Le mineur ottoman du siège de 1522, inventeur de l’archéologie urbaine ?
p. 287-295
Texte intégral
1Cette interrogation, sous forme de boutade, voudrait explorer la connaissance empirique du terrain acquise par les Turcs lors du siège infructueux de 1480. Ainsi, leur expérience du substrat va leur permettre de triompher en 1522, en utilisant systématiquement les égouts de la ville antique pour progresser ; bien localisés, ceux-ci leur offraient en effet une progression à couvert jusqu’au fossé de la cité des chevaliers, qu’ils n’avaient plus alors qu’à traverser pour placer une charge explosive dans le mur d’escarpe. Un demi-siècle plus tard, cette observation attentive du territoire du siège et de son sous-sol anthropisé va également être appliquée au siège de Nicosie (1570). L’apport turc à la genèse de la mine explosive serait donc essentiel dans l’histoire de la poliorcétique moderne.
2L’emploi dans le siège de la mine boisée est théorisé à la période hellénistique ; il consiste à creuser, depuis les abords de la place assiégée, une galerie étayée et plafonnée de bois, tant pour aboutir à l’intérieur de la ville que pour faire crouler le mur d’enceinte. Dans ce dernier cas, il fallait en étayer la fondation, puis y incendier des fagots grâce à l’appel d’air d’une cheminée d’aération, dont le percement à la surface annonçait au défenseur l’effondrement imminent de la muraille.
3Seule la configuration du terrain commande la possibilité de faire des mines : un fossé en eau, un terrain marécageux, un substrat rocheux se révèlent en effet des handicaps quasi insurmontables à la progression souterraine. Très tôt, sur les fronts exposés, l’assiégé pratique des galeries de contre-mine destinées à rencontrer la mine adverse avant qu’elle n’arrive au contact du fossé, ce qui impose des dispositifs d’écoute, par des puits, des tonneaux d’eau ou des peaux de tambour, qui localisent la direction du creusement ennemi avant même que le tympan humain ne l’enregistre.
4Dès le milieu du siècle, comme l’a démontré John Bury1, pour la phase finale d’ouverture de la brèche, se développe l’emploi de la mine explosive, qui constitue une réponse aux tirs d’artillerie rasants de la défense, lesquels interdisaient toute progression à découvert sur les glacis extérieurs. Sa théorisation dans le milieu des ingénieurs siennois (Taccola, Francesco di Giorgio Martini) est désormais bien cernée (fig. 1). De même, les traités d’artificiers allemands contemporains proposent toute une gamme de bombes asphyxiantes pour gazer les mineurs adverses. On considère traditionnellement que la première application tangible de ces principes se fait à l’initiative de l’ingénieur Pedro Navarro contre les Florentins au siège de Sarzanello en 1487, puis contre les Turcs à celui de Céphalonie en 1500, enfin contre les Français à celui du château de l’Œuf à Naples en 1503. Comme l’atteste Machiavel en 1521, la technique du combat souterrain est désormais codifiée, et ce jusqu’à la Première Guerre mondiale.
5Les sources du siège de 14802, aimablement mises à disposition par Laurent Vissière, montrent tous les essais infructueux de prise par la mine souterraine. À la date du 13 juin 1480, un témoin occidental3 raconte comment, pour empêcher l’infiltration intra-muros de l’assaillant grâce à ses mines, le Grand Maître fit creuser et garder un fossé derrière la muraille dans le secteur de la Juiverie (Judecque) et placer des hommes en écoute dans les puits pour localiser la direction des creusements. Onze jours plus tard, un transfuge témoigne des difficultés turques à conduire la mine :
« Luy fut demandé se ilz faisoient point de myne soubz terre. Respondit qu’il [z] se y estoient fort essayez, mais ne leur estoit possible à cause de la roche qui y estoit si dure et pour l’eaue qui y estoit si prés. »
6Nonobstant, il affirme :
« Ne croyés point de cestuy car vous serés tous hebaïz ung jour que serés assailliz par devant et prins par derriere par leurs mynes. »
7Début juillet, un Turc capturé avoue l’échec antérieur d’une autre mine conduite dans une terre trop sableuse devant la porte Saint-Athanase, dont l’effondrement a tué « le maistre qui le devisoit…, et aussi tous les autres qui labouroient alors ».
8De toute évidence, ces mentions prouvent la connaissance ottomane acquise par l’échec, selon le vieil adage que « le militaire prépare toujours la guerre qu’il a perdue » ! Mais on sait aussi que le vainqueur hospitalier profita lui-même du répit pour rhabiller intégralement sa cuirasse.
9Les péripéties du siège de 15234 sont aujourd’hui suffisamment connues5 pour dispenser d’en refaire l’histoire. La chronologie peut s’en établir comme suit :
- 16 juin 1522 : signature du traité entre Soliman et François Ier, à la suite de celui précédemment signé avec les Vénitiens, s’assurant de leur neutralité.
- 24 juin : la flotte turque, partie de Gallipoli, composée d’environs 300 bateaux de guerre et 400 chalands, débarque 110000 hommes et 1000 canons à boulets de pierre et de cuivre au nord-ouest du port de Rhodes ; construction des camps et blocus de la ville, défendue par 6000 hommes, dont 300 chevaliers de l’Ordre.
- 28 juillet : arrivée de Soliman ; début du siège, sur tous les fronts terrestres à la fois ; l’ingénieur vénitien Gabriele Tadini da Martinengo, évadé de Candie, fait construire un mur à l’intérieur des remparts, et des galeries souterraines pour enregistrer les vibrations des grains de sable sur la peau de tambours posés au sol.
- 24 août : débarquement de renforts ottomans depuis 24 navires de guerre envoyés par le gouverneur d’Égypte.
- 24 septembre : offensive générale après la brèche à la mine des boulevards d’Auvergne, d’Angleterre et d’Espagne.
- 30 septembre : la trahison du chancelier d’Amaral, exécuté le 8 novembre, empêche Soliman découragé de lever le siège.
- 10 décembre : effondrement à la mine et prise du boulevard d’Espagne, prélude à la capitulation le 22.
- 1er janvier 1523 : Villiers de L’Isle-Adam prend congé du sultan et se retire avec les survivants, emportant avec lui 4 000 habitants grecs qui vont se fixer à Malte.
10Trois types de sources – textuelles occidentales, iconographiques turques et archéologiques – attestent de l’emploi systématique de la mine explosive dans le siège de 1523.
11Le premier témoignage écrit, essentiel, est une lettre du grand-maître Villiers de L’Isle-Adam6 à son neveu La Rochepot-Montmorency, écrite de Rhodes, le 13 novembre 1522 :
« Depuys fins à présent, avons soubstenu neuf assaultz et tousjours avec l’ayde Nostre Seigneur repoulsé nos ennemyz avec grosse perte de leurs gens. Les plus gros efforts qu’ilz aient faict contre nous, oultre les grosses batteries d’artilherie et mortiers, ont esté mynes ; en façon que fins à présent en ont faict jusques au pied de noz murailhes plus de cinquante, desquelles y a eu dix à qui ilz ont donné feu, nont obstant nos contemynes qui, grâce à Dieu, n’ont pas faict grand ruyne de nos murailhes. Les autres ont esté descouvertes, rompues, et bruslées avec beaucoup de leurs gens, desquels la fleur est icy demeurée tant aux assaultz que tuez de nostre artilherie, et mortz de maladies qui ont fort régné en leur camp, et sommes advertiz par gens (en) fouiz de l’armée qu’ilz ont perdu icy plus de cinquante mille hommes des meilleurs qu’ils eussent. »
12Un autre témoignage est donné par le frère Jacques de Bourbon7, qui raconte comment les Turcs poussaient la tranchée pour s’approcher des remparts et y pratiquer des mines, et cela de jour comme de nuit sans aucun repos,
« car il y avoient qui ne bougeoient d’aupres de ceux qui besognoient continuellement et aux grand coups d’espée les faisoient travailler jusques a crever ; et alors que l’artillerie leur faisoit plus grand meurtre de gens à cette heure là ils jetoient grands cris de joye. Et en un moment les gens estoient changés sans qu’on peust apercevoir qu’ils reposassent ou cessassent de l’œuvre ».
13Une miniature ottomane du siège de Rhodes conservée à l’atelier du Sérail de Topkapi à Istanbul8 montre six mineurs en train de creuser des galeries au pic sous l’œil de Soliman à cheval, tandis que les Janissaires mènent l’assaut (fig. 2). L’importance des travaux souterrains au cours du siège est confirmée par une autre miniature qui montre trois sapeurs en train d’ouvrir une galerie avec des pelles triangulaires (voir fig. 7, p. 216). On sait par ailleurs l’importance inédite du nombre des sapeurs et mineurs recrutés pour le siège, originaires de Valachie et du Khorasan – entre 9 000 et 60 000 selon les sources ottomanes –, avec leurs pelles, pics et barres à mines détaillés dans les inventaires.
14L’analyse archéologique des traces du siège alors visibles dans les murailles des fronts est et sud, aujourd’hui édulcorées par l’importance des restaurations, a été conduite au début des années 1990 par Quentin Hugues et Athanassios Migos9. Avant que des restaurations restitutives ne les masquent un peu partout, il était encore possible il y a vingt ans de déceler la marque des brèches à la mine explosive dans les murs, caractérisée par des ruptures d’assises liées à des affaissements du sol (fig. 3) et par des reprises de brèches plus larges à la base du mur qu’à son sommet, contrairement aux brèches à l’artillerie. Ces brèches étaient implantées avec une extraordinaire régularité d’intervalle, tant sur les tenailles détachées, les fausses-braies ou les courtines. Cette régularité correspond précisément à la trame orthogonale de la ville antique hippodamienne, dont la surface équivalait à au moins cinq fois celle de la cité des chevaliers et dont les îlots étaient réglés à 50 m de largeur sur l’axe nord/sud (fig. 4).
15En vis-à-vis des brèches, dans la contrescarpe du fossé, apparaît en plusieurs endroits le débouché d’une canalisation de la hauteur d’un homme, taillé dans le roc ou maçonné ; il s’agit de toute évidence du système d’adduction ou d’évacuation d’eau qui était placé sous le milieu des rues de la cité antique (fig. 5).
16La conclusion est incontestable : en excavant extra-muros à l’abri des vues des défenseurs, sur les decumani sur le front oriental, sur les cardo sur le front méridional, les mineurs turcs se sont servi systématiquement des égouts voûtés existant sous les chaussées de la trame urbaine antique pour cheminer à couvert jusqu’à la contrescarpe. Arrivés là, ils n’ont eu qu’à la crever si elle était maçonnée pour investir le fossé et placer une charge explosive dans l’escarpe en vis-à-vis. Le nombre de brèches visibles sur le front sud correspond précisément aux dix charges ayant joué que signale le Grand Maître dans sa lettre précitée du 13 novembre.
17Ainsi, quarante-trois ans après leur échec, les Ottomans ont planifié une attaque préparée avec méthode, minimisant les assauts sur les fronts humides et sablonneux qui leur avaient joué des tours en 1480 (front d’Italie couvrant le ghetto) pour concentrer toutes leurs forces sur les fronts rocheux antérieurement traversés par des canalisations : fronts d’Auvergne, d’Espagne, d’Angleterre et de Provence, où sont encore visibles des brèches. La rigueur d’implantation des brèches montre une planification à grande échelle de la guerre de mine, largement anticipée avant le siège et associée à un bombardement massif d’artillerie en couverture, qui marque une première gestion coordonnée de la pratique militaire dont les conséquences vont être durables dans la structuration de l’armée ottomane ultérieure10.
18Cette réussite de la mine à partir d’un creusement anthropique antérieur eut une nouvelle application quarante-sept ans plus tard au siège de Nicosie, capitale de l’île de Chypre, alors vénitienne. Le siège turc va durer du 25 juillet au 9 septembre 1570, et se solder par le massacre général des 20 000 habitants. La grande enceinte urbaine, qui datait des Lusignan, venait d’être rasée en prévision du siège ottoman, annoncé dès la prise de pouvoir par le sultan Selim à la mort de Soliman en 1566. Aussitôt, Venise dépêche sur place l’architecte Gulio Savorgnano, qui trace une enceinte régulière à onze bastions, image de la cité idéale, mais implantée au sud et à l’ouest à 300 m en retrait de l’enceinte médiévale (fig. 6), au grand dam des Nicosiates expropriés manu militari ! Plusieurs témoignages11 attestent que le fossé de l’enceinte médiévale n’avait pas été fini de combler en avant de la nouvelle enceinte, dont les parapets n’étaient pas faits lors de l’attaque. Les images du siège montrent que les Turcs avaient largement recreusé le fossé médiéval parallèle au front d’attaque, pour y stocker troupes et matériel à couvert et lancer à partir de là des rameaux de mine, qui finirent par entraîner la chute du bastion Podocatoro (11 du plan), dont le processus de la prise a pu être interprété par une fouille archéologique exhaustive.
19Au-delà de la pratique poliorcétique, cette récupération scrupuleuse de l’Antiquité gréco-romaine et byzantine par le monde ottoman s’inscrit dans une continuité de pratique depuis le XIIIe siècle turc seljukide, qui consiste à asseoir la visibilité de leurs constructions par le remploi de sculptures antiques habilement mises en valeur. Comme le montre Thomas Lorain, à Alanya, à Antalya, à Sinope, à Diyarbakır, et surtout aux portes disparues de Konya, le pouvoir turc mettait en scène les merveilles de l’Antiquité pour mieux s’inscrire dans leur filiation. Une autre manière de raconter l’Europe !

1. Effet de la mine explosive. Mariano Daniello di Jacopo, dit Taccola, De rebus militaribus, 1449 (mis en forme par Paolo Santini en 1475), BNF, ms. lat. 7239, f° 52v°, édité par Eberhard Knobloch, L’art de la guerre. Machines et stratagèmes de Taccola, ingénieur de la Renaissance, Paris, Gallimard, 1992, p. 28.


2. Ci-contre : Soliman inspecte les mineurs au siège de Rhodes (miniature). Ci-dessous : détail de six mineurs valaques, reconnaissables à leur calot sur crâne rasé et à leur grosse moustache, en train d’ouvrir les mines au pic.

3. Désordre suite à une mine dans la tenaille du front d’Angleterre.

4. Plan de la partie méridionale de la cité de Rhodes, montrant la concordance du tracé des rues antiques avec les brèches à la mine visibles dans les murailles matérialisées par des étoiles, Q. Hugues et A. Migos, « Rhodes : the Turkish sieges », Fort, 21, 1993, p. 9.

5. Vue de la contrescarpe du front d’Angleterre depuis l’intérieur d’une canalisation antique recoupée par le fossé médiéval.

6. Plan de la ville neuve à 11 bastions de Nicosie (Chypre) lors du siège turc de 1570 ; en hachure, la ville médiévale abandonnée en 1567, G. Perbellini, « The Venitian defenses of Cyprus », Fort, 16, 1980, p. 32.
Notes de bas de page
1 J. B. Bury, « The early history of the explosive mine », S. Pepper, « The underground siege », in Fort, n° 10, 1980, p. 23-38, repris par N. Faucherre, « La mine explosive : la renaissance de l’art du siège », in Musée des arts et métiers - La Revue, n° 4, septembre 1993, p. 34-41.
2 Cf. plan du siège à la figure F de l’introduction.
3 Histoire journalière du siège de Rhodes, manuscrit anonyme et sans titre, daté du 13 septembre 1495 (BnF, Dupuy 255), mardi 13 juin (f° 41v°), samedi 23 juin (f° 58r°), jeudi 6 juillet (f° 69r°), transcription L. Vissière, que je remercie de son obligeance à m’avoir transmis ces références inédites.
4 Cf. plan du siège à la figure G de l’introduction.
5 E. Brockman, The Two Sieges of Rhodes. The Knights of St. John at War 1480-1522, London, John Murray, 1969, puis New York, Barnes & Noble, 1995 et N. VATIN, L’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem, l’Empire ottoman et la Méditerranée orientale entre les deux sièges de Rhodes (1480-1522), coll. Turcica. 7, Paris, 1994. L’artillerie des Hospitaliers à Rhodes a été étudiée récemment par Michel Decker, « Les chevaliers de Saint-Jean au musée de l’Armée », Société de l’histoire et du patrimoine de l’ordre de Malte, n° 6, 1998, p. 10-16, et par Sylvie Leluc, « L’artillerie des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem à Rhodes », d’une part dans le catalogue De Rhodes à Malte. Le grand-maître Philippe de Villiers de L’Isle-Adam (1460-1534) et l’ordre de Malte, Paris, Somogy, 2004, p. 62-69, puis dans le catalogue Entre le glaive et la croix. Chef-d’œuvre de l’armurerie de Malte, Paris, musée de l’Armée, 2008.
6 Publiée par E. Charrière, Événements du siège de Rhodes (1521-1524), coll. des Documents inédits, Additions, p. CXXXI-CXXXIII.
7 Jacques, bâtard de Bourbon, « La grande et merveilleuse & très cruelle oppugnation de la noble cité de Rhodes, prinse nagueres par Sultan Solyman, a present grand Turcq, ennemy de la tressaincte foy catholique », 1527, BnF, ms. fr. 5647, publié par Vertot (abbé de), Histoire des Chevaliers Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, t. II, p. 622-688.
8 İsmail Hakkı Danişment, İzahlı Osmanlı Kronolojisi, Rodos seferi 1522 :928 s. 75-93 Türkiye yayınevi, 1947, Istanbul-4, Cild, f° 149a. Je remercie mon collègue Işık Aydemir, professeur d’architecture à Istanbul et membre du Conseil scientifique d’Europa Nostra, de m’avoir transmis ces documents.
9 A. Migos, « Rhodes : the Knights’battleground », Fort, 18, 1990, p. 5-28 ; Q. HUGUES et A. MIGOS, « Rhodes : the Turkish sieges », Fort, 21, 1993, p. 2-17 ; Q. Hugues, « Errors of Judgement : the Sieges of Rhodes and Malta », Fort, 31, 2003, p. 70-76. Les restaurations conduites par l’architecte Katerina Manoussou-Della, de l’Éphorie des Antiquités de Rhodes, ont fait l’objet de plusieurs publications qui renseignent les états antérieurs : avec A.-M. Kasdagli, « The defences of Rhodes and the Tower of St. John », Fort, 24, 1996, p. 15-35 ; Medieval town of Rhodes : restauration works (1985-2000), Rhodes, 2001 ; Sxedio Prostasias. Diamophrosis. Anadeixis tou Mnemeiakou Synolou, Rhodes, 2008, 268 p.
10 Rhoads Murphey, Ottoman Warfare, 1500-1700, UCL Press, Routhledge, 2001.
11 Pietro Valderio, La guerra di Cipro, G. Grivaud et Nasa Patapiou (éd.), Nicosie, 1996, p. 20.
Auteur
-
Nicolas Faucherre
Université de Nantes
Le texte seul est utilisable sous licence Licence OpenEdition Books. Les autres éléments (illustrations, fichiers annexes importés) sont « Tous droits réservés », sauf mention contraire.
S’adapter à la mer
L’homme, la mer et le littoral du Moyen Âge à nos jours
Frédérique Laget et Alexis Vrignon (dir.)
2014
Figures et expressions du pouvoir dans l'Antiquité
Hommage à Jean-René Jannot
Thierry Piel (dir.)
2009
Relations internationales et stratégie
De la guerre froide à la guerre contre le terrorisme
Frédéric Bozo (dir.)
2005
La France face aux crises et aux conflits des périphéries européennes et atlantiques du xviie au xxe siècle
Éric Schnakenbourg et Frédéric Dessberg (dir.)
2010
La migration européenne aux Amériques
Pour un dialogue entre histoire et littérature
Didier Poton, Micéala Symington et Laurent Vidal (dir.)
2012
Mouvements paysans face à la politique agricole commune et à la mondialisation (1957-2011)
Laurent Jalabert et Christophe Patillon (dir.)
2013
Sécurité européenne : frontières, glacis et zones d'influence
De l'Europe des alliances à l'Europe des blocs (fin xixe siècle-milieu xxe siècle)
Frédéric Dessberg et Frédéric Thébault (dir.)
2007
Du Brésil à l'Atlantique
Essais pour une histoire des échanges culturels internationaux. Mélanges offerts à Guy Martinière
Laurent Vidal et Didier Poton (dir.)
2014
Économie et société dans la France de l'Ouest Atlantique
Du Moyen Âge aux Temps modernes
Guy Saupin et Jean-Luc Sarrazin (dir.)
2004
