1 Adolphe Rigaud (1804-1885). Médecin saint-simonien, il participe à la retraite de Ménilmontant. Compagnon de la Femme, il embarquera pour l’Orient, et deviendra à son retour maire de Pons, en Charente-Maritime.

2 Lettre de Simon à Chevalier du 17 avril 1832, Fonds Enfantin 7607, folio 50.

3 L’article se termine ainsi : « Je ne crains donc pas de le dire, la mise en pratique de la religion Saint-Simonienne amènerait nécessairement l’anéantissement de toute religion […] et la perturbation de l’ordre social. Or comme je tiens à conserver mes idées religieuses, comme je veux le perfectionnement et non le renversement de l’ordre social actuel, comme je désire laisser à mes seuls enfants, le peu que mes travaux pourront me faire acquérir, je ne serai point saint-simonien. »

4 L’Union catholique, « De la religion saint-simonienne », livraison du 1^er et du 15 décembre 1831, les articles sont signés O’K.

5 Il reprend à son compte cette affirmation dans la lettre qu’il envoie au Père en Égypte. Voir la lettre en annexe p. 376.

6 Lettre de Jules Toché à Michel Chevalier du 15 avril 1832, Fonds Enfantin 7607, folio 102.

7 Lettre de Jules Toché à Michel Chevalier du 22 avril 1832, Fonds Enfantin 7607, folio 103.

8 « Journal » de Guépin à la date du 20 mars 1833, p. 10 du manuscrit, infra p. 339. Avec Cazeaux, Édouard Charton crée un hebdomadaire, Le Magasin Pittoresque, journal populaire bon marché dont la première livraison sort le 9 février 1833.

9 Chevalier, parlant du Magasin Pittoresque, écrit à Guépin : « C’est un recueil qu’il faut suivre. Il y a germe et le germe est en bonnes mains. Nos livres actuels sont absurdes, ils ne parlent qu’à l’intelligence, nullement aux sens. Dans l’avenir tout livre, surtout tout livre élémentaire, populaire, aura d’un côté des caractères, de l’autre des peintures ou au moins des dessins. Aujourd’hui on grave sur cuivre à bon compte. Par le cliché on multiplie les exemplaires et on place dans les formes d’imprimerie. » Fonds Enfantin 7647, folio 61, lettre de Chevalier à Guépin, Sainte-Pélagie, le 9 mars 1833.

10 P. 208, article sur les Kimris.

11 Lettre d’Édouard Charton à Guépin du 5 décembre 1833, ADLA 19 J 12.

12 Voir Michel Aussel, Nantes sous la Monarchie de Juillet, Nantes, Ouest Éditions, 2002, p. 97-98.

13 Guépin écrit dans Supplément au Breton du 16 mai 1831 : « Nous devons signaler les publications du Globe sur les affaires de finance. Ce journal dont le grand défaut est d’avoir toujours une page entière consacrée à une métaphysique souvent mystique, traite avec une grande supériorité tout ce qui concerne les intérêts matériels, et surtout l’action des banques, dont les chefs de leur doctrine ont fait une étude approfondie. »

14 Lettre de Simon à Chevalier, Nantes le 28 janvier 1832, Fonds Enfantin 7607, folio 49.

15 Lettre de Simon à Chevalier, Nantes le 17 avril 1832, Fonds Enfantin 7607, folio 50.

16 Ibidem.

17 Philippe Regnier analyse dans le détail la stratégie dont use Michel Chevalier, homme de presse, dans « Pratique et théorie saint-simonienne de la presse », Presse et plumes : journalisme et littérature du XIX^esiècle, Marie-Ève Therenty et Alain Vaillant (dir.), Paris, Nouveau monde, 2004, p. 222-239.

18 Le procès de Chevalier et d’Enfantin se déroule à la Cour d’assises de Paris le 27 août 1832. Ils sont condamnés à un an de prison ; la Cour de cassation ayant confirmé la peine le 15 décembre, ils sont aussitôt incarcérés à Sainte-Pélagie.

19 Voir Le Breton du 26 janvier 1832.

20 Lettre de Simon à Chevalier, 17 avril 1832, Fonds Enfantin, manuscrit 7607, folio 50.

21 Dans Le Breton du 1^er juin 1832, parlant de son livre Essais historiques sur les progrès de la ville de Nantes, qui vient de paraître, il écrit : « Il ne pouvait me convenir qu’un ami fît l’analyse de mon livre dans un journal dont je suis actionnaire et dans lequel je publie encore de temps à autre des articles d’économie politique. »

22 Le Breton du 29 juin 1832.

23 Lettre de Chevalier à Guépin, le 1^er octobre 1832, Fonds Enfantin, manuscrit 7646, folio 573.

24 Souvestre reste moins d’un an au Finistère, qu’il quitte en avril 1833.

25 Lettre de Chevalier à Guépin, 18 octobre 1832, Fonds Enfantin 7646, folio 576 verso.

26 Cet, article qui n’est pas signé, est précédé de cette petite note : « Plusieurs personnes ont manifesté le désir que L’Ami de la Charte fît une profession de foi explicite. Nous publions donc la suivante qui est celle d’un grand nombre de nos concitoyens. »

27 La Tribune des départements, journal politique, commercial et littéraire, 8 juin 1829-11 mai 1835, Paris. Ce journal républicain est proche de la « Société des Droits de l’Homme ».

28 Lettre de Michel Chevalier à Simon, 27 octobre 1832, Fonds Enfantin, manuscrit 7646, folio 582.

29 L’Ami de la Charte du 21 octobre 1832, l’article est signé L.E.A.

30 Voir Le Globe des 1^er, 6 et 11 juillet 1831.

31 Michel Chevalier à Guépin, le 15 janvier 1833, Fonds Enfantin, manuscrit 7647, folio 59.

32 Lettre de Chevalier à Guépin, 18 octobre 1832, Fonds Enfantin, manuscrit 7646, folio 576 verso.

33 Lettre de Chevalier à Simon, 5 décembre 1832, Fonds Enfantin, manuscrit 7646, folio 592 verso.

34 La première pierre d’un phalanstère de 460 hectares est posée le 21 mars 1833, mais le défrichement et l’installation des premiers colons ont commencé dès l’hiver 1832. Le nom de la propriété est « Colonie Sociétaire » et Charles Fourier en est le directeur. Il s’agit du premier essai de phalanstère. Son échec, faute de financement, le fit désavouer par les théoriciens de l’école sociétaire.

35 Lettre de Lechevalier (qui participe au « charmant diner ») à Clarisse Vigoureux du 29 septembre 1832, AN, Fonds Fourier et Considérant, 10 AS 39.

36 Ibidem.

37 Lettre de Simon à Lechevalier, Nantes, le 28 octobre 1832, AN, Fonds Fourier et Considérant, 10 AS 41 : « J’espère, mon cher Lechevalier, que vous n’êtes pas mécontent de moi. Depuis que j’ai quitté Paris, je n’ai laissé passer aucune occasion de parler de vos travaux. »

38 Lettre de Simon à Lechevalier, Nantes, le 25 mars 1833, AN, Fonds Fourier et Considérant, 10 AS 41.

39 L’article est repris par La Tribune du 19 septembre 1832.

40 Lettre de Freslon à Guépin, Angers le 12 novembre 1832, ADLA, 19 J 4.

41 Nécessité d’un nouveau parti politique. [Lettre à M. P., à La Flèche. Signé A. Freslon, 30 juillet 1832], Angers, Lesourd, [s. d.].

42 Dans L’Ami de la Charte du 4 décembre 1832, il explique qu’à l’avenir il signera ses articles : L. P.

43 Lettre de Chevalier à Simon, le 27 octobre 1832, Fonds Enfantin, manuscrit 7646, folio 582.

44 Lettre de Chevalier à Simon, le 18 novembre 1832, Fonds Enfantin, manuscrit 7646, folio 586 verso.

45 Lettre de Chevalier à Guépin, Ménilmontant le 18 novembre 1832, Fonds Enfantin 7646, folio 587.

46 Ibidem.

47 Guizot révoque, pour leur vote, deux députés fonctionnaires, Baude (Conseiller d’État) et Dubois. La disgrâce de Dubois ne dure pas bien longtemps : le 9 mai, il retrouve son poste d’Inspecteur général.

48 « Journal » de Guépin, à la date du 8 mars 1833, p. 9 du manuscrit, infra p. 338. On notera que Guépin range le juste-milieu parmi les patriotes.

49 Éditorial du Breton du 10 mars 1833. La veille, le journal avait consacré quelques lignes à l’affaire.

50 L’Ami de la Charte du 9 mars 1833.

51 Lettre de Michel Chevalier à Guépin du 13 mars 1833, Fonds Enfantin, manuscrit 7647, folio 63.

52 Ibidem.

53 Dans une lettre à Simon, Chevalier écrit : « Tâchons de convertir les légitimistes et n’essayons pas de les écraser », Fonds Enfantin, manuscrit 7647, folio 69, 20 février 1833.

54 Verrollot sollicite Chevalier dans une lettre du 6 janvier 1833, Fonds Enfantin, manuscrit 7647, folio 71, et Chevalier lui répond le 13 février (même référence, folio 75).

55 L’Ami de la Charte du 12 janvier 1833, article titré « Fédération » qui fait allusion à ce qu’allait être la « Réunion de l’Ouest ».

56 Lettre de Chevalier à Guépin du 22 mars 1833, Fonds Enfantin, manuscrit 7647, folio 64.

57 Lettre d’Enfantin à Alexis Petit du 20 juin 1833, Fonds Enfantin, manuscrit 7647. Il manque un mot avant « argent ».

58 C’est ainsi qu’elles-mêmes se désignent. Voir Christiane Veauvy, Paroles oubliées, les femmes et la construction de l’État-Nation en France et en Italie, 1789-1860, Paris, A. Colin, 1997.

59 Journal rédigé uniquement par des femmes qui ne signent que de leur seul prénom ; Pauline Roland a collaboré à la rédaction du journal.

60 Voir Lionel Latty, Henry Fournel 1799-1876, ingénieur du corps des mines, saint simonien, sa vie, ses œuvres, sa contribution au développement économique, industriel et social de son époque, thèse d’histoire, juin 2000, université de Paris 10-Nanterre, Atelier national de reproduction des thèses, tome 1, p. 81.

61 « Je n’ai ni inspiré, ni ordonné cette œuvre de femme, j’ai simplement approuvé ». Lettre d’Enfantin à Lambert du 7 décembre 1834, Fonds Enfantin, manuscrit 7670, folio 10.

62 Lettre d’Enfantin à Alexis Petit du 20 juin 1833, Fonds Enfantin, manuscrit 7647.

63 S’il reconnaît le dévouement de « cette pauvre Marie », Enfantin n’en écrit pas moins à Lambert : « le Livre des Actes me parait faux sous tous les rapports », lettre d’Enfantin à Lambert du 7 décembre 1834, Fonds Enfantin, manuscrit 7670, folio 10.

64 Le journal porte en avant-titre « Foi nouvelle ». Il paraît du 15 juillet 1833 à avril 1834, Paris, A. Johannau. Cécile Fournel partant le 8 novembre 1833 en Égypte, c’est Marie Talon qui assume la responsabilité du journal.

65 Journal des femmes, Gymnase littéraire, Paris. Sous la direction de Fanny Richomme le journal paraît du 5 mai 1832 au 30 décembre 1835. La signature de Guépin (A. G.) n’apparaît que dans trois articles dans ce journal où écrivent Louise Swanton Belloc et Nanine Souvestre. Le journal est bourgeois et catholique mais ambitionne d’œuvrer « à l’amélioration progressive du sort des femmes en leur donnant d’abord plus d’instruction et en leur concédant ensuite des droits politiques et de famille ». Document s. d. signé H. de M., AN CC 617.

66 Journal des femmes, « Des droits des femmes d’après la législation française », 7 juillet 1832. L’article est signé A. G.

67 La réponse à l’article de Guépin paraît le 14 juillet 1832, elle est signée « L’Hermaphrodite ».

68 « A M^mes Laure Bernard et Fouqueau de Pussy, en réponse à leurs articles insérés dans le Journal des Femmes, le 15 et le 29 septembre [1832] » ; l’article est signé M. F., dans La Femme Nouvelle, 1832, n^o 7, p. 57-61. Le journal porte encore le sous-titre Apostolat des Femmes et une épigraphe : « Liberté pour les femmes, liberté pour le peuple par une nouvelle organisation du ménage et de l’industrie. » Cet article est cité par Christiane Veauvy et Laura Pisano dans Paroles oubliées, les femmes et la construction de l’État-nation en France et en Italie, 1789-1860, op. cit., p. 183-185.

69 BMN, manuscrit 2940, lettre 321, sans date ni destinataire.

70 Ibidem.

71 Le Réformateur, journal quotidien des nouveaux intérêts matériels et moraux, industriels et politiques, littéraires et scientifiques.

72 Souvestre écrit à son ami Guépin : « Je lis le journal de Raspail ; je sais comme toi que c’est un savant de premier ordre », BMN, manuscrit 2940, lettre n^o 37, du 17 janvier 1835. Depuis sa prison Raspail échange avec Guépin des idées sur le meilleur système carcéral, il termine une de ses lettres par cette mélancolique formule : « Conservez-moi votre petite place dans votre souvenir pendant que je serai dans ma tombe ; et moi je ne vous oublierai pas dans mon enfer », lettre de Raspail à Guépin, s. d., BMN, manuscrit 2940, lettre n^o 87.

73 Une lettre de Raspail à Guépin, datée du 11 novembre 1834, en témoigne : « J’ai reçu avec la plus vive reconnaissance et votre lettre et votre discours […] Je vous remercie des bons renseignements que vous me donnez et sur l’abbé Chatel et sur MM Lafitte et Odilon Barrot », BMN, manuscrit 2940, lettre n^o 4.

74 Louis François Auguste Cauchois-Lemaire, 1789-1861. Historien, journaliste, il fonde, sous la Restauration, le journal d’opposition le Nain jaune. Il collabore au Constitutionnel avant de devenir, en 1832, rédacteur en chef du journal républicain, Le Bon Sens, journal populaire de l’opposition constitutionnelle.

75 Lettre de Ménard à Guépin, du 1^er janvier 1835 (tampon de la poste). Mangin a alors quarante-cinq ans et Ménard vingt-cinq ans, BMN manuscrit 2940, lettre n^o 260.

76 Ibidem.

77 Lettre de Raspail à Guépin, à l’en-tête du Réformateur, du 24 janvier 1835, BMN manuscrit 2940, lettre n^o 33.

78 Ibidem.

79 Lettre d’Édouard Charton à Guépin, du 29 janvier 1835 à l’en-tête du Magasin Pittoresque, BMN, manuscrit 2940 lettre n^o 47.

80 L’article précise qu’il s’agit d’une lettre adressée de Nantes, répondant à des questions posées par le journal.

81 Lettre de Ménard à Guépin, du 14 février 1835, BMN, manuscrit 2940, lettre n^o 34.

82 Lettre de Ménard à Guépin du 21 février 1835, BMN, manuscrit 2940, lettre n^o 31.

83 L’article n’est pas signé, mais provient d’une correspondance particulière de Nantes. Une lettre de Lemonnier à Guépin, datée du 18 janvier 1835, conforte l’attribution de cet article à Guépin, BMN, manuscrit 2940, lettre n^o 3. Guépin s’est beaucoup intéressé aux ateliers d’Indret, voir : Ange Guepin, Voyage de Nantes à Indret, Nantes, P. Sebire, 1836.

84 Le Réformateur du 14 juillet 1835 : « Les républicains de la ville de Nantes, dont les noms suivent, sont heureux de pouvoir vous envoyer le premier produit des listes de souscription, applicable à l’amende de 50 000 francs. Ils ont toujours regardé comme un devoir sacré pour eux de s’associer à vos généreux efforts et de protester en même temps de toute leur énergie, de leur conscience contre les juridictions exceptionnelles, contre la froide bataille des juges du maréchal Ney, et de prouver à tous leur antipathie pour la marche antinationale du gouvernement. »

85 BMN, manuscrit 2940, lettre n^o 23, du 1^er janvier 1835. Bordillon avait quitté avec éclat le Journal de Maine-et-Loire, en avril 1833, pour désaccord politique.

86 Sévin, dans une lettre à Bordillon parle d’un « traité » avec Mangin, BMN, manuscrit 2940, lettre n^o 65, lettre de Sévin à Bordillon du 2 octobre 1835.

87 BMN, manuscrit 2940, lettre n^o 31.

88 Lettre de Ménard à Guépin du 3 mars 1835, BMN, manuscrit 2940, lettre n^o 9.

89 Ibidem.

90 « Chaque condamnation des juges du roi augmentait le succès de ma feuille. J’étais sur le point d’ouvrir deux succursales, l’une à Marseille, l’autre à Nantes, lorsque Thiers fit voter à la Chambre les lois de septembre 1835 pour interdire l’existence des journaux libres et démocratiques », dans Yves Lemoine et Pierre Lenoël, Les avenues de la République, souvenirs de François Vincent Raspail sur sa vie et sur son siècle, Paris, Hachette, 1984, p. 242.

91 Lettre de Ménard à Guépin du 3 mars 1835, déjà citée.

92 Lettre de Duguet à Guépin du 25 octobre 1835, BMN, manuscrit 2940, lettre n^o 63.

93 Lettre de Sévin à Bordillon du 2 octobre 1835, BMN, manuscrit 2940, lettre n^o 65. Lefrançois, (ou Le François) Jean (1790-1852). Chirurgien militaire jusqu’à la fin de l’Empire, il passe son doctorat à Paris en 1820 et s’installe à Angers. Il fait partie des fondateurs de la Société industrielle d’Angers. Républicain, il milite activement à la « Société des Droits de l’Homme » d’Angers et il collabore avec Freslon et Bordillon au Journal de Maineet-Loire. Il est élu député à la Constituante, en avril 1848.

94 Maurice Domanget, Auguste Blanqui, des origines à la révolution de 1848, Paris-Mouton-La Haye, 1969, p. 156. Charles Philippon est le directeur de La Caricature et du Charivari.

95 Auguste Blanqui, Œuvres I, Des origines à la Révolution de 1848, textes rassemblés et présentés par Dominique LeNuz, Presses Universitaires de Nancy, 1993. Lettre de Blanqui à Pelloutier du 20 juin 1835 : il est à noter que Pelloutier se trouve alors à Paris, la lettre lui est adressée « 53, rue Montmartre, Hôtel de la Jussienne, Paris ».

96 Lettre de Ménard à Guépin du 3 mars 1835, déjà citée.

97 Lettre de Celliez à Guépin, du 3 août 1835 (Celliez n’est donc pas au courant de l’arrestation de Raspail), BMN, manuscrit 2940, lettre n^o 384.

98 Lettre de Guépin à Albert Laponneraye, sans date mais écrite à l’automne 1835, BMN, manuscrit 2940, lettre n^o 122. Le mot « bousingot » ou « « bouzingot » désigne, en 1832, de jeunes agitateurs républicains qui se distinguent par un accoutrement extravagant.

99 Le Bon Sens, « journal populaire fondé par le citoyen Guépin, paraissant au moins une fois par semaine », s. d. Il est précisé dans le prospectus que « toutes les annonces concernant les intérêts des travailleurs pauvres sont insérées gratuitement », ADLA 19 J 4.

100 Lettre de Guépin à Enfantin du 28 juin 1850. Voir la lettre en annexe p. 400.