Louis Guilloux
| ,Première partie. Une vie dans la presse, nécessité et engagements
Accéder au monde de la presse. Une entrée réussie et une ambition manquée ?
Les formats HTML, PDF et ePub de cet ouvrage sont accessibles aux usagers des bibliothèques et institutions qui l'ont acquis dans le cadre de l'offre OpenEdition Freemium for Books. L’ouvrage pourra également être acheté sur les sites des libraires partenaires, aux formats PDF et ePub, si l’éditeur a fait le choix de cette diffusion commerciale. Si l’édition papier est disponible, des liens vers les librairies sont proposés sur cette page.
Extrait du texte
Les premiers textes de Louis Guilloux publiés dans des revues littéraires, avant La Maison du peuple, sont connus. Il s’agit de Souvenirs sur Georges Palante, dans La Ligne de cœur (Nantes), le 1er novembre 1926, d’un compte rendu de L’Ascension de Léon Bourgeois dans Europe, le 15 février 1927, et de Sur l’Offense, dans Le Roseau d’or de mars 1927.
Pour le premier, il raconte dans les Carnets I (p. 39) puis dans Absent de Paris (p. 174-178) que Max Jacob l’avait entraîné à Nantes, et le lecteur fait l’hypothèse qu’il a ainsi connu Julien Lanoë, directeur de la revue nantaise, et obtenu cette publication en revue. Les documents d’archives le confirment partiellement. Le premier article dans Europe est publié grâce à Daniel Halévy1, et Louis Guilloux a raconté, en brodant un peu, comment André Chamson l’a introduit dans son salon2. À cette date, Jacques Robertfrance a lu (et refusé) ses Souvenirs sur Georges Palante pour Europe3. Ce n’est qu’après mars 1927 qu’il publiera dans Europe ...
© Presses universitaires de Rennes, 2014
Conditions d’utilisation : http://www.openedition.org/6540