Remerciements
p. 7-8
Texte intégral
1Cet ouvrage est tiré d’une thèse de doctorat, soutenue en novembre 2013 et codirigée par les Professeurs Olivier Faron et Michelle Zancarini-Fournel. J’adresse mes plus sincères remerciements à Olivier Faron qui, de 2005 à 2013, a dirigé mes travaux de recherche, de la maîtrise à la thèse de doctorat en histoire, et les a accompagnés de sa bienveillance et de son soutien. Michelle Zancarini-Fournel a été à mes côtés, pendant et après la thèse et les mots me manquent pour lui témoigner ma reconnaissance. Elle a contribué, par sa confiance, ses conseils bibliographiques, son code couleur, ses innombrables relectures et sa présence chaleureuse à me former au métier d’historienne.
2Les membres de mon jury de thèse m’ont permis par leurs remarques d’améliorer le texte présenté aujourd’hui. Que les Professeurs Olivier Dard, Marc Lazar, Gilles Richard et Angelo Ventrone en soient ici remerciés. Olivier Dard et Gilles Richard m’ont conseillée et soutenue dans ce projet de publication. Je leur en suis très reconnaissante.
3Je tiens aussi à remercier mes collègues historiens qui par leurs remarques, leurs conseils et leur soutien m’ont accompagnée et ont nourri ma réflexion durant ces années de recherche : Paola Bertilotti, Valérie Igounet, Francesco Germinario et Xavier Vigna. Je n’aurais sans doute pas pu écrire ce livre sans la bienveillance d’Alessandro Giacone, que je remercie ici chaleureusement. Merci à Jean-Claude Zancarini pour la consulenza linguistica.
4Cet ouvrage n’aurait pu naître sans le soutien des institutions qui ont accueilli et soutenu mes travaux depuis 2008 : l’École doctorale II de l’université Paris-Sorbonne, l’École Française de Rome et l’UMR SIRICE. Je remercie par ailleurs très vivement les directeurs, conservateurs et personnels des différentes institutions dans lesquelles j’ai travaillé. Je dois des remerciements particuliers au Professeur Giuseppe Parlato, aux archivistes Lucia Petese et Francesca Garello et à l’ensemble du personnel de la Fondazione Ugo Spirito e Renzo de Felice, à Manlio Milani et à Pippo Iannacci de la Casa della Memoria de Brescia, à Anne Leblay-Kinoshita des Archives Nationales, à Françoise Gicquel de la préfecture de Police de Paris, à Sylvain Manville de la mission des archives du ministère de l’Intérieur et à Franck Veyron et Gianni Carrozza de la BDIC.
5Merci à Enzo Cipriano et Nicola Rao pour leur aide précieuse, leurs archives et leurs contacts. J’exprime ici toute ma reconnaissance envers celles et ceux qui m’ont accordé leur confiance en acceptant de témoigner et de revivre un passé militant parfois douloureux.
6Mes pensées vont enfin vers ma famille et mes proches qui m’ont nourrie, relue et accompagnée durant ces années de recherche. Ce livre est pour eux.
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