Table des matières

• Histoire de l’art et philosophie
• L’acte de la gravure en taille-douce : un exercice d’observation et d’imagination
• Le sublime comme force de vision du créateur
• Entre perfection du kairos et terreur du clair-obscur
• Une peinture et une gravure habitées par un même sublime
• Entre sublime et kénose
• La dynamique d’une pensée : entre force d’évidence et évidemment de la présence

Première partie. La pratique de l’eau-forte comme moyen d’exprimer le sublime des passions ?

• Un œuvre très individualisé
• La prise de risques commerciaux, techniques et artistiques

• La tentative d’égaler les poètes
• Entre la simplicité du courtisan et la maîtrise de l’artiste
• Des visions épurées et troublantes
• L’exploration d’une commune humanité
• Une peinture et une gravure habitées par un sublime vraisemblable ou vrai ?

• Illusion de l’improvisation et énergie
• L’impossible unité de l’image

• Le don de la grâce ou la tension du sublime ?
• Entre ombre et lumière : l’humilité de la vision
• Le plaisir de la meraviglia et le choc du sublime

Deuxième partie. Maîtrise de la matière et exercice de l’humilité

• La gravure comme art du « dessin imprimé »
• Un dessin pour anticiper l’inanticipable
• Un dessin pour explorer l’intraduisible
• Saisir le kairos

• Les dessins : approcher l’idée ou cultiver l’étonnement ?
• Le projet : entre improvisation et conception imaginative
• Témoigner de son métier

• Le renoncement au modèle de la création
• L’approche de l’idée de beauté par la synthèse des sensations
• L’impasse du manque de définition de l’idée
• Entre aveuglement et vision

• Le sublime chrétien
• Les traces d’un travail : un mauvais goût assumé ?
• Dissimuler et obscurcir le mystère
• L’épreuve de la nuit

Troisième partie. La simplicité d’une immanence insaisissable

• Un Dieu de la kénose ou un Grand Prêtre ?
• Comment l’Incarnation peut-elle révéler l’Invisible ?
• Entre visible et invisible : deux interprétations de la kénose

• Luther : l’intériorisation de la Parole
• Luther : apprendre à connaître le divin par son contraire
• Calvin : un « fragment du réel » qui donne à voir l’invisible
• Un œuvre exceptionnel par son intériorité ?

• « L’entre-deux » comme lieu de la distance entre l’humain et le divin
• L’immanence comme lieu du divin

• L’épreuve du grotesque
• L’expérience de la joie mystique
• La colère : entre caricature et vertu

• L’enlisement dans le sensible
• Une ironie destructrice de l’Absolu
• S’aliéner pour devenir amour pur
• « Le goût de Dieu »

• Se laisser soigner par la grâce
• Œuvrer pour témoigner

Quatrième partie. Le surgissement renouvelé du sensible

• Imiter sans rendre hommage
• Être saisi par le feu qui brûle en un autre

• Le désir de devenir tout homme
• Entre ambition et dépouillement
• Saisir le corps eucharistique

• L’ombre qui forclot et l’ombre qui aiguise le regard
• La pureté du transcendant et la nécessaire altération du sublime
• L’actualité de l’œuvre
• Un miroir opacifié mais encore dynamique
• Défiguration de l’homme et revalorisation de l’art
• La liberté et l’engagement du spectateur

• A
• B
• C
• D
• E
• F
• G
• H
• I
• J
• K
• L
• M
• N
• P
• Q
• R
• S
• T
• V
• W
• Z

• Cahier couleur