Les auteurs
p. 379-384
Texte intégral
1Alessandro Arcangeli enseigne l’histoire de la Renaissance et de l’âge moderne à l’université de Vérone. Historien culturel, il s’intéresse à la danse (Davide o Salomè?, 2000 ; L’altro che danza, 2018), aux loisirs (Recreation in the Renaissance, 2003), aux gestes et aux rêves (Renaissance Dream Cultures, 2024), ainsi qu’à la méthodologie et à l’historiographie (Cultural History: A Concise Introduction, 2012). Il a présidé l’International Society for Cultural History (2013-2017).
2Thierry Arnal, maître de conférences à l’université polytechnique Hauts-de-France et membre du laboratoire de recherche Sociétés & Humanités, enseigne l’histoire du sport et de l’éducation physique. Auteur de La révolution des mouvements. Gymnastique morale et démocratie au temps d’Amoros (1838-1848), paru chez L’Harmattan en 2009, il a codirigé, avec Thierry Terret, l’ouvrage collectif Aux origines de la gymnastique moderne (Presses universitaires de Valenciennes, 2011). En 2018, avec Odile Roynette et Georges Vigarello, il a édité et commenté, chez le même éditeur, les Notes sur la gymnastique du sergent Barbier (1843). Il est également codirecteur, avec Corine Maitte, Thierry Pillon et Didier Terrier, de l’ouvrage Le corps au travail. Performance, discipline, fatigue, paru en 2021 chez New Digital Frontiers.
3Pierre-Yves Beaurepaire est professeur d’histoire moderne à l’université Côte d’Azur et membre de l’Institut universitaire de France. Ses recherches portent notamment sur la sociabilité, les réseaux de correspondance et les circulations dans l’Europe et le monde des Lumières. Co-fondateur du groupe Res-Hist (Réseaux & Histoire), il est membre du bureau du GDR CNRS Analyse de réseaux en sciences humaines et sociales. Auteur d’une vingtaine d’ouvrages personnels, il a dirigé La communication en Europe de l’âge classique aux Lumières (Belin, 2014), et récemment édité, avec Katsumi Fukasawa et Benjamin Kaplan, Coexistence and Dialogue: Religious Interactions in Europe and the Mediterranean World. 12th-20th Century (Routledge, 2017) ainsi que Moving Scenes: the Circulation of Music and Theatre in Europe, 1700-1815 (Oxford University studies on Enlightenment, 2018) avec Philippe Bourdin et Charlotta Wolff.
4Élisabeth Belmas est professeur émérite d’histoire moderne à l’université Sorbonne Paris-Nord, membre du laboratoire IRIS (UMR 8156-U997), et membre de l’axe 2 « Santé, Société » de la Maison des Sciences de l’Homme Paris-Nord. Elle est aussi secrétaire générale du GIS « Jeu et Sociétés ». Ses recherches portent sur l’histoire du jeu dans la société française moderne (E. Belmas et J. Vion-Dury [dir.], Le jeu dans tous ses états. Approches pluridisciplinaires du phénomène ludique, Paris/Turin, L’Harmattan, 2020) et sur l’histoire de la santé et des maladies (E. Belmas et J. Coste, Les soldats du Roi. Étude d’épidémiologie historique 1670-1791, Paris CNRS Éditions, 2018).
5Martine Boiteux est ancien membre de l’École française de Rome et professeur à l’EHESS. Elle mène des études en histoire de l’art et anthropologie sur la Rome pontificale (xve-xixe siècle), spécialement sur les cérémonies et rituels sociaux, politiques et religieux, et leur déroulement dans l’espace urbain, les fêtes populaires et aristocratiques. Un autre de ses champs d’étude est l’histoire de la communauté juive de Rome. Environ 150 articles, 4 livres (rédaction et co-rédaction), création et direction de deux revues de recherche Temps Libre (1981-1986) et Epure (1983-1998).
6Xenia Borderioux est docteur ès lettres de l’université Sorbonne Nouvelle Paris 3 et diplômée en histoire de l’université d’État en sciences humaines de Russie. Elle est l’auteur de La mode européenne en Russie à l’époque de Catherine II (NLO, 2013, en russe) et d’une vingtaine d’articles. Elle est actuellement en poste d’ATER à l’UFR d’études slaves de la Sorbonne Université, membre de l’équipe de recherche Eur’ORBEM
7Kevin Bourniche est diplômé d’un doctorat en histoire de l’art en 2018 avec une thèse intitulée Les d’Espinose aux jardins : attentes, intégration et occupation d’un espace par les noblesses de province au Grand Siècle. Il est l’auteur de l’article « Aux limites du jardin : systèmes de clôture de jardin au xvie siècle en Bretagne », paru dans l’édition 2023 du Bulletin de la société d’Histoire et d’Archéologie d’Ille-et-Vilaine, t. CXXVII.
8Antonio Cappuccio, professeur en histoire du droit à l’université de Messina, étudie les aspects historiques et juridiques des jeux depuis plus de dix ans. Il a publié une étude monographique sur le sujet, « Rien de mauvais » (Giappichelli 2011), ainsi que des essais dans des collections et des revues nationales et internationales. Ses recherches actuelles portent sur les opérations spéculatives en Bourse.
9Olivier Chovaux est professeur des universités en histoire contemporaine à l’université d’Artois. Membre du CREHS (Centre de recherche et d’études – Histoire et Sociétés – URL 4027). Vice-président de la Société française d’histoire du sport (SFHS), ses travaux portent plus particulièrement sur l’histoire du football et des patrimoines sportifs. Il a récemment publié « Siffler n’est pas jouer ? » Une histoire des arbitres de football (Éditions Atlande, 2021), et codirigé : Vingt ans après… Écrire l’histoire du sport (Presses universitaires de Limoges, 2023).
10Patrick Clastres est agrégé d’histoire, docteur en histoire contemporaine, il est professeur d’histoire du sport à la Faculté des sciences sociales et politiques de l’université de Lausanne (ISSUL) depuis 2015. Ses travaux portent sur l’histoire sociale et politique des cultures sportives, des organisations sportives nationales et internationales et de leurs dirigeants, des diplomaties et du sport.
11Peggy Davis est professeure d’histoire de l’art à l’université du Québec à Montréal. Spécialiste de la culture visuelle imprimée des xviiie et xixe siècles, ses recherches portent sur l’estampe, le livre à gravures et la caricature. Elle est membre du Groupe de recherche en histoire des sociabilités (GRHS), du Centre interuniversitaire de recherche sur la Première Modernité (CIREM 16-18) et membre fondatrice du Réseau Art et architecture du xixe siècle (RAA19). Elle codirige le projet de recherche Récits de l’ailleurs : réception et lecture des ouvrages viatiques illustrés des xviie-xviiie siècles. Elle a publié plusieurs articles, entre autres dans Revue d’Histoire de l’Amérique française, Historical Reflections, RACAR, Eighteenth-Century Fiction, Lumen et Études françaises.
12Rosa De Marco est docteur en histoire de l’art moderne. Parmi ses articles sur la culture festive à l’époque moderne et sur l’emblématique dans ses différents aspects, elle a récemment coédité Eliciting Wonder: The Emblem on the Stage (GES-Droz, 2021) et Books and Prints at the Heart of the Catholic Reformation in the Low Countries (16th-17th centuries) [Brill, décembre 2022].
13Thierry Depaulis, historien de formation, est président de la société Le Vieux Papier et un des responsables de l’International Playing-Card Society, membre du conseil d’administration de la Fondation du Musée Suisse du Jeu, et auteur de nombreuses contributions sur l’histoire des jeux de table (cartes, tarot, dames). Il a récemment dirigé l’exposition (et le catalogue) « Tarots enluminés, chefs-d’œuvre de le la Renaissance italienne » au Musée français de la carte à jouer à Issy-les-Moulineaux (Paris, Liénard, 2021).
14Paul Dietschy, ancien élève de l’École normale supérieure de Fontenay-Saint-Cloud et agrégé d’histoire, est professeur d’histoire contemporaine à l’université de Franche-Comté et directeur du Centre Lucien Febvre (EA 2273). Il est spécialiste de l’histoire du sport et du football. Parmi ses dernières publications : Histoire du football (Paris, Tempus, 2014) et Le sport et la Grande Guerre (Paris, Chistera, 2018).
15Nelly Faure est docteure en histoire de l’art de l’université Blaise-Pascal de Clermont-Ferrand, spécialiste des châteaux construits, remaniés ou « restaurés » au xixe siècle jusqu’à la veille de la Première Guerre mondiale. Ses travaux portent sur l’architecture, les décors, l’introduction du confort ainsi que sur l’utilisation des références historiques dans le château qui, malgré son apparent anachronisme, est un symbole pour la noblesse et pour la bourgeoisie montante car il offre à la fois un statut social prestigieux, une vitrine éclatante et un refuge idéal dans une société en pleine mutation.
16Pascale Gorguet Ballesteros est conservateur en chef du patrimoine au Palais Galliera, musée de la Mode de Paris, où elle est responsable des départements Costumes, xviiie siècle et Poupées. Enseignant chercheur associé (PAST) à l’UFR histoire de l’art et archéologie de Sorbonne Université, membre du Centre André-Chastel, elle poursuit des recherches sur la mode au xviiie siècle, la patrimonialisation de cette dernière au Palais Galliera et, comme deuxième spécialité, les relations entre la mode et le sport entre 1850 et 1939, s’intéressant plus particulièrement à la problématique du vêtement bifide féminin (pantalon et culotte). À ce titre, elle a coorganisé le colloque Cultures physiques, Cultures visuelles qui s’est tenu en juin 2019 au Centre André-Chastel.
17Sara Harvey est professeure à l’université de Victoria, Colombie-Britannique après avoir achevé une thèse et des recherches post-doctorales en France pendant une dizaine d’années. Ses principaux travaux se partagent en deux grands chantiers : l’un porte sur les facteurs discursifs, esthétiques, sociaux et politiques qui participent, aux xviie et xviiie siècles, à l’émergence de la modernité culturelle à travers les formes littéraires en vogue (portraits, énigmes, poésies de circonstance, galanterie littéraire), la critique des arts dans la presse périodique et la littérature dramatique. Ce travail s’inscrit dans la perspective large d’une archéologie des phénomènes culturels à vocation médiatiques et/ou performatives. L’autre est lié à son implication dans le programme des Registres de la Comédie-Française et vise à mieux comprendre comment les enjeux méthodologiques et pratiques des recherches dans le domaine des humanités numériques nous invitent à renouveler notre regard historique et théorique sur des concepts qui jusqu’alors nous paraissaient évidents – archives, corpus, répertoire ou collection.
18Sihem Kchaou est maître-assistante à l’université de La Manouba (Tunisie) et membre du Laboratoire Philab à la Faculté des sciences humaines et sociales de Tunis. Elle est titulaire d’une thèse intitulée Les Harlay de Beaumont, une famille de la haute robe aux xviie et xviiie siècles (thèse en cotutelle entre l’université Paris 4-Sorbonne et l’université de Tunis, 2012).
19Jean-François Loudcher est professeur des universités en sciences historiques et sociales du sport à l’université de Bordeaux. Son travail traite de l’histoire de l’éducation physique et du sport en France et à l’étranger. Plus précisément, ses thématiques ont trait aux techniques du corps, à l’analyse d’image, à la violence, aux Jeux olympiques, ainsi qu’à l’histoire comparée du sport et de son enseignement en France, en Grande-Bretagne et en Suisse. Depuis son habilitation en 2002, il investit les processus sportifs en tant que phénomène de civilisation culturelle à travers les théories foucaldiennes et éliasiennes ainsi qu’en tenant compte de divers courants anglo-saxons (Guttmann, Eichberg…). Après avoir été rédacteur en chef de la revue Sciences sociales et sports, il en est rédacteur adjoint. Il a aussi été président de la Société française d’histoire du sport (SFHS), ainsi que du Comité européen d’histoire des sports. Il est actuellement co-responsable du master management du sport et du parcours d’excellence.
20Sébastien Nadot, professeur agrégé d’éducation physique et sportive et docteur en histoire et civilisation (École des hautes études en sciences sociales, Paris), a été membre du Conseil économique, social et environnemental (CESE) de 2015 à 2017 et député à l’Assemblée nationale de 2017 à 2022. Il est notamment l’auteur de Le spectacle des joutes. Sport et courtoisie à la fin du Moyen Âge, Presses universitaires de Rennes, 2012 et de « Arthur et ses chevaliers : un scénario pour le sport (1350-1550) », Christine Ferlampin-Acher (dir.), La matière arthurienne tardive en Europe, 1270-1530 (Late Arthurian Tradition in Europe), Presses universitaires de Rennes, 2020. En 2023/2024, il est commissaire de l’exposition « Défis et sports de l’Antiquité à la Renaissance », Draguignan, Hôtel départemental des expositions du Var (HDE).
21Karen Newman détient la chaire Owen Walker ’33 en lettres et est professeur de littérature comparée et d’anglais à Brown University. Ses recherches portent sur la littérature et la culture de la Renaissance et sur Shakespeare. Elle a publié Cultural Capitals: Early Modern London and Paris (Princeton, 2007, 2009) et Essaying Shakespeare (Minnesota, 2009), et récemment, avec Jane Tylus, Early Modern Cultures of Translation (Pennsylvania, 2015) et This Distracted Globe: Worldmaking in Early Modern Literature, avec Marcie Frank et Jonathan Goldberg (Fordham, 2016). Ses recherches actuelles concernent Shakespeare, la traduction et les transferts.
22Isabelle Pichet, après une riche expérience de travail dans le monde muséal, a soutenu une thèse en histoire de l’art à l’université du Québec à Montréal, dont le titre est Expographie, critique et opinion : les discursivités des Salons de l’Académie de Paris (1750-1789) [2009]. Elle a par la suite effectué un premier stage postdoctoral au Clark Art Institute, Massachusetts, et des recherches sur Le Fonds de la collection Deloynes : la critique d’art et ses modes opératoires (FRQSC). Elle a effectué un deuxième stage postdoctoral à la Chaire de recherche du Canada en histoire des loisirs et divertissements (xvie-début xixe siècle) sur Le corps sensoriel au sein des loisirs et divertissements. Professeure associée à l’université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) depuis 2017 et chargée de projets d’exposition sur des artistes québécois (Paul-Émile Borduas et Ozias Leduc), ses recherches portent plus spécifiquement sur les activités du tapissier et l’histoire des expositions publiques parisiennes aux xviie et xviiie siècles. Elle a entre autres publié aux éditions Hermann en 2012 l’ouvrage Le tapissier et les dispositifs discursifs au Salon (1750-1789), ainsi que Le Salon de l’Académie royale de peinture et sculpture. Archéologie d’une institution en 2014, actes du colloque international éponyme qu’elle a organisé en 2012 à Québec. Ses projets de recherche les plus récents, Le Corps sensoriel dans les expositions d’art au xviiie siècle (CRSH/2018-2020) et Aux sources de la recherche-création (CRSH/2020-2022), proposent de nouvelles voies de recherche dans le domaine de l’histoire des sensibilités : celle de l’histoire des sens et des sensations qui émerge lors de la visite des expositions – plus précisément celle du Salon de l’Académie royale de Paris – durant le long xviiie siècle, ainsi que sur la question de la recherche-création dans une perspective historique.
23Henri Simonneau est professeur en classes préparatoires aux grandes écoles à Albi. Après avoir rédigé sa thèse sur les hérauts d’armes des ducs de Bourgogne à la fin du Moyen Âge, il s’intéresse tout particulièrement à l’office d’armes médiéval, à la société de cour, à la transmission de l’information et à la culture de l’image.
24Sandra Schmidt est diplômée en philologie italienne et en sciences du sport. Elle a obtenu son doctorat à la Freie Universität de Berlin avec une thèse sur Arcangelo Tuccaro (Kopfübern und Luftspringen – Bewegung als Wissenschaft und Kunst in der Frühen Neuzeit, 2008). Elle travaille actuellement comme journaliste et traductrice (Horacio Verbitsky: Der Flug, Wie die argentinische Militärdiktatur ihre Gegner im Meer verschwinden ließ, 2016).
25Laurent Turcot, écrivain, historien, professeur, s’intéresse spécialement à l’histoire sociale et culturelle du Québec et de l’Europe. Il a écrit des essais et des romans, rédigé plusieurs articles et participé à des colloques universitaires. Il a créé la chaîne YouTube L’Histoire nous le dira, qui compte plus de 410 000 abonnés.
26Pauline Valade est agrégée d’histoire et docteur en histoire moderne de l’université Bordeaux Montaigne. Sa thèse a été publiée sous le titre Le Goût de la Joie. Réjouissances monarchiques et Joie publique à Paris au xviiie siècle, chez Champ Vallon en 2021. Elle a dirigé un numéro de la revue Histoire urbaine, en 2019, sur le sujet « Sens et émotions dans la ville : des critères d’urbanité ? (xvie-xxe siècles) ». Elle est l’auteur de plusieurs contributions et articles dont « Public celebrations and public joy at the beginning of the French Revolution (1788-1791) » dans French History (Oxford University Press, vol. 29-2, juin 2015) ou, plus récemment, « Le spectacle contrarié. Mise en scène, performances et réception du spectacle de la joie publique à Paris au xviiie siècle », dans Dix-Huitième siècle (no 49 « Une société de spectacle » dirigé par Guy Spielmann et Martial Poirson, 2017).
27Serge Vaucelle, maître de conférences en histoire à l’université de Toulouse 3 – CRESCO (EA 7419) –, est chercheur associé à FRAMESPA (UMR 5136) où il travaille sur les pratiques corporelles anciennes, les activités physiques dans les contextes éducatifs, hygiéniques et sportifs. Il a publié des articles sur les jeux anciens dans Clio HFS (2006), Sport History Review (2009), European Studies in Sports History (2015), STAPS (2017), Cahiers de FRAMESPA (2018). Il mène actuellement l’étude d’une salle de jeu de paume de 1564 au château de Suze-la-Rousse (Drôme).
28Florian Vauléon est professeur associé de littérature française à l’université de Purdue Northwest aux États-Unis. Ses recherches abordent notamment la culture des cafés et du jeu dans le Paris prérévolutionnaire et se concentrent sur la valeur métaphorique du jeu d’échecs dans la littérature française de même que sur la portée du paradigme échiquéen dans les discours philosophiques du xviiie siècle.
29Juliette Vion-Dury est professeur de littérature générale et comparée de l’université Sorbonne-Paris-Nord. Membre de l’IRIS (Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux), elle y mène des recherches sur le jeu, dans le cadre du Groupement d’Intérêt Scientifique « Jeu et Sociétés », et sur les représentations de la maladie.
30Hadrien Volle est docteur en histoire de l’art moderne de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Sa thèse, intitulée La Partie des spectateurs : l’intérieur des salles de spectacles en France au xviiie siècle est une étude globale sur les relations entre le bâtiment théâtral et la société, et comment l’un et l’autre dialoguent et se façonnent. Il participe régulièrement à différents colloques et événements scientifiques en France et au Canada. Parmi ses dernières publications, nous pouvons retenir « La salle de spectacle comme lieu de diffusion des modes au xviiie siècle : une source d’inspiration pour les peintres ? », dans le catalogue d’exposition À la mode : l’art de paraître au xviiie siècle (2021) et « Comment sol et fond “rehaussent” le public dans la salle de spectacle. La nouvelle du faubourg Saint-Germain (1782-1799) », dans l’ouvrage collectif Le Fond de l’œuvre. Arts visuels et sécularisation à l’époque moderne (2020).
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