur de Babylone à l’époque parthe : CT 49, 156 r°12 et CT 49, 150 v° 59. À l’époque séleucide, le gouverneur de Babylone portait le titre de lùpāhāt Eki : cf. Del Monte, 1997, AD 3 n° 161 A r° 21.
231 Del Monte, 1997, p. 66 : AD 2 n° 187 A v° 9 (en 187) ; Del Monte, 1997, p. 66 : AD 3 n° 162 v° 14 (163) ; Del Monte, 1997, p. 102-103 : AD 3 n° 140 v° 4 (141). Sur les liens particuliers entre cet agent royal et la population des politai de Babylone dont il semble avoir été le représentant : Del Monte, 1997, p. 86 et 96-97.
232 Kuhrt, Sherwin-White, 1993, p. 46 et Briant, 1996, p. 500, 739.
233 Dans ce sens : Van der Spek, 1987, p. 63-64 qui suggère un parallélisme avec la charge de stratègos et epistatès ; Del Monte, 1997, p. 96-97. Selon G. M. McEwan, le pāhātu aurait été le gouverneur de l’ensemble de la province : McEwan, 1988, p. 416. Cf. infra, p. 303-305.
234 Briant, 1996, p. 500.
235 Bengtson, 1944, p. 143-158, en particulier p. 148-158.
236 La « province de la mer Érythrée » fut sans doute créée avant le règne d’Antiochos III puisqu’elle existait au moment de la sécession de Molôn en 222 : Pol., 5, 46, 7. Cf. Salles, 1987, p. 97.
237 Bengtson, 1944, p. 28-29.
238 J.-M. Bertrand parle de « mot outil » : Bertrand, 1982, p. 171.
239 Insc. 167, l. 1-2.
240 Plut., Dém., 38, 10 ; App., Syr., 59. Cf. Robert, 1949, p. 22-23.
241 Diod., 19, 100, 4.
242 Diod., 19, 92, 5.
243 Xén., Anab., 1, 7, 12. Sur ce point : Bengtson, 1944, p. 176-177 ; Briant, 1988a, p. 173-175.
244 Pour D. Musti, l’extension des Hautes Satrapies variait selon les titulaires de la charge : Musti, 1966, p. 107-111.
245 La date de l’association au trône d’Antiochos est connue par une tablette inédite (BM 109949) datée du 18 novembre 294. Cf. Oelsner, 1986, p. 271, 505-506 ; Del Monte, 1997, p. 226. La date jusque-là retenue était 293 : Bernard, 1985a, p. 36. Témoignages littéraires sur cet épisode : Plut., Dém., 38, 10 ; App., Syr., 59-61 ; Euseb., Chron., I, p. 249 (éd. Schoene) ; Diod., 21, 1, 21.
246 App., Syr., 59 et 62.
247 Plut., Dém., 38, 10.
248 Mehl, 1986, p. 256-267 ; Briant, 1990, p. 48.
249 Waggoner, 1969, p. 24-26. Également : Kritt, 1997, p. 99-105. Sur ces monnayages : Houghton, Lorber, 2002, n° 119-120.
250 Waggoner, 1969, p. 24-27 ; Houghton, Lorber, 2002, n° 205, 211, 215.
251 Houghton, Lorber, 2002, n° 276-277, 279-290.
252 Houghton, 1980, p. 5-14 ; Houghton, Lorber, 2002, n° 229-256.
253 App., Syr., 62.
254 Bengtson, 1944, p. 80 et 84.
255 P. Bernard a montré combien les monnaies découvertes à Aï Khanoum illustraient l’action et la présence d’Antiochos en Bactriane-Sogdiane dans les années 294-281 : Bernard, 1985, p. 36-40 où l’auteur présente notamment le monnayage d’or, d’argent et de bronze frappé selon lui à Bactres. Selon B. Kritt, ces monnayages pourraient en réalité avoir été frappés à Aï Khanoum : Kritt, 1996, p. 27-30 suivi par Houghton, Lorber, 2002, n° 279-282. Contre cette hypothèse : Bopearachchi, 1999, p. 77-93 qui considère que l’atelier bactrien d’Antiochos fut implanté à Bactres, la capitale traditionnelle de la satrapie, et non à Aï Khanoum. Cf. supra p. 79 et infra p. 367-369.
256 Pendant la corégence, le monnayage au nom d’Antiochos à Séleucie du Tigre est marginal : Houghton, Lorber, 2002, n° 120, 132, 136.
257 Cf. Briant, 1990, p. 62-63, note 19. Seul le fragment d’une tablette astronomique pourrait évoquer la présence du jeune roi Antiochos en Babylonie en 290 : Del Monte, 1997, AD 1 n° 289 r° 14 p. 24.
258 Pol., 5, 40, 5. Cf. Bengtson, 1944, p. 84-85 ; Schmitt, 1964, p. 116-121.
259 Il est possible qu’Antiochos ait alors contrôlé ces régions depuis la Babylonie puisque Eusèbe nous dit qu’il apprit la mort de Séleucos III à Babylone : Euseb., Chron., I p. 253. Également : Hieron., In Dan., 11, 10. Mais selon Polybe, à la mort de Séleucos III, Antiochos résidait dans les οἱ ἄνω τόποι : Pol., 5, 40, 5.
260 Pol., 5, 40, 7. Ces nominations constituaient le pendant oriental de la nomination d’Achaios en Asie Mineure.
261 Bengtson, 1944, p. 86 ; Schmitt, 1964, p. 117-118. Ce n’est en eff et qu’après sa sécession que Molôn parvint à prendre Séleucie du Tigre : Houghton, Lorber, 2002, n° 949. Sur les monnayages de Molôn : Fischer, 1988. Contra Will, 1998, p. 394.
262 Schmitt, 1964, p. 118.
263 Ces inscriptions sont les deux exemplaires iraniens du prostagma de 193 pour l’instauration du culte de Laodice : Insc. 166, l. 1 et 11 ; Insc. 168, l. 24, et surtout une dédicace découverte à Laodicée/Nehavend qui donne le titre de Ménédémos : ὁ ἐπὶ τῶν ἄνω σατραπειῶν : Insc. 167, l. 1-2.
264 Diod., 31, 27a. Timarchos est aussi désigné comme « Medorum rex » : Trog., Prol. 34. Appien dit de lui qu’il était satrape de Babylonie : App., Syr., 45 et 47. Le témoignage d’Appien pourrait avoir été orienté par la suite de l’action de Timarchos qui conquit en effet une partie de la Babylonie au cours de sa révolte contre l’autorité de Démétrios.
265 Robert, 1950, p. 74-75.
266 Bevan, 1902, p. 132 ; Bengtson, 1944, p. 87-88.
267 Diod., 31, 27a.
268 Insc. 108, l. 3-4. Cf. Herrmann, 1987, p. 175-179 ; Savalli, 1998, n° 64.
269 Insc. 169, l. 5-7. Cf. Bernard, 1980, p. 301-324 ; Sherwin-White, 1993, p. 223 ; Potts, 1998, p. 373.
270 Sur le monnayage royal de Molôn : Houghton, Lorber, 2002, n° 949-951.
271 Insc. 46, l. 8-11. Cette limite fut aussi celle qui fonda le partage d’Apamée en 188 : Pol., 21, 24, 7.
272 Cf. Briant, 1996, p. 650 ; Debord, 1999, p. 26-28, 62-63, 122-124.
273 Insc. 120, l. 3-5.
274 Insc. 29, l. 31-32.
275 Ma, 1999b, p. 235-242.
276 Del Monte, 1997, AD 1 n° 273 B r°29, p. 27-28.
277 Pour H. Bengtson cette circonscription existait dès les années 275 : Bengtson, 1944, p. 92-110.
278 Ce personnage est désigné comme le NUN SIG-ú (rubū edū) : Del Monte, 1997, AD 1 n° 273 B r°29, p. 27-28. Cf. Renger, 1985, p. 257-259.
279 Alexandros est désigné dans une inscription de Bargylia comme ὁ καταλελειμμένος ὑπὸ τοῦ βασιλέως : Insc. 52, l. 47-48. Cf. Carsana, 1996, A7 ; Merkelbach, 2000, p. 126-128.
280 Ma, 1999b, p. 33-43.
281 Pol., 5, 40, 7.
282 Pol., 5, 40, 7.
283 Pol., 5, 41, 1-2.
284 Pol., 5, 49, 4.
285 Rappelons que Zeuxis est désigné dans un document d’Eurômos comme ὁ ἀπολελειμμένος ἐπὶ τῶν ἐπιτάδετοῦ Tαύρου πραγμάτων : Insc. 120, l. 3-5.
286 Il s’agit d’Héliodôros sous le règne de Séleucos IV, d’Andronikos et de Philippos sous celui d’Antiochos IV, de Lysias sous Antiochos IV et Antiochos V, de Bacchidès sous Démétrios Ier et sans doute d’Ammônios sous le règne d’Alexandre Balas. Ajoutons à cette liste Lasthénès qui, selon Diodore (33, 4, 1) était le ὁ τῆς βασιλείας προεστηκώς sous le règne de Démétrios II, et peut-être Hérakléôn de Béroia sous le règne d’Antiochos VIII. Sur ce dernier : Savalli-Lestrade, 1998a, n° 91.
287 II Macc., 3, 7-40.
288 Insc. 151bis l. 7-11. Sur les responsabilités de ces agents : cf. infra p. 280-282.
289 II Macc., 4, 31-34.
290 I Macc., 3, 32-38 ; Jos., AJ, 12, 295-296.
291 Cf. Bikerman, 1938a, p. 200.
292 I Macc., 7, 8-20 ; Jos., AJ, 12, 393-397. Sur cet agent de très haut rang : Bengtson, 1944, p. 181-185 ; Bar-Kochva, 1989, p. 380-381 ; Savalli-Lestrade, 1998a, n° 65 ; Gera, 1998, p. 275-276.
293 Ma, 1999b, p. 26-33.
294 Bengtson, 1944, p. 1-193.