Table des matières
Delphine Lemonnier-Texier
Avant-proposCeci n’est pas une trace : le paradoxe de l’écriture beckettienne
Première partie. Histoire, fable et mémoire : mémoire en miettes, humanité en ruines
Michèle Touret
De l’Histoire à la fable et retour- Effacement de l’Histoire et de l’histoire
- L’Histoire
- Et l’histoire individuelle
- Le goût de la fable ou sa nécessité
- Présence de la fable
- Le besoin de la fable
- Puissance et vanité de la fable
- Coexistence de la fable et de l’histoire
- Des histoires en tout genre, des fables en ruines
- Résonances contemporaines et à distance
- Paroles sur des ruines
Krystyna Maslowski-Bethoux
En attendant Godot de Samuel Beckett : la mémoire en miettes ou l’anéantissement dans le huis-clos de la durée- Une mémoire défectueuse
- Traces hétéroclites d’un passé oublié ou d’une existence rêvée
- Les « voix mortes » : une mémoire collective en miettes
- La mémoire corporelle
- Le présent de l’attente
- La théâtralité de la vie quotidienne
- Une tête vide et un corps automatique
- Le huis clos de la durée
- Une « temporalité paradigmatique »
- L’indétermination des « pendant »
- Conclusion
Hélène Lecossois
« Yesterday! What does that mean? Yesterday! »Endgame : répéter au lieu de se souvenir ?
Deuxième partie. De la mémoire impossible à l'inscription du processus d'écriture : poétique de la trace, espace de l'écho
Cécile Yapaudjian-Labat
Mal vu mal dit, traces de l’absence, et Cap au pireAngelos Triantafyllou
« Imagination morte imaginez » : une performance entre mémoire et imaginationDelphine Lemonnier-Texier
Poétique de la trace et dramaturgie de l’écho chez Samuel BeckettTroisième partie. Mise en scène, mise en archives : traces et processus de création
Sophie Lucet
Samuel Beckett face aux mises en scène de son œuvre : de la trace de l’imaginaire à la pulsion de l’archiveGeneviève Chevallier
Interpréter – transmettreStanley E. Gontarski
Les carnets de mise en scène de Samuel Beckett et les théories postmodernes du texte et de la textualitéBrigitte Prost
…que nuages… par Madeleine Louarn, entre épuisement et épiphanie- Des « sujets à suspension » pour un théâtre qui s’autodésigne
- Portraits d’interprètes à fleur de sensations
- Des hypostases de la création théâtrale
- Des « sujets à suspensions »
- Catalyse et la « surmarionnette » beckettienne
- Pour un travail sur les traces d’une temporalité et d’un langage en cours d’effacement ou d’épuisement
- Un montage de textes et de films comme des épiphanies de l’existence ou de l’acte de création
- Une superposition d’images fictives et réelles
- Quad ou la répétition carcérale de la vie
- Quoi où, ou les jeux de la synchronisation
- L’impromptu d’Ohio ou la métaphore de l’écriture
- Catastrophe pour un théâtre réflexif
- …que nuages… ou la métaphore de la vie
