Les auteur.e.s

1 Christian Accaoui est professeur d’esthétique musicale au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris et maître de conférences à l’université Paris 8 (HDR Philosophie, Paris 1).

2 Christian Béthune est chercheur associé au CIEREC (université de Saint-Étienne), titulaire d’un doctorat en philosophie et d’une HDR en art. Il a publié Le jazz et l’Occident (Klincksieck, 2008), Pour une esthétique du rap (Klincksieck, 2004), Le rap, une esthétique hors la loi (Autrement, 2004) ; Adorno et le jazz (Klincksieck, 2003), ainsi que des monographies sur Charles Mingus et Sidney Bechet aux éditions Parenthèses, et de nombreux articles pour la Revue d’esthétique, Poétique, L’homme, Volume !, etc.

3 Bruno Bossis est professeur des universités en musique, analyse et nouvelles technologies à l’université Rennes 2 et directeur du laboratoire Musique de l’équipe d’accueil Arts : pratiques et poétiques (EA 3208). Auteur du livre La voix et la machine, la vocalité artificielle dans la musique contemporaine aux (PUR) et de nombreux articles, il a dirigé plusieurs ouvrages sur la musique contemporaine. Il prépare actuellement un livre sur Jonathan Harvey aux éditions Symétrie.

4 Jean-François candoni est professeur des universités à Rennes 2, où il enseigne la civilisation et l’histoire culturelle du monde germanique. Il a récemment publié Penser la musique au siècle du romantisme (PUPS, 2012), Les grands centres musicaux du monde germanique (PUPS, 2014), ainsi qu’une nouvelle édition de Ma vie de Richard Wagner (Gallimard, 2013).

5 Philippe charru enseigne la musicologie et l’esthétique musicale au Centre Sèvres, facultés jésuites de Paris, où il dirige le département Esthétique. Il est titulaire de l’orgue Cavaillé-Coll de l’église Saint-Ignace de Paris. Dernières publications : Quand le lointain se fait proche – La musique une voie spirituelle (Seuil, 2011) et, en codirection avec Christoph Theobald, Johann Sebastian Bach, interprète des Évangiles de la Passion (Vrin, 2016).

6 David christoffel est chroniqueur et producteur pour Radio France et la Radio Télévision Suisse. Depuis 2016, il dirige La Radio Parfaite, webradio du Printemps des Arts de Monte-Carlo dont il est dramaturge. Il déploie des actions de médiation musicale par la création radiophonique au CNSMDP, la Philharmonie de Paris et le Festival d’Automne. Docteur en musicologie de l’EHESS, il est membre des comités de rédaction des revues Multitudes et Espace(s). Ses productions radiophoniques, théoriques et musicales sont indexées sur le site http://dcdb.fr/.

7 Sandrine darsel, professeur agrégé de philosophie en classes préparatoires et membre associé des Archives Poincaré (Nancy), a pour domaine de recherche la philosophie de l’art pensée à l’intersection de l’ontologie, de l’épistémologie, de la philosophie de l’esprit et de l’éthique. Elle a notamment publié De la musique aux émotions (PUR, 2010), traduit et introduit La musique sur le vif de Jerrold Levinson (PUF, 2013) et codirigé avec Roger Pouivet Ce que l’art nous apprend (PUR, 2008).

8 Florence fabre est maître de conférences en musique à l’université d’Artois/ESPE-Nord. Ses travaux concernent le rapport des philosophes à la musique et leur apport à la musicologie. Principales publications : La musique et son ombre. Nietzsche musicien (PUR, 2006) ; Philosophie de la musique. Imitation, sens, forme, en collaboration avec Robert Muller (Vrin, 2013) ; Avec George Steiner, les chemins de la culture (actes de colloque, Albin Michel, 2010).

9 Pierre-Henry frangne est professeur des universités à Rennes 2 où il enseigne la philosophie de l’art et l’esthétique. Ses travaux portent sur la pensée de Mallarmé, le symbolisme français de la fin du xix^e siècle, les rapports entre les arts à l’époque contemporaine. Sur la musique, il a publié L’ombre de Monteverdi. La querelle de la nouvelle musique (1600-1638) (en collaboration avec X. Bisaro et G. Chiello, PUR, 2008), Musique et enregistrement (en coll. avec Hervé Lacombe, PUR, 2014) et Mallarmé et la musique, la musique et Mallarmé (en collaboration avec Antoine Bonnet).

10 Marik froidefond est maître de conférences en littérature comparée à l’université Paris Diderot. Ses travaux portent sur la poésie du xx^e siècle et sur le dialogue entre la littérature et les arts (musique, peinture). Elle a codirigé plusieurs ouvrages dont Le Modèle végétal dans l’imaginaire contemporain en 2014, La musique de Hans Zender en 2015 et Que reste-t-il de la beauté ? en 2016. Elle est aussi l’auteur de plusieurs catalogues d’exposition sur l’œuvre du peintre Gérard Titus-Carmel.

11 Hervé lacombe est professeur à l’université Rennes 2. Spécialiste de la musique en France aux xix^e et xx^e siècles et de l’histoire de l’opéra, il a notamment publié, aux Éditions Fayard, Géographie de l’opéra au xx^e siècle (2007), Francis Poulenc (2013) et, avec Christine Rodriguez, La Habanera de Carmen : naissance d’un tube (2014).

12 Marion lafouge est ancienne élève de l’ENS, agrégée de lettres classiques et maître de conférences en littérature comparée à l’université de Bourgogne. Ses travaux portent sur l’opéra français et italien des xvii^e et xviii^e siècles et plus largement sur les rapports entre littérature et musique et littérature et peinture.

13 Agostino magro est maître de conférences en musique médiévale et de la Renaissance à l’université Rennes 2. Il s’intéresse à la société et à la production musicale du xv^e siècle, notamment en ce qui concerne l’activité musicale en Val de Loire : Ockeghem, Saint-Martin de Tours, les chapelles royales à l’époque de Louis XI. Il collabore avec le Centre d’études supérieures de la Renaissance (CESR) de Tours au sein du projet transatlantique CRIM. Il est l’éditeur responsable du Corpus des Messes Anonymes du xv^e siècle hébergé par le site du programme Ricercar du CESR.

14 Marianne massin est professeur de philosophie de l’art (UFR de philosophie, Paris-Sorbonne) et responsable du Centre Victor Basch (centre de recherches sur la philosophie de l’art et l’esthétique). Elle a publié Expérience esthétique et art contemporain, PUR, 2013 ; La pensée vive. Essai sur l’inspiration philosophique (Colin, 2007) ; Les figures du ravissement. Enjeux philosophiques et esthétiques (Grasset, 2001), et dirigé récemment le volume collectif Célébrer/Profaner. Dynamiques de l’écoute et de la création musicale (Ambronay, 2016).

15 Laura naudeix, maître de conférences en études théâtrales à l’université Rennes 2, est spécialiste du spectacle musical des xvii^e et xviii^e siècles. Elle a publié un ouvrage sur la Dramaturgie de la tragédie en musique (1673-1764) (Champion, 2001) et édité en collaboration avec A. Piéjus trois pièces mêlées de musique de Molière et Lully (Bibliothèque de la Pléiade, 2010), ainsi que l’ensemble des textes composant la Première querelle de la musique italienne (1702-1706) (Classiques Garnier, à paraître).

16 Emmanuel PArent est maître de conférences en musique à l’université Rennes 2. Ses recherches portent sur les musiques populaires et les musiques afro-américaines. Auteur de Jazz power. Anthropologie de la condition noire chez Ralph Ellison (CNRS Éditions, 2015), il a dirigé le catalogue de l’exposition présentée à la Cité de la musique à Paris, Great Black Music. Les musiques noires dans le monde (Actes Sud, 2014). Il est membre du comité de rédaction de Volume ! La revue des musiques populaires dont il a coordonné le numéro « Peut-on parler de musique noire ? » en 2011.

17 Sylvie Pébrier est professeure associée au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris depuis 1997 et inspectrice de la création artistique au ministère de la Culture depuis 1998. Ancienne élève du Conservatoire de Paris titulaire de premiers prix en esthétique (1985), histoire de la musique (1988) et recherche en musicologie (1994) (« la vie musicale des missions jésuites de la Province du Paraguay aux xvii^e et xviii^e siècles »), elle est également diplômée de l’Institut d’études politiques de Paris (1983).

18 Timothée Picard est professeur de littérature générale et comparée à l’université Rennes 2, spécialiste de l’étude des relations entre la littérature, les arts et l’histoire des idées. Parmi ses dernières publications figurent : Âge d’or – décadence – régénération, Un modèle fondateur pour l’imaginaire musical européen (Classiques Garnier, 2013), Verdi – Wagner, imaginaire de l’opéra et identités nationales (Actes Sud, 2013) et La civilisation de l’opéra : sur les traces d’un fantôme (Fayard, 2016).

19 Bernard sève est professeur en esthétique et philosophie de l’art à l’université de Lille. Il travaille principalement en philosophie de la musique (L’altération musicale, ou ce que la musique apprend au philosophe, Seuil, 2002, réédition augmentée, 2013 ; L’instrument de musique, une étude philosophique, Seuil, 2013), mais aussi sur la pensée de Montaigne (Montaigne, des règles pour l’esprit, PUF, 2007). Il a récemment donné une édition critique des Problèmes de la musique moderne de Boris de Schlœzer et Marina Scriabine (PUR, 2016).