1 Le texte se trouve dans Layettes, III, no 4416. Henri III ratifie ce traité par un acte donné à Londres, le 13 octobre 1259, Layettes, no 4554. Ce n’est donc qu’à cette date que la « paix » devient exécutoire. Sur ce traité et ses conséquences : M. Gavrilovitch, Étude sur le traité de Paris de 1259 entre Louis IX, roi de France et Henri III, roi d’Angleterre, Paris 1899.
2 J. Le Patourel, Normandy and England, op. cit., p. 8, p. 195, contre D. Crouch, « Normans and Anglo-Normans », op. cit.
3 HGM, v. 12867-12871.
4 Layettes, no 716 (1er juin 1204).
5 L’Anonyme de Béthune porte un jugement très négatif sur ce personnage qui aurait commis de multiples tricheries et trahisons au cours de la guerre, Histoire des ducs de Normandie, p. 92. Sur les terres reçues en 1206 du roi d’Angleterre, Rot. Litt. Pat., p. 57 et Rot. Litt. Claus., p. 65.
6 HGM, v. 12958-12966.
7 Ibid., v. 13070-13078.
8 Ibid., v. 13134-13142.
9 K. Thompson, « L’aristocratie anglo-normande et 1204 », La Normandie et l’Angleterre, op. cit., p. 179-187.
10 HGM, v. 12872-12874.
11 QN 54, 246, 330, 339, 359, 422…
12 QN 246. En 1247, Guillaume et Pierre Botevilain portent une réclamation à l’Échiquier pour récupérer les biens de leur grand-père.
13 CN 351.
14 Summa, XXV, 9.
15 J. C. Holt, « Politics and Property », op. cit.
16 W. Ullmann, Principles of Government and Politics in the Middle Ages, Londres, 1978, p. 152.
17 M. Nortier, « Un rôle des biens tombés en la main du roi en la baillie de Lisieux après la conquête de la Normandie par Philippe Auguste », AN, 1995, p. 55-68.
18 Ces tableaux récapitulent : 1. les chevaliers qui ont quitté la Normandie pour rejoindre Jean en Angleterre, 2. ceux qui ont choisi l’allégeance française. Nous renvoyons pour tout ce qui suit à cette annexe.
19 Rot. Lit. claus., p. 9. Étienne et Renaud avaient épousé les filles et héritières d’Osbert II de Cailly, respectivement Pétronille et Mathilde.
20 Le 26 octobre 1204 instruction est donnée pour confisquer le domaine de Mutford, Rot. Lit. Claus., p. 13. Le 28 novembre 1204, libération de son fils, Rot. Lit. Pat., p. 48. Le 29 novembre, Étienne récupère les biens de sa femme en Angleterre. Ceux de sa belle-sœur restent dans les mains du roi, Rot. Lit. claus., p. 15.
21 Rot. Lit. claus., p. 96.
22 Guillaume Le Breton, Philippide, XI, v. 441-444.
23 Rot. Lit. claus., p. 7.
24 Ibid., p. 38, Rot. de ob. et fin., p. 259.
25 Scripta de feodis, p. 709.
26 PR 10 John, p. 14.
27 Rot de ob. et fin., p. 586.
28 W. B. Stevenson, England and Normandy (1204-1259), thèse inédite, Leeds, 1974, vol. II, p. 427. Recueil des jugements, no 145.
29 M. Powicke, The Loss of Normandy, op. cit., p. 175
30 Rot. Lit. claus., p. 68.
31 Rot. Lit. Pat., p. 68 (29 juin 1206).
32 Rot. Lit. Claus., p. 135, p. 161.
33 QN 80.
34 Rot. Lit. Pat., p. 116.
35 Rot. Chart., p. 207.
36 Diplomatic Documents, op. cit., no 206.
37 CN 351.
38 Rot. Norm., p. 140-141.
39 Sa richesse est attestée par ses donations : Cartulaire de Saint-Sauveur, BN ms lat. 17137, no 23, 24, 31 ; pour Hambye : L. Delisle, Histoire des sires, op. cit., preuves, p. 33 ; pour Aunay, Fontenay et Barbery : Extrait des chartes Calvados, op. cit., I, p. 366, p. 140, p. 147 ; pour Ardenne : Recueil des jugements, no 489, p. 117.
40 Calendar of Documents, no 1234. Philippe Auguste donne le fief de Dénestanville à l’abbaye du Bec, CN 134.
41 Chartulary of the Priory of St. Pancras of Lewes, éd. L. F. Salzman, Lewes, 1934, II, p. 65. À propos de son oncle, Robert, K. Thompson, « L’aristocratie anglo-normande », op. cit., p. 181, note 14.
42 Philippe attribue leur fief de Charnelles à Étienne Petit, maire de Verneuil, Recueil des actes de Philippe, II, p. 427-428.
43 K. Thompson, « Les seigneuries anglaises et françaises des comtes du Perche (1100-1226) », Les seigneuries dans l’espace Plantagenêt, op. cit., p. 61-75.
44 Sur ces questions, D. Power, « Le régime seigneurial en Normandie (XIIe-XIIIe) », Les seigneuries dans l’espace Plantagenêt, op. cit., p. 117-136.
45 MRSN, I, p. 98, p. 82, p. 10.
46 À propos de leur indépendance: J. Green, « Lords of the Norman Vexin », War and Government, op. cit., p. 47-61.
47 Rot. Norm., p. 66, p. 90, p. 106; CN 204.
48 J. Le Patourel, The Norman Empire, op. cit., p. 195. Contre son opinion, J. Green, « Unity and Disunity in the Anglo-Norman State », Historical Research, 62, 1989, p. 129-132.
49 D. Crouch, « Normans and Anglo-Normans », op. cit., p. 61.
50 J. Green, The Aristocracy, op. cit., p. 325; J. R. Maddicott, « Magna Carta and the Local Community, 1215-1259 », Past and Present, 102, 1984, p. 25-65.
51 HGM, v. 4644-4723.
52 Molt sumes tuit abastardi/Quant uns Engleis toz nos surmonte, HGM, v. 5214-5215.
53 Henri de Huntingdon, Historia Anglorum, The History of the English People, éd. et trad. angl. D. Greenway, Oxford, 1996, p. 700-701, p. 706-707; J. Gillingham, « Henry of Huntingdon and the XIIth Century Revival of the English Nation », The English in the XIIth Century. Imperialism, National Identity and Political Values, Woodbridge, 2000, p. 130-132.
54 À propos de ce groupe : N. Vincent, Pierre des Roches. An Alien in English Politics, 1205-1238, Cambridge, 1996.
55 J. Gillingham, « The Beginnings of English Imperialism », Journal of Historical Sociology, 5, 1992, p. 392-409; A. Hastings, The Construction of Nationhood. Ethnicity, Religion and Nationalism, Cambridge, 1997, p. 2-3, p. 150-151, p. 158-159; A. P. Smyth, « The Emergence of English Identity, 700-1000 », Medieval Europeans. Studies in Ethnic Identity and National Perspectives in Medieval Europe, Londres, 1998, p. 24-52.
56 R. Reader, « Matthew Paris and the Norman Conquest », J. Blair, B. Golding (dir.), The Cloister and the World. Essay in Medieval History in Honour of B. Harvey, Oxford, 1966; J. Gillingham, « Gaimar, the Prose Brut and the Making of English History » et « Henry of Huntingdon », The English in the XIIth Century, op. cit., p. 113-122, p. 123-144.
57 B. Guenée, Histoire et culture historique, op. cit., p. 311.
58 I. Short, « Tam Angli quam Franci : Self-definition in Anglo-Norman England », Anglo-Norman Studies, XVIII, 1996, p. 153-175.
59 À la fin du poème, Richard exprime l’amour qu’il ressent pour son pays, sa langue et ses traditions. Roman de Renart, éd. L. Foulet, Paris, 1914, v. 1480-1485.
60 André de Coutances, Roman des Français, v. 325-328, v. 252-255.
61 Wace, Roman de Rou, 1re partie, v. 46-51.
62 Ibid., 3e partie, v. 4760. Le premier terme vient du cri de guerre « by God », (« Dieu aide ») adopté par les Anglo-normands. Par extension, il sert à désigner ceux qui ne cessent d’employer des jurons. Les Plantagenêt sont connus pour cela, en particulier Henri II et Richard, voir Giraud de Barri, Gemma ecclesiastica, dans Giraldi Cambrensis Opera, éd. J. S. Brewer, J. F. Dimock, G. F. Warner, Londres, II, p. 161, IV, p. 39, p. 222; HGM, v. 1555. À l’inverse, Philippe Auguste avait horreur des blasphèmes et publie un édit pour les interdire : Rigord, Gesta Philippi, p. 14. Le second mot signifie initialement « mangeurs de marc de bière ».
63 Annales monasterii de Waverleia (Ad. 1-1291), éd. H. R. Luard, RS 36, 1865.
64 La révolte des barons éclate le 17 mai 1215.
65 A. Pallister, Magna Carta. The Heritage of Liberty, Oxford, 1972; J. C. Holt, Magna Carta, Cambridge, 1992 (rééd.). On trouve le texte latin et la traduction de la charte dans ce dernier ouvrage, p. 448-473.
66 Ch. Petit-Dutaillis, La Monarchie féodale, op. cit., p. 324.
67 À propos de cette expedition: M. Powicke, The Thirteenth Century (1216-1307), Oxford, 1962, p. 1-15; Ch. Petit-Dutaillis, Étude sur la vie et le règne de Louis viii, Paris, 1894, p. 54-183 ; M. Billoré, « Les projets de Louis de France outre-Manche à l’épreuve de la rumeur (1216-1217) », M. Billoré, M. Soria (dir.), La rumeur au Moyen Âge. Du mépris à la manipulation (Ve-XVe siècle), Rennes, 2011, p. 177-191.
68 Roman de Garin le Loherain, II, p. 264, Ch. Petit-Dutaillis, La monarchie féodale, op. cit., p. 216.
69 HGM, v. 11355-11356.
70 Selon Ambroise, ce départ jugé scandaleux par les croisés est une « grave trahison », v. 5245-5369. Guillaume le Breton le justifie par la fièvre arnoldine dont Philippe est atteint et la peur suscitée par une forte mortalité dans son ost mais, pour beaucoup, ses vrais motifs sont politiques et dirigés contre le Plantagenêt et le comte de Flandre. Guillaume le Breton, Historia de vita et gestis, I, p. 193, contre Raoul de Coggeshall, p. 33-34 ; Guillaume de Neubourg, I, p. 357. Voir J. Gillingham, Richard I, p. 164-166.
71 Layettes, I, no 441 ; Recueil des actes de Philippe, II, no 519. Pour les Vernon, D. Power, The Norman Frontier, op. cit., p. 103, p. 167-168, p. 351-352, p. 391-392, p. 400.
72 C. Coulson, « Forteress-Policy in Capetian Tradition and Angevin Practice: Aspects of the Conquest of Normandy by Philip II », ANS, 6, 1984, p. 12-38.
73 J. Baldwin, Philippe Auguste, op. cit., p. 369-377, p. 518-525.
74 Registres de Philippe Auguste, p. 268.
75 Par exemple Henricus de Nonant, VI feoda per servicium unius. Rex habet, Ibid., p. 282; Hugo Painel, I feodum. Rex habet, p. 283.
76 Fulco Basset, tres partes I feodi et quarta pars ejusdem feodi est in manu domini regis apud Pontem de Oilleio, Ibid., p. 284.
77 CN 366 ; Registres de Philippe Auguste, p. 269.
78 Scripta de feodis, (Longchamp) no 530, 531, 532, p. 717 ; (Jean de Gisors), no 98-103, p. 630-631 ; (Évreux-Le Vaudreuil) no 526-529, p. 716-717.
79 Scipta de feodis : Isti tenent de eschaetis domini regis, Caen, p. 619, no 51, eschaete, Exmes, p. 636, no 126, Hec sunt feoda eschaetarum, Lisieux, p. 637, no 130.
80 CN 113, Recueil des actes de Philippe, II, no 901. Sur ce rôle : M. Nortier, « Un rôle des biens », op. cit.
81 3 juin 1204, « Rotulus de valore terrarum Normannorum », Rot. Norm., p. 122-143. Cette liste peut être complétée par des enquêtes et d’autres rotuli. Voir [http://www.hrionline.ac.uk/normans/handlist.shtml].
82 D. Power, « Terra regis Anglie et terra Normannorum sibi invicem adversantur : les héritages anglo-normands entre 1204 et 1244 », La Normandie et l’Angleterre, op. cit., p. 193. L’auteur remarque que Juhel de Mayenne est désigné comme « Normannus » dans une enquête de 1237 et que Guy de Laval, qui vécut à l’époque d’Henri Ier, hérite de la même dénomination dans un rôle de 1227 : « Autrement dit, la qualité de “Normand” entra en vigueur dans la loi anglaise avec effet rétroactif ! »
83 Confiscation par Philippe Auguste, CN 113 ; confiscation par Jean Sans Terre, Rot. Norm., no 129.
84 Recueil des Jugements, no 13, M. Powicke, The Loss of Normandy, op. cit., p. 333.
85 Rot. Lit. Claus., p. 74.
86 QN 32, 410, 422, 439, etc.
87 QN 337.
88 Rot. de ob. et fin., p. 226, p. 235-236, exemple cité par D. Power, « Terra regis », op. cit., p. 192.
89 Ces deux seigneurs sont les vassaux de Guillaume le Maréchal. Pour Robert de Grainville, seigneur de Grainville-la-Teinturière, Close Rolls, 1237-1242, p. 192, p. 427. Pour Jourdain de Sauqueville, RHF, XXI, p. 257; D. Power, « The French Interests of the Marshal Earls of Striguil and Pembroke, 1189-1234 », ANS, XXV, 2003, p. 219-220; D. Crouch, William Marshall, op. cit., p. 197-198.
90 Recueil des jugements, no 17.
91 Ibid., no 613.
92 L. Musset parvient à des estimations à peu près identiques, sans toutefois expliciter son mode de calcul : « Quelques problèmes posés », op. cit., p. 300.
93 Mandement fait à chaque shérif, 10 sept 1229, Close Rolls 1227-1231, p. 248.
94 Close Rolls 1237-1242, p. 431, p. 435.
95 Quousque recuperaverit terram suam Normanniae, Rot. Lit. Pat., 1201-1216, p. 52; R. C. Stacey, Politics, Policy and Finance under Henri III, 1216-1245, Oxford, 1987, p. 111-114.
96 Roger de Wendover, II, p. 8 mais également l’Anonyme de Béthune, Histoire des ducs, p. 109 ; Matthieu Paris, Historia Anglorum, II, p. 101 et Chronica Majora, p. 489.
97 Rot. Chart., 1199-1216, p. 219.
98 N. Vincent, Peter des Roches, op. cit., p. 31, p. 335.
99 Par exemple, Rot. Lit. Claus., 1204-1224, p. 3, 5b, 93b, etc.
100 À propos de l’influence de ces « étrangers » dans le gouvernement anglais : M. T. Clanchy, England and its Rulers, 1066-1272 : Foreign Lordship and National Identity, Totowa (N. J.), 1983, p. 181 ; N. Vincent, Peter des Roches, op. cit., p. 14-41. L’acquisition des terrae Normannorum a constitué un enjeu considérable dans les luttes d’influence entre curiales. Ibid., p. 334-337.
101 Rot. Pat., p. 52.
102 Recueil des actes de Philippe Auguste, II, no 770, 862, 863, III, 925 ; Layettes, I, no 733. Le château de Mortemer, possession du comte de Warenne, lui est confié puis repris, en échange de Domfront, en raison de sa position stratégique.
103 Ibid., I, no 594, 1353, 1360.
104 Ibid., I, no 1426.
105 J. R. Strayer, The Royal Domain in the Bailliage of Rouen, Princeton, 1936, p. 17-19.
106 CN 240, autre moulin, CN 249, un vivier, CN 248, droits sur un moulin CN 245.
107 Catalogue des actes de Philippe Auguste, no 1604.
108 B. D. Lyons, From Fief to Indenture, p. 32-39, p. 169-170, p. 202-206.
109 CN 239.
110 CN 242.
111 CN 361, 362.
112 Recueil des actes de Philippe, II, no 548, 875 ; Layettes, I, no 738, 815.
113 Pour Robert de Courtenay, Recueil des actes de Philippe, II, no 875, Layettes, I, no 747. Pour Henri Clément, Catalogue des actes de Philippe, II, no 831, 1041, voir aussi l’Anonyme de Béthune, Histoire des ducs, p. 120.
114 Recueil des actes de Philippe, II, no 807, 854, III, no 959, 986.
115 CN 118 et 119. Par mariage et extorsions diverses, le personnage se dote d’un domaine considérable dans le Sud et le centre du duché. Recueil des actes de Philippe, II, no 887, IV, no 1509. Il détourna une somme de 14 200 livres et Philippe le fit mettre en prison, d’où il ne sortit qu’en 1227. CN 363.
116 À propos de l’importance des hommes de basse extraction dans le gouvernement capétien, Gilles de Paris, « The “Karolinus” », éd. M. L. Colker, Traditio, no 29, 1973, p. 306; Chronicon Sancti Martini Turonensis, RHF, XVIII, p. 304.
117 Recueil des actes de Philippe, II, no 927 et III, no 1023.
118 CN 175.
119 CN 182, acte de 1210. Registres de Philippe Auguste, p. 299, Recueil des actes de Philippe, III, p. 998.
120 CN 232
121 Au sens strict du terme le Livre des terres et des revenus de Pierre du Thillay n’est pas un terrier, il serait plutôt comparable à un censier. M. Arnoux, G. Brunel, « Réflexions sur les sources médiévales de l’histoire des campagnes : de l’intérêt de publier les sources, de les critiquer et de les lire », Histoire des sociétés rurales, I, 1994, p. 11-35. Le document a été publié par J. Baldwin, « Le livre de terres et de revenus de Pierre du Thillay, fondateur de l’hôtel-Dieu de Gonesse, bailli de Caen de 1205 à 1224. Ses terres en Île de France et en Basse-Normandie », Cahiers Léopold Delisle, LI, 2002.
122 À propos de la concession de la terre de Roger Bigot, Catalogue des actes, no 819 ; Recueil des actes de Philippe, II, no 797, 944.
123 Contre M. Powicke, The Loss of Normandy, op. cit., p. 297. W. B. Stevenson a montré que les exceptions ont été assez nombreuses, « England and Normandy », op. cit. Elle confirme ainsi les allégations d’Henri de Bracton, De legibus et consuetudinibus, p. 374.
124 MRSN, I, p. LXVII; Close Rolls, 1234-1237, p. 250; Close Rolls 1242-1247, p. 231.
125 PR 11 John, p. 36, PR 12 John, p. 14. Il paie à la couronne anglaise 40 marcs et un palefroi pour entrer en possession de ces domaines.
126 Biens décrits comme terrae Normannorum en novembre 1224, Rot. Lit. Claus., 1204-1224, p. 624 ; Vente en 1227, Rot. Lit. Claus., 1224-1227, p. 186.
127 Patent Rolls, 1216-1225, p. 230, Close Rolls, 1242-1247, p. 393, p. 410.
128 Matthieu Paris, Chronica Majora, IV, p. 288.
129 HGM, v. 12886-12888. Voir K. Norgate, John Lackland, Londres, 1902, p. 106-107, M. Powicke, The Loss of Normandy, op. cit., p. 294-295; S. Painter, William Marshal, op. cit., p. 140-141 et D. Crouch, William Marchal, op. cit., p. 85-86.
130 Layettes, I, no 715 ; Catalogue des actes de Philippe, no 818. Pour le commentaire de cet accord, C. L. H. Coulson, « Forteress-Policy », op. cit., p. 37-38. À propos d’Osbert de Rouvray, frère de Jean, voir D. Power, « Between the Angevin », op. cit., p. 380.
131 CN 1120.
132 CN 285. Richard devait aussi payer plus de 800 livres parisis au roi de France, comme droit de relief, Layettes, I, no 1397, Recueil des actes de Philippe, IV, no 1641.
133 Guillaume Le Breton, Philippide, XI, v. 508-512.
134 Rot. Lit. Claus., 1204-1224, p. 387.
135 Curia Regis Rolls of the Reign of Henri III, IX, p. 37. Mathilde était la fille d’un fils naturel d’Henri Beauclerc et ses terres normandes bordaient la seigneurie d’Orbec, CP, IV, p. 317 ; XI, Appendix, p. 108-109.
136 Réclamation de Gervais dit Le Blanc d’Arclou (Eure), QN 295.
137 QN 84.
138 Ibid.
139 QN 60.
140 Pour la forfaiture de son fils, QN 436. À propos de Gundred : EYC, IV, p. 53-54.
141 Calendar of the Patent Rolls, 1232-1247, p. 173 (sauf-conduit en janvier 1237), p. 224 (saufconduit en 1238), Close Rolls of the Reign of Henri III, 1237-1242, p. 280 (sauf-conduit de 1241).
142 QN 57.
143 Recueil des Jugements, no 342. Même cas de figure, en 1223 : un jugement en faveur de la veuve de Guillaume de Cahagnes, Létitia, Ibid., no 342.
144 CN 377.
145 Ibid.
146 Catalogue des actes de Philippe, no 1920, CN 170, 276.
147 Sur le devenir de ses terres, MRSN, II, p. CCXXXVI.
148 EYC, IX, p. 43.
149 MRSN, II, p. XLVI-XLVIII.
150 Calendar of the Patent Rolls, 1232-1247, p. 226, p. 351. Il n’est pas exclu que Renaud de Pavilly, le fils aîné d’Eustachie, à la tête du domaine normand de la famille ait obtenu, lui aussi, quelques terres en Angleterre. Mais à l’inverse de ses frères qui passent au service d’Henri III, Renaud reste fidèle à Louis IX et lorsque les membres de la fratrie participent aux affrontements anglo-français en 1242, ils ne se battent pas dans le même camp.
151 Dans une lettre d’août 1219, on apprend qu’Alice est la cognata du comte et la neptis du justicier. En fait, elle était une parente éloignée de la femme de ce dernier. W. Stevenson, England and Normandy, Appendix IV, p. 391.
152 QN 73.
153 CN 170.
154 Curia Regis Rolls, IX, p. 300.
155 Recueil des Jugements, no 623. Également no 635 (requête faite quelques mois plus tard).
156 Elle avait obtenu une licence en avril 1241 pour passer la Manche et présenter sa requête au roi de France : Close Rolls, 1237-1242, p. 293. Recueil des Jugements, no 750.
157 Rot. Lit. Claus., 1204-1224, p. 20, p. 23, p. 227.
158 MRSN, II, p. CCXVII.
159 CN 410.
160 MRSN, II, p. CXLVI.
161 I. J. Sanders, English Baronies, op. cit., p. 64.
162 MRSN, II, p. CCV.
163 Patent Rolls of the Reign of Henry III, I, p. 115.
164 Richard le Maréchal s’était en effet marié avec Gervaise, fille et héritière d’Alain de Dinan, l’un des seigneurs bretons les plus influents de l’époque, CP, X, p. 368.
165 P. Meazey, Dinan au temps des seigneurs, Guingamp, 1997, p. 84-85.
166 Excerpta e rotulis finium in Turri Londinensi asservatis, Henrico tertio rege, 1216-1272, éd. Roberts, t. I, p. 370. Sur ce point, M. Powicke, The Thirteenth Century, op. cit., p. 102.
167 Matthieu Paris, Chronica Majora, IV, p. 225. Il meurt probablement en septembre 1242.
168 Excerpta e rot. Fin., I, p. 147.
169 Rot Lit. Claus., 1224-1227, p. 160.
170 Calendar of the Charter Rolls, 1226-1516, I, p. 60.
171 M. Powicke, The Loss of Normandy, op. cit., p. 342-343; Rot. Lit. Claus., 1204-1224, p. 115.
172 1226 : Rot. Lit. Claus., 1224-1227, p. 141, p. 162 ; 1234 : Close Rolls, 1231-1234, p. 475, p. 525 ; en 1236, à sa mort, les terres sont données à Simon de Montfort, Close Rolls, 1234-1237, p. 319.
173 PR 12 John, p. 14.
174 Rot. de ob. et Fin., p. 576. C’est finalement son frère Guillaume qui bénéficie de la double-tenure, avant que les domaines n’apparaissent à nouveau comme terrae Normannorum, Book of Fees, 1198-1293, p. 388, p. 615, p. 619.
175 À propos de ce seigneur, voir D. Power, « Terra regis Anglie », op. cit., p. 206-208.
176 The Beaulieu Cartulary, éd. S. F. Hockey, Southampton, 1975, no 47.
177 Calendar of the Patent Rolls, 1225-1232, Londres, p. 361.
178 Terre dans les mains du roi : Calendar of the Charter Rolls, 1226-1257, p. 163 ; Dot d’Isabelle de Warenne, veuve de Gilbert, Ex e Rot. Fin., t. I, p. 269, Close Rolls, 1234-1237, p. 19.
179 Patent Rolls, 1225-1232, p. 435-436.
180 Matthieu Paris, Chronica Majora, IV, p. 288.
181 Registres de Philippe Auguste, p. 310.
182 Scripta de feodis, p. 635.
183 PR 7 John, p. 151.
184 Close Rolls, 1234-1237, p. 105.
185 Extrait des chartes Calvados, I, p. 143, p. 149, p. 151, p. 157, p. 167.
186 Patent Rolls, 1216-1225, p. 4, p. 68.
187 M. Powicke, The Loss of Normandy, op. cit., p. 339.
188 Scripta de feodis, p. 612, p. 618, p. 709 ; CN 206.
189 Rot. de ob. et Fin., p. 402 ; PR 9 John 1207, p. 41.
190 PR 16 John, p. 37.
191 Rot. Norm., p. 102.
192 Rot. Litt. Claus., 1224-1227, p. 182, p. 295.
193 Ex e Rot. Fin., I, p. 238.
194 Ex e Rot. Fin., I, p. 424; Books of Fees, p. 659, p. 1151.
195 Rot Lit. Pat., 1201-1216, p. 162.
196 Rot. Litt. Claus., 1224-1227, p. 182.
197 Recueil des actes de Philippe, II, p. 723.
198 L. Musset, « Quelques problèmes », op. cit., p. 295
199 Leicester : CN 99, 100, 113, 209 ; Mandeville : I. J. Sanders, English Baronies, op. cit., Oxford, 1960, p. 71 ; Arundel : CN 113 ; Chester : Scripta de feodis, p. 706, p. 707, p. 709 ; Warenne : CN 93, 113, 209 ; Évreux et Gloucester : Catalogue des actes de Philippe Auguste, no 613 ; Tosny : CN 118, 119, 363, Recueil des actes de Philippe, no 1790 ; Montfort : CN 113.
200 M. Powicke, The Loss of Normandy, op. cit., p. 331, p. 338.
201 S. Painter, The Reign of King John, op. cit., p. 148.
202 Ils deviennent « référents » et sont appelés par le pouvoir à témoigner au sujet des coutumes du duché : en 1205, à propos des droits du clergé ou, en 1226, lors du conseil de régence de Louis IX, Layettes, I, n 785 ; II, no 1826.
203 D. Power, « Terra regis Anglie », op. cit., p. 208.
204 Notamment Mathieu du Bois Ansere, Roger de Bieres, Guillaume Agullon, Guillaume d’Oinville, Hugues de Liamanville, Elie de Bouelles pour Breteuil, Jean de La Heuse, Thomas et Robert de Wiville, Geoffroy de Herupe, Baudoin Rastel pour Grandmesnil, Registres de Philippe, p. 278-279.
205 Ibid., p. 309.
206 QN 302-303.
207 BM Rouen Y 13, fol. 78 et ADSM, 6 H 6.
208 Présentation à la cure, Polypt. 275 D, S. Brown, The Register of Eudes of Rouen, New York, Londres, 1964, p. 60.
209 J. Le Maho, « L’apparition des seigneuries châtelaines dans le grand Caux à l’époque ducale », AM, Caen, 1976, p. 100.
210 J. Baldwin, Philippe Auguste, op. cit., p. 147.
211 Registres de Philippe, p. 333, no 39 ; Catalogue des actes, no 1814. Pour les terres d’Aquigny données à Barthélemy : Catalogue des actes, no 1007, CN 1086.
212 Catalogue des actes, no 1951.
213 Ibid., no 874.
214 Ibid., no 831, 1041.
215 Recueil des actes de Philippe, II, no 501, 549, 551.
216 J. R. Strayer, Administration of Normandy, op. cit., p. 96-97.
217 Catalogue des actes, no 972. Pour un tableau complet de ses biens : J. Baldwin, « Le livre des terres et des revenus », op. cit.
218 Catalogue des actes, no 933 (1205) ; no 1790 (1217).
219 Recueil des actes de Philippe, II, no 875 ; Layettes, I, no 747. Le château de Conches avait appartenu aux Tosny, voir L. Musset, « Aux origines d’une classe dirigeante », op. cit., p. 65.
220 Recueil des actes de Philippe, III, no 1305.
221 Sur ces mariages et ces stratégies, D. Power, The Norman Frontier, op. cit., p. 237-238.
222 BN ms lat 11056, fol. 30 v-32 r, no 691-94.
223 Recueil des actes de Philippe, II, no 905.
224 Catalogue des actes, no 936-937, Alix de Roye épouse d’abord Jean d’Alençon en 1205, CN 122. En 1214, elle épouse le second fils du comte d’Alençon, Raoul, Catalogue des actes, no 1515. Recueil des actes de Philippe, II, no 905 ; III, no 1348, 1376.
225 Ibid., II, no 669.
226 CN 125 ; Catalogue des actes de Philippe, I, p. 917.
227 L. Musset, « Quelques problèmes », op. cit., p. 298.
228 Recueil des jugements, no 80.
229 Registres de Philippe Auguste, « inquisitiones », no 112, p. 171-172.
230 Ibid., sur les coutumes de la forêt de Mérey dans la châtellenie de Pacy-sur-Eure, no 24 p. 69, sur les droits de pânage dans la forêt d’Évreux no 80, p. 132-133 et sur les droits d’usage dans la forêt de Lyons, no 82, p. 134-135.
231 Recueil des jugements, no 200, 204.
232 Registres de Philippe Auguste, no 81, p. 133.
233 Exemples de participation des seigneurs aux assises : Recueil des jugements, no 11, 21, 131…
234 Ibid., no 1.
235 Ibid., p. 53-54, Registres de Philippe, p. 84.
236 Guillaume le Breton, Philippide, VIII, v. 221-227.
237 R. Jouet, Et la Normandie, op. cit., p. 101.
238 J. Yver, « Les caractères originaux », op. cit., p. 311-314.
239 D. Power, The Norman Frontier, op. cit., p. 165.
240 Guillaume le Breton, Philippide, VIII, v. 239-240.
241 Grands rôles de l’Échiquier de Normandie, p. 154.
242 Recueil des jugements, no 137-138.
243 CN 351.
244 CN 351.
245 Cart. Fontenay-le-Marmion, appendix, no 3, p. 177.
246 J. Baldwin, Philippe Auguste, op. cit., p. 287.
247 QN 280.
248 L’Orléanais pour le lignage de la Chapelle, le Val d’Oise pour Pierre de Thillay, la région de Sens pour Renaud de Ville-Thierry.
249 Pour un suivi de certaines carrières : J. Baldwin, Philippe Auguste, op. cit., appendice B, p. 661-666.
250 Recueil des actes de Philippe, (Radepont) II, no 761, (Argentan), II, no 807 et III, no 986, (Nonancourt et Conches), II, no 875, (Neufmarché), II, no 501, (Tosny), II, no 887. Voir la liste des châtelains, Registres de Philippe, p. 330-333.
251 Opinion que partage D. Power, « Les dernières années », op. cit., p. 175-180, contre J. R. Strayer, The Administration of Normandy under Saint Louis, Cambridge, 1932, p. 6, p. 95 ; L. Musset, « Quelques problèmes », op. cit., p. 303-304 et J. Baldwin, Philippe Auguste, op. cit., p. 285-290.
252 MRSN, II, p. CCXIX-CCXXI.
253 QN 516, 522, 527, 530, 549…
254 D. Power, « Between the Angevin », op. cit., spécialement p. 367-369.
255 Layettes, no 716.
256 RHF, XXIV, p. 109-110, CN 167. A. Hellot, Essai sur les baillis de Caux de 1204 à 1789, Paris, 1895, p. 2-6.
257 On le trouve encore comme témoin de nombreuses chartes royales ou d’actes passés en présence de Louis, par exemple, CN 1129.
258 Catalogue des actes de Philippe, no 1019.
259 Registres de Philippe, p. 330-333.
260 QN 340.
261 S. Painter, The Reign of King John, op. cit., p. 148-149.
262 Guillaume le Breton, Philippide, VIII, v. 217-218.
263 Nicolas de Bray, Gesta Ludovici VIII, RHF, XVIII, p. 312-344.
264 Guillaume le Breton, Philippide, X, v. 449-500.
265 Dreux de Moui, avec cinq de ses hommes, Jean de Rouvray et dix vassaux, Nicolas de Montigny avec cinq hommes, Jean des Près et dix hommes, Étienne de Longchamp et cinq hommes, Geoffroy du Bois et Renaud, son frère, Robert d’Ivry et dix hommes, Pierre Mauvoisin et cinq hommes, Robert de Harcanville et cinq hommes ainsi de Guillaume de Mortemer et cinq hommes. Voir J. Baldwin, Philippe Auguste, op. cit., p. 683-684.
266 QN 415. Autres exemples, QN 80, 375.
267 Rot. Chart., p. 207.
268 Patent Rolls, p. 405-406 (jlt 1223).
269 Matthieu Paris, Chronica Majora, III, p. 226.
270 Raoul de Coggeshall, p. 199.
271 Rot. Litt. Pat., p. 57.
272 Registres de Philippe Auguste, « Inquisitiones », no 112, p. 172.
273 Matthieu Paris, Chronica Majora, III, p. 165.
274 Les grandes chroniques de France ou Chroniques de Saint Denis, éd. P. Paris, 1838, IV, p. 239. Guillaume de Nangis, Gesta sanctae memoriae Ludovici regis Franciae, RHF, XX, 316.
275 Matthieu Paris, Chronica Majora, III, p. 197-198 ; Roger de Wendover, III, p. 5.
276 CN 374, Recueil des jugements, no 666, RHF, XXIII, 728 d, 729 d, e.
277 CN 378, 379 (mai 1231). Voir R. Jouet, Et la Normandie, op. cit., p. 85.
278 « Ex, libro III Historiae Regum Francorum ab origine gentis usque ad annum 1214 », RHF, XVII, p. 426.
279 CN 1080.
280 QN 501.
281 QN 439.
282 QN 72.
283 QN 62.
284 QN 346.
285 QN 530.
286 Sauf après la prise de Rouen où il exige de tous les seigneurs présents des otages, Layettes, I, no 716.
287 CN 204 (1210).
288 Registres de Philippe Auguste, p. 386, CN 204.
289 CN 205.
290 Registres de Philippe Auguste, p. 387.
291 Les chevaliers choisis sont Guy de Senlis, Baudoin de Dargnie et Raoul de Clermont. Voir D. Power, The Norman Frontier, op. cit., p. 256-257.
292 Registres de Philippe Auguste, p. 377 sq.
293 Ibid., p. 302-318.
294 Rot. Lit. Pat., 1201-1216, p. 95.
295 Ibid., 1206-1216, p. 122b.
296 Rot. Lit. Claus., 1204-1224, p. 534.
297 Le Nain de Tillemont, Vie de Saint Louis, roi de France, éd. J. De Gaulle, IV, Paris, 1848, p. 7.
298 Guillaume le Breton, Philippide, VIII, v. 218.
299 Ch. Petit-Dutaillis, « Querimonniae », op. cit., p. 103.
300 W. Stevenson, England and Normandy, op. cit., p. 227.
301 Raoul de Coggeshall, p. 152.
302 Quelques plaintes mentionnent d’autres zones géographiques comme les terres de Cadoc près de Gaillon et Tosny, les terres de Guérin Glapion à Lion-sur-Mer, Bretteville-l’Orgueilleuse, Anctoville (diocèse de Bayeux), etc.
303 QN 480.
304 QN 550, Même type de plainte par Henri Trouvé de Bonsmoulins, QN 551.
305 QN 346.
306 QN 491.
307 R. L. C. Jones, « Norman Castles ? A Review of the Origins of Castle Design in Normandy and Sussex, 1066-1450 », Proximus, 1995, p. 137-144, ici p. 142 ; M.-P. Baudry, « Les fortifications des Plantagenêt et des Capétiens : combats et imitations », Plantagenêts et Capétiens, op. cit., p. 319-357 ; A. Renoux, « Les fondements architecturaux du pouvoir princier en France (fin IXe-début XIIIe siècle) », Les princes et le pouvoir au Moyen Âge, Paris, 1993, p. 167-194, ici p. 179. Plus généralement sur l’architecture philippienne, A. Chatelain, « Recherche sur les châteaux de Philippe Auguste », AM, XXI, 1991, p. 115-161 ; A. Erlande-Brandenburg, « L’architecture militaire au temps de Philippe Auguste : une nouvelle conception de la défense », La France de Philippe Auguste, op. cit., p. 595-603.
308 Y. Bruand, « Le château de Gisors, principales campagnes de construction », Bulletin Monumental, no 116, 1958, p. 243-265 ; F. Salet, « Verneuil », Congrès archéologique de France, no 111, 1953, p. 407-457 ; J. Vallery-Radot, « Le donjon de Lillebonne », Mélanges offerts à René Crozet, Poitiers, 1966, II, p. 1105-1113.
309 Sur ce point, J. Mesqui, « Les tours à archères dans le domaine Plantagenêt français, 1160-1205 », Les fortifications dans les domaines Plantagenêt, op. cit., p. 84.
310 Vivida Karolide virtus […], Philippide, Dédicace, v. 28. Sur ce thème : A. W. Lewis, Le sang royal. La famille capétienne et l’État, France, Xe-XIVe siècle, Paris, 1981, p. 144-164.
311 Gilles de Paris, « The “Karolinus” of Egidius Parisiensis », éd. M. L. Colker, Traditio, no 29, 1973, p. 303.
312 « Chronicon magnum Turonense », Recueil des chroniques de Touraine, éd. A. Salmon, Tours, 1854. Le texte est publié sans la généalogie, que l’on trouvera dans RHF, X, p. 281.
313 Giraud de Barri, De Principis instructione, I, 17, p. 74.
314 Regesta pontificum Romanorum (1198-1304), éd. A. Potthast, 1875, no 2181. Cité par A. Lewis, Le sang royal, op. cit., p. 150.
315 « Historia Karoli Magni et Rotholandi », Chronique de Turpin et Grandes chroniques de France, dans Les textes de la chanson de Roland, vol. 2, éd. R. Mortier, Paris, 1941.
316 Rigord, Gesta Philippi, I, p. 64. Pour les détails sur ce lien, cf. I, p. 55-64.
317 C. Beaune, Naissance de la nation, op. cit., p. 54.
318 Registres de Philippe, p. 344-345.
319 RHF, XII, p. 220, XVII, p. 426.