1 Nosotros lo hemos vivido…, op. cit., p. 32 ; et Mará Encarna Nicolás Marín, « Los niños españoles en la Unión Soviética », art. cit., p. 152. La République des Allemands de la Volga était constituée d’émigrés allemands que Catherine II avait installés là pour exploiter les terres et que, en raison de leur condition d’Allemands, les autorités russes obligèrent à abandonner leurs maisons et leurs fermes qui furent ensuite occupées par de nombreux enfants espagnols.

2 Le journal se trouve reproduit dans Dorothy Legarreta, The Guernica Generation…, op. cit., p. 266-267.

3 Mikel Rodríguez Álvarez, « Luis Lavín. Un piloto bilbaíno en la Gran Guerra Patriótica (1941-1945) », Historia 16, année XXIX, n^o 355, 2005, p. 119 et 121.

4 On peut trouver plus d’informations sur les bataillons de l’Armée Rouge et les corps de la guérilla russe auxquels ont participé des combattants espagnols, dans Arasa D., Los españoles de Stalin…, op. cit., p. 89-92 ; Vilanova A., Los olvidados… op. cit., p. 479-500 et Pons Prades E., Republicanos españoles en la Segunda Guerra Mundial, Barcelone, Planeta, 1975, p. 558-559.

5 Respectivement, Nosotros lo hemos vivdo…, op. cit., p. 51 ; Isabel Argentina Álvarez Morán, Memorias de una niña de la guerra…, op. cit., p. 85 et 198 et Daniel Arasa, Los españoles de Stalin, op. cit., p. 92.

6 Le livre en question s’intitule ¡Cantad por nosotros los vivos !, écrit par Usevdov Azarov et Andrei Zinachev. Il a été publié à Moscou en 1972 et en p. 27, il cite Eulogio González Fernández, lorsqu’il raconte le rôle de son bataillon. Le témoignage de ce dernier se trouve dans Roque Serna, Heroismo español en Rusia 1941-1945, Madrid, Édition de l’auteur, Gráficas Cañizares, 1981, p. 56-60 (citation à la page 57).

7 Le journal du capitaine Francisco Gullón se trouve, avec d’autres documents et témoignages personnels des Espagnols qui ont combattu dans l’Armée Rouge, dans Cimorra E., Mendieta I. R. et Zafra E., El sol sale de noche. La presencia española en la Gran Guerra Patria del pueblo soviético contra el nazi-fascismo, Moscou, Progreso, 1970, p. 66-67.

8 Pour les informations citées, on pourra se référer à : En memoria de los combatientes y niños españoles muertos junto al pueblo ruso con motivo de la segunda guerra Mundial, 1941-1950, Madrid, Fundación nostalgia, 2000, sans pagination ; Benassar B., El infierno fuimos nosotros…, op. cit. p. 380 et Miralles R., Españoles en Rusia…, op. cit. p. 201-202.

9 L’auxilio Social, l’aide Sociale, est un organisme créé pendant la Guerre Civile espagnole, sur le modèle du Winterhilfe, l’aide d’hiver, en allemagne. À sa tête se trouvait Mercedes Sanz Bachiller, militante de la Section Féminine de la Phalange espagnole que dirigeait Pilar Primo de Rivera.

10 L’histoire de néstor Rapp est rapportée dans Vinyes R., armengou M. et Belis R., Los niños perdidos del franquismo…, op. cit., p. 173-180.

11 Devillard M. J., Pazos Á, Castillo S. et Medina n., Los niños españoles en la URSS…, op. cit., p. 65. Les premières Maisons de la jeunesse furent fondées en 1940 à Moscou et Léningrad. Elles remplacèrent les Maisons des enfants lorsque ceux-ci arrivèrent à l’âge adulte, compte tenu des perspectives de changements (études, travail, famille, nouveaux besoins) que cela supposait. Manuel ARCE offre un témoignage sur l’adolescence en URSS dans « Vivencias de un joven en la Unión Soviética », Exilios y migraciones, n^o 3, 2002, p. 191-231.

12 Alted Vigil A., La voz de los vencidos…, op. cit. p. 168.

13 Interview rapporté dans Àlvero Errazu C. et Martorell Rodrigo P., « Los niños de la guerra. Los grandes olvidados », dans Mancebo M. F., Baldó M. et Alonso C. (éd.), L’exili cultural de 1939. Seixanta anys després. Actas del I Congreso Internacional, Valence, Université de Valence, Bibliothèque de Valence, Fondation Max Aub, 2001, t. II, p. 67.

14 Álvarez Morán I. A., Memorias de una niña de la guerra…, op. cit., p. 143.

15 Devillard M. J., Pazos Á, Castillo S. et Medina N., Los niños españoles en la URSS…, op. cit., p. 16-17 et 25-27.

16 Témoignage recueilli dans AltedVigil A., La voz de los vencidos…, op. cit., p. 197.