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Brest en reconstruction

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Pierre Le Goïc

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Géographique :

France

Texte intégral

1Je remercie Denise Bougaran de m'avoir inopinément donné l'idée de cette thèse,Yvon Tranvouez, mon directeur de thèse, pour sa patience et sa vigilance quadriannuelle, et tous les interlocuteurs que j'ai déjà cités dans la liste des témoins pour m'avoir sans exception reçu avec une gentillesse à laquelle je ne m'attendais pas toujours.

2Ce travail n'aurait pas été possible sans la bienveillance des conservateurs des Archives départementales du Finistère et des Archives municipales de Brest, et la sollicitude du personnel de ces archives. J'ai également trouvé le meilleur accueil au Centre des archives contemporaines de Fontainebleau, au CARAN, et, quoi qu'on en dise et bien que je regrette bien sûr l'intimité verte, boisée et dorée de la rue Richelieu, à la Grande Bibliothèque de France.

3Le chanoine Le Floc'h, assisté par Yann Celton, m'a ouvert les archives de l'évêché de Quimper et de Léon. L'abbé Louis Calvez m'a ouvert celles qu'il conservait dans sa bibliothèque, tout en sachant que je ne partageais pas sa foi : je garde de lui un souvenir d'autant plus ému, comparable à celui que je conserve de Maurice Piquemal qui me reçut, dans son petit appartement rennais, toute une après-midi, et me quitta en déclamant une tirade de Virgile – j'appris un peu plus tard que c'était l'un des numéros préférés de ce grand galéjeur devant l'Eternel. Je remercie encore l'abbé Le Bras, curé de la paroisse de Saint-Louis, de m'avoir autorisé à trier les exemplaires des échos paroissiaux et de L'Espoir dont certains dormaient en désordre dans une armoire du presbytère, de même que Nicole Poulmarc'h, alors Présidente de la Fédération des oeuvres laïques, me permit d'explorer un plein carton d'exemplaires de L'Action laïque du Finistère. Je remercie aussi Gilles Couix, de l'UBO, qui a transformé mes croquis en cartes lisibles.

4Une thèse ne se termine pas sans rodage: l'Université de Bretagne occidentale m'a invité à intervenir dans deux colloques, l'un consacré à la « Ville maritime », l'autre aux « Élites et notables », et la Société d'histoire et d'archéologie de Bretagne a accepté ma contribution à son colloque tenu à Dinan en 1998. Je dois aussi à la Société d'Etudes de Brest et du Léon d'avoir publié dans les Cahiers de l'Iroise quelques brouillons de ma recherche.

5Enfin, ce livre n'aurait pas existé sans l'amabilité de celles et ceux qui ont accepté de faire partie de mon jury de thèse: Antoine Prost en était le président, Annie Fourcaut, Danièle Voldman, Daniel Le Couédic et bien sûr Yvon Tranvouez les membres.

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