La violence politique et son deuil

Isabelle Sommier

doi:10.4000/books.pur.24627

Informations sur la couverture

Liens vers le livre

Informations sur la couverture

Formats de lecture

La violence politique et son deuil

L'après 68 en France et en Italie

Isabelle Sommier

En France et en Italie, la violence exercée au nom de la classe ouvrière était fortement exaltée au sortir de 68. Pourtant, cette violence est très vite abandonnée, parfois même abjurée, par la majorité de ceux qui la préconisaient. Seule l'Italie connaîtra le « passage à l'acte », qui restera cependant résiduel par rapport au nombre initial de candidats-soldats à la révolution. Pour cette analyse, Isabelle Sommier a mené une cinquantaine d'entretiens avec ces militants français et italiens de...

Lire plus

Note de l’éditeur

Ouvrage numérisé avec le soutien du Centre national du livre et de la région Bretagne.

Éditeur : Presses universitaires de Rennes

Lieu d’édition : Rennes

Publication sur OpenEdition Books : 17 juillet 2015

ISBN numérique : 978-2-7535-3952-5

DOI : 10.4000/books.pur.24627

Collection : Res publica

Année d’édition : 1998

ISBN (Édition imprimée) : 978-2-86847-292-2

Nombre de pages : 256

Soutiens à la numérisation

Liste des graphiques et tableaux

Sigles

Introduction

Questions de méthode

Première partie. Un utopisme violent

Introduction de la première partie

1. La résurgence du mythe révolutionnaire

2. Dire la violence

3. Exercer la violence

Deuxième partie. Escalades et inhibitions

Introduction de la deuxième partie

4. La difficile recherche du sujet révolutionnaire

5. L’identification de l’ennemi et l’horizon politique

Troisième partie. Étapes du désengagement

Introduction de la troisième partie

6. La critique des armes

7. Destins du radicalisme politique

Conclusion

Informations récapitulatives sur les organisations

Chronologie

Bibliographie sélective

En France et en Italie, la violence exercée au nom de la classe ouvrière était fortement exaltée au sortir de 68. Pourtant, cette violence est très vite abandonnée, parfois même abjurée, par la majorité de ceux qui la préconisaient. Seule l'Italie connaîtra le « passage à l'acte », qui restera cependant résiduel par rapport au nombre initial de candidats-soldats à la révolution. Pour cette analyse, Isabelle Sommier a mené une cinquantaine d'entretiens avec ces militants français et italiens de l'extrême-gauche d'alors.

Isabelle Sommier

Voir plus de livres

La proximité en politique

Usages, rhétoriques, pratiques

Christian Le Bart et Rémi Lefebvre (dir.)

2005

Aux frontières de l'expertise

Dialogues entre savoirs et pouvoirs

Yann Bérard et Renaud Crespin (dir.)

2010

De l'état social à l'état des droits de l'homme ?

Colette Bec

2011

Réinventer la ville

Artistes, minorités ethniques et militants au service des politiques de développement urbain. Une comparaison franco-britannique

Lionel Arnaud

2012

Militer pour la planète

Sociologie des écologistes

Sylvie Ollitrault

2008

La figure de «l'habitant»

Sociologie politique de la «demande sociale»

Virginie Anquetin et Audrey Freyermuth (dir.)

2009

Politiques de jeunesse

Les défis majeurs de l'intégration

Patricia Loncle

2010

Journalistes engagés

Sandrine Lévêque et Denis Ruellan (dir.)

2010

La fabrique interdisciplinaire

Histoire et science politique

Michel Offerlé et Henry Rousso (dir.)

2008

Mobilisations de victimes

Sandrine Lefranc et Lilian Mathieu (dir.)

2009

Les libertariens aux États-Unis

Sociologie d'un mouvement asocial

Sébastien Caré

2010