1 Emsley C., « Évolution de la gendarmerie en milieu rural de l’Empire à nos jours », Cahiers de la Sécurité Intérieure, n° 11, nov. 1992-janv. 1993, p. 39.
2 Enjubault É., Considérations sur la situation morale de la France…, op. cit., p. 36.
3 Emsley C., Gendarmes and the State in the Nineteenth Century…, op. cit., p. 266.
4 Godey de Mondésert C.-A., Réflexions sur l’organisation de la gendarmerie…, op. cit., p. 20 ; Houte A.-D., « Refonder la gendarmerie : réflexions de crise d’un gendarme au milieu du xixe siècle », Milliot V. (dir.), Les Mémoires policiers…, art. cit., p. 291-292.
5 Weber E., La Fin des terroirs…, op. cit. ; Emsley C., « The Nation-State, the law and the peasant in nineneteenth-century Europe », Rousseaux X. et Lévy R. (dir.), Le Pénal dans tous ses États. Justice, États et sociétés en Europe, xiie-xxe siècles, Bruxelles, Facultés universitaires de Saint-Louis, 1997, p. 153.
6 Jouy É. et Jay A., Les Hermites en liberté, Paris, Dufey, 1825 [5e éd.], p. 182.
7 Castan N., Les Criminels de Languedoc. Les exigences d’ordre et les voies du ressentiment dans une société pré-révolutionnaire (1750-1790), Toulouse, Publications de l’université Toulouse-Le Mirail, 1980, p. 213 ; Cabantous A., Les Côtes barbares. Pilleurs d’épaves et sociétés littorales en France (1680-1830), Paris, Fayard, 1993, p. 227-229, 251-254.
8 Jourdan J.-P., Le Personnel de l’administration dans le sud-ouest aquitain…, op. cit. ; Le Bihan J. Fonctionnaires intermédiaires au xixe siècle. Étude de trois corps en Ille-et-Vilaine (« gradés » de préfecture, percepteurs, conducteurs des Ponts et chaussées), Histoire, dir. P. Harismendy, Rennes 2, 2005 ; Richez S., « Le facteur rural des postes en France avant 1914 : un nouveau médiateur au travail », Le Mouvement social, n° 218, janv.-mars 2007, p. 29-44.
9 Genreau J.-B.-S. (conseiller général à Chartes), Étude comparative de la moralité entre sept départements limitrophes, Chartres, Garnier, 1862, p. 87 ; Margairaz D., « L’invention du “service public” : entre “changement matériel” et “contrainte de nommer” », RHMC, 52-3, juil.-sept. 2005, p. 10-32.
10 « Quelques idées sur l’art de préparer les fumiers », Almanach du gendarme pour 1848, p. 157-159.
11 Journal de la gendarmerie, juillet 1845, p. 226-227.
12 Lors du débat houleux de 1821, le général Foy voit en elle un « reste de barbarie », Archives parlementaires…, op. cit., t. XXXII, p. 268.
13 Commission de l’Aveyron, décision royale du 28 décembre 1828, SHD-DAT, Xf 258.
14 Bourguinat N., Ordre naturel, ordre public…, op. cit., p. 465.
15 Le directeur adjoint de la société Lemaire & Cie au préfet de l’Ardèche, 25 septembre 1829, AD Ardèche, R 362.
16 Le ministre de la Guerre au préfet de l’Ardèche, 23 mars 1822, Ibidem.
17 Compagnie de l’Ardèche, résumé pour 1824, AN, F7 3923. Sur ces crimes et le port d’armes : Mémoire d’Ardèche. Temps présent, n° 46, mai 1995, Violences en Vivarais.
18 Contrôle des troupes, SHD-DAT, 42 Yc 1081 ; contrôle nominatif des sous-officiers et gendarmes, SHD-DGN, 2 Mu 839, 843, 894 et 911.
19 Ces difficultés d’installation sont récurrentes dans le cas des brigades pionnières, à l’exemple de celle d’Echourgnac, décimée par les fièvres : Marache C., Les Métamorphoses du rural…, op. cit., p. 392.
20 Le préfet de l’Ardèche au ministre de l’Intérieur, 1er juin 1828, AN, F7 9800.
21 Compte rendu des assises de l’Ardèche, 4e trimestre 1828, AN, BB20 39.
22 Commission de l’Ardèche. Exécution de la décision royale du 28 décembre 1828, SHD-DAT, Xf 258.
23 Claverie É. et Lamaison P., L’Impossible mariage…, op. cit., p. 301.
24 Molinier A., « En Vivrais au xviiie siècle : une croissance démographique sans révolution agricole », Annales du Midi, t. 92, 1980, p. 310-316.
25 De fait, dans le cas des crimes de sang pour lesquels le domicile de l’accusé est connu, les comptes rendus d’assises de 1838-1843 ne justifient guère la présence d’une brigade à Mézilhac : le canton fournit certes 5 accusés sur les 17 de l’arrondissement de Privas, mais ceux de Largentière et de Tournon en comptent 51.
26 Mémoire justificatif des changements à apporter dans la répartition des brigades de l’Ardèche, 24 juin 1843, SHD-DAT, Xf 262.
27 Mémoire des changements apportés dans la répartition des brigades de l’Ardèche, 11 avril 1847, AN, BB18 1448A1.
28 Reynier É., La Seconde République dans l’Ardèche (1848-1852), Privas, Maison de l’enfance FOL, [1948] 1998, p. 83 et 96.
29 Siegfried A., Géographie électorale de l’Ardèche sous la IIIe République, Paris, Armand Colin, 1949.
30 Compte rendu des assises de l’Ardèche, 4e semestre 1822, AN, BB20 9.
31 Balzac H. de, Le Curé de campagne, Bruxelles, Éd. Henriquez, 1961 [1839], III, p. 17-19. Il attribue la même mission à l’Église en ville : « Si elle envoie des missionnaires au milieu des nations sauvages ou barbares, avec quelle joie ne donnerait-elle pas à des ordres religieux la mission de recevoir les Sauvages de la civilisation », L’Envers de l’histoire contemporaine, Paris, Garnier, 1959 [1848], p. 117.
32 Constant Le Stum C. (éd.), Le Lot vers 1850…, op. cit., II, p. 422.
33 « Les Préfets sont les tuteurs/Du Pays qui s’cvilise/Eux, pour que l’peuple s’instruise,/Supprim’nt les instituteurs/L’gendarm’qui plus qu’ses auteurs/N’la comprend pas davantage/Vu la loi su’l’colportage/Veut empoigner les facteurs », Les Gentilless’s de la loi. Cours de politique facile à comprendre (1853), Brochon P. (éd.), La Chanson française. II : Le Pamphlet du pauvre (1834-1851), Paris, Éd. Sociales, 1957, p. 152.
34 Houte A.-D. et Lignereux A., « Pandore citadin ? Implantation et missions de la gendarmerie dans les villes du xixe siècle », Force Publique. Revue de la société nationale histoire et patrimoine de la gendarmerie, février 2008, n° 3, La Gendarmerie, force urbaine, du xviiie siècle à nos jours. Actes du colloque 2007, à paraître.
35 Bercé Y.-M., Croquants et nu-pieds, les soulèvements paysans en France du xvie au xixe siècle, Paris, Gallimard-Julliard, 1974, p. 188 et 231.
36 Plainte d’un habitant d’Annonay au ministre de la Police générale, 8 avril 1817, SHD-DAT, D3 37.
37 « A-t-on suffisamment analysé les craintes, voire les paniques, suscitées dans de petites villes par la colère paysanne de 1846 à 1859 et, d’une manière générale, la racine des tensions qui opposent les deux milieux [ ?] », Corbin A., Archaïsme et modernité en Limousin…, op. cit., p. 1000-1001.
38 Le lieutenant de gendarmerie à Saint-Gaudens au ministre de la Guerre, 4 mars 1848, SHD-DAT, F1 3.
39 En continuité avec les 60 % constatés pour l’Ancien Régime (Nicolas J., La Rébellion française…, op. cit., p. 35).
40 Claveau A., Mémoire pour les sous-officiers et soldats de l’ex-gendarmerie de Paris contre le colonel Foucauld et les membres compsant le Conseil d’administration du corps, Paris, 21 septembre 1830, p. 8.
41 Chauvaud F., Les Passions villageoises au xixe siècle…, op. cit., p. 120.
42 Saurel L., La Gendarmerie dans la société de la Seconde République et du Second Empire…, op. cit., p. 71 ; Strieter T. W., « The faceless Police of the Second Empire… », French History…, art. cit.
43 Jourdan J.-P., Le Personnel de l’administration dans le sud-ouest aquitain…, op. cit., p. 423.
44 À titre de comparaison, 20,7 % des hommes nés entre 1816-1820 résident, à 45 ans, hors du département où ils sont nés (Fine A. et Sangoï J.-C., La Population française au xixe siècle, Paris, PUF, 1996, p. 87).
45 Luc J.-N., « L’assassinat du gendarme Bidan à Clamecy », Sociétés & Représentations…, art. cit.
46 Cyril Cartayrade signale comme natifs du Puy-de-Dôme, 28,9 % des sous-officiers et 45,2 % des gendarmes de la compagnie (« La compagnie de gendarmerie départementale du Puy-de-Dôme (1816-1854) », Cahiers du CEHD, n° 19, 2002, p. 151).
47 Compagnie de l’Ardèche, AN, F7 3923-3925.
48 Bourdieu P., « Trois études d’ethnologie kabyle. Le sens de l’honneur », Esquisse d’une théorie de la pratique, Genève, Droz, 1972 [1965], p. 13-43.
49 Procès-verbal de la brigade de gendarmerie de Tarare, 23 juillet 1817, AD Rhône, 4 M 228.
50 Desfrane J., « Le recrutement, élément d’appréciation du patriotisme, de l’esprit militaire et de l’attachement aux divers régimes pendant la fin du Ier Empire et la Restauration », Recrutement, mentalités, sociétés. Colloque international d’histoire militaire de Montpellier, 18-22 septembre 1974, Montpellier, CHMDN, 1975, p. 225-233 ; Crépin A., La Conscription en débat…, op. cit.
51 Serre J.-P., « Les Cantaliens et la conscription : du refus militaire à l’insertion nationale (1789-1852) », Cahiers d’histoire…, op. cit. ; Vandeplas B., » Le problème de la conscription dans la première moitié du xixe siècle : un refus de l’identité nationale ? L’exemple cantalien », AHRF, n° 3, 2002, p. 17-40 ; Estève C., À l’ombre du pouvoir…, op. cit., p. 143-147.
52 Cholvy G., « Recrutement militaire et mentalités languedociennes au xixe siècle : essai d’interprétation », Ibidem, p. 305-313 ; Rousseau F., Service militaire au xixe siècle…,op.cit.
53 Hugo A., La France pittoresque, ou description pittoresque, topographique et statistique des départements et colonies de la France, Paris, Delloye, 1835, t. II, p. 146. Voir Crépin A., « La conscription, instrument de civisme, école de la civilisation », « Les projets des élites : civiliser les Français par la conscription », Défendre la France…, op. cit., p. 168-172 et 234-243.
54 Le ministre de la Guerre au commandant de la compagnie de la Meurthe, 6 novembre 1818, SHD-DAT, D3 57.
55 Le commandant de la compagnie de l’Isère au ministre de la Guerre, 22 novembre 1818, ibidem.
56 Le préfet de la Loire-Inférieure au ministre de la Guerre, 17 octobre 1818, SHD-DAT, D3 56.
57 Cité dans le bulletin de police du 16 mai 1820, AN, F7 3793.
58 À Milhas, la brigade d’Aspet se heurte le 31 mai 1823 à un rassemblement qui l’accable de menaces révélatrices du traumatisme napoléonien : « Brigands, vous ne mènerez point ces déserteurs à la boucherie d’Espagne » ; compagnie de la Haute-Garonne, AN, F7 4006.
59 Schnapper B., Le Remplacement militaire en France. Quelques aspects politiques, économiques et sociaux du recrutement, Paris, SEVPEN, 1968.
60 Ministère de la Guerre, Compte rendu au Roi sur l’exécution de la loi du 21 mars 1832, relative au recrutement de l’armée, Paris, Impr. royale, mars 1835, p. 84-86.
61 Compagnie de l’Yonne, mars 1825, AN, F7 421519.
62 Puymège G. de, Chauvin, le soldat-laboureur. Contribution à l’étude des nationalismes, Paris, Gallimard, 1993.
63 Hopkin D. M., Soldier and Peasant in French Popular Culture…, op. cit., p. 352.
64 Angeville A. d’, Essai sur la statistique de la population…, op. cit., 15e carte ; Aron J.-P., Dumont P., Le Roy Ladurie E., Anthropologie du conscrit français d’après les comptes numériques et sommaires du recrutement de l’armée (1819-1826), La Haye-Paris, Mouton-EPHE, 1972, p. 80 ; Demonet M., Dumont P., Le Roy Ladurie E., « Anthropologie de la jeunesse masculine en France au niveau d’une cartographie cantonale (1819-1830) », Annales ESC, op. cit., p.707 ; Crépin A., La Conscription en débat…, op. cit., annexes 2 à 4.
65 Compte rendu au Roi sur l’exécution de la loi du 21 mars 1832…, op. cit., mars 1835, p. 158-161.
66 Compagnie du Gers, janvier 1822, AN, F7 4009.
67 En novembre 1831, la compagnie de la Corrèze se plaint toujours que ses tournées soient annoncées par des cris répétés de rochers en rochers, AN, F7 3961.
68 Compagnie du Lot, mai 1833, AN, F7 4060.
69 Cité dans le bulletin de police du 7 juillet 1820, AN, F7 3793.
70 Compagnie du Gers, avril 1826, AN, F7 4009.
71 Le capitaine de la gendarmerie de la Loire au ministre de la Guerre, 9 juillet 1816, SHD-DAT, D3 27.
72 Le chef de la 3e légion au ministre de l’Intérieur, mars 1823, AN, F7 6777.
73 Compagnie de l’Orne, septembre 1830, AN, F7 4112.
74 Compagnie de la Nièvre, décembre 1823, AN, F7 4100.
75 Compte rendu au Roi sur l’exécution de la loi du 21 mars 1832…, op. cit., mars 1835.
76 Compagnie du Gers, juin 1828, AN, F7 4009.
77 Le chef de la 12e légion au ministre de l’Intérieur, 14 juin 1822, AN, F7 4059.
78 Lignereux A., « Être ou ne pas être gendarme… », Milliot V.(dir.), Être policier : les métiers de police (s) en Europe…, art. cit., à paraître aux PUR.
79 Bladé J.-F., « Les sept belles demoiselles », Contes populaires de la Gascogne, 1886, d’après une tradition orale du canton de Saint-Avit (Lectoure).
80 Les Adieux d’un conscrit à sa maîtresse, Paris, Daniel [c. 1830]. C’est la peur du gendarme qui pousse le conscrit à se rendre à l’armée, malgré les appels à la révolte de sa fiancée (« La gendarmerie ! Malgré sa furie, N’abandonnes pas ta chère amie »).
81 Compagnie de la Lozère, AN, F7 4065-4067.
82 Compagnie du Puy-de-Dôme, août 1825, AN, F7 4120 ; Gazette des tribunaux, 18novembre 1827 ; Agulhon M., « Le sang des bêtes », Histoire vagabonde…, art. cit., p. 243-282.
83 Les bulletins de police sont indulgents face à « ce genre d’amusements », « dans les habitudes du peuple du Midi ». N’entre-t-il pas « dans les éléments d’une bonne administration de laisser libre cours à la manifestation de gaieté nationale : par quoi remplacerait-on celle des habitants du Midi ? », 14 et 15 juillet 1819-1820, AN, F7 3791-3793.
84 Ibid. et compagnie de l’Hérault, juin 1823, AN, F7 4016.
85 Lignereux A., « Les Aquitains face à leurs gendarmes, 1800-1860 », Les Sociétés militaires en Aquitaine…, art. cit., p. 327-328.
86 Correspondance du procureur général d’Aix, juin-juillet 1858, AN, BB18 1581.
87 Tilly C., « Charivaris, repertoires and urban politics », Merriman J. M. (dir.), French Cities in the Nineteenth Century, London-Melbourne-Sidney, Hutchinson, 1982, p. 73-91.
88 Bonnain-Moerdyk R. et Moerdyk D., « À propos du charivari : discours bourgeois et coutumes populaires », Annales ESC, mars-avril1977, 32e année, p.381-398 ; Le Goff J.et Schmitt J.-C. (dir.), Le Charivari, Paris-La Haye, Éd. de l’EHESS, 1981.
89 Les formules consacrées (Bercé Y.-M., Fête et révolte…, op. cit., 90), à l’encontre d’un « usage barbare, invétéré dans quelques contrées », d’une « coutume sauvage, déplorable »,sont reproduites par les officiers dans la presse professionnelle (Journal de la gendarmerie, novembre 1844, p. 355) ou dans leurs rapports (le commandant de la compagnie des Landes au ministre de la Guerre, 24 juillet 1850, SHD-DAT, F1 36).
90 Correspondance du ministre de la Guerre, 14-25 mars 1857, SHD-DAT, G8 39.
91 Le ministre de l’Intérieur à son collègue de la Guerre, 20 septembre 1862, AN, FIC III Loire 9.
92 Desplat C., Charivaris en Gascogne. La « morale des peuples » du xvie au xxe siècle, Paris, Berger-Levrault, 1982, p. 154.
93 Compagnies de Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l’Ariège, AN, F7 4007, 4129 et 3930.
94 Ministère de la Guerre, Instruction sur les principaux devoirs des sous-officiers et gendarmes, Strasbourg, Vve Levrault, 1843, p. 14.
95 Nicolas J., La Rébellion française…, op. cit., p. 458 ; Brunet M., Le Roussillon. Une société contre l’État…, op. cit., p. 56-59.
96 Thoral M.-C., « Les relations entre les gendarmes, auxiliaires de justice en milieu rural, et les citoyens en Isère, de 1800 à la fin des années 1830 », Dolan C.(dir.), Entre justice et justiciables. Les auxiliaires de la justice du Moyen Âge au xxe siècle, Laval, Presses de l’Université de Laval, 2005, p. 203.
97 Le ministre de la Guerre à celui de la Justice, 8 août 1820, AN, BB18 1065.
98 Saint-Julien-Chapteuil, 30 août 1818 ; Saint-Hostien, 12 septembre 1819 ; Chapelle-d’Aurec, 15 août 1820 ; Berbezit, 9septembre 1821 ;Tiranges, 14septembre 1823 ; Saint-Hostien, 29août 1824 ; Saint Just-près-Chomelix, 4 septembre 1825 ; Lantriac, 23juillet1826, climat auquel concourent les émeutes lors de foires à Tence, 24 avril 1820, Saint-Bonnet-le-Froid, 5 mai 1823, ou Arlempdes, 4 octobre 1824.
99 Le procureur général de Riom au ministre de la Justice, 11 novembre 1824, AN, BB18 1114.
100 Ibidem, 13 septembre 1825, AN, BB18 1130.
101 Le préfet du Tarn-et-Garonne au ministre de la Justice, 30 mai 1826, AN, BB18 1285.
102 Temps fort corroboré par le cas du Lot : Ploux F., Guerres paysannes…, op. cit., p. 138.
103 Bouët A., Breiz-Izel ou vie des Bretons de l’Armorique, Paris, B. Dusillion, 1844 [1834-1838], t. II, p. 21.