Mémoires affrontées
|Remerciements
Texte intégral
1La rédaction de ce livre, précédée de longues années de recherches dans le cadre de ma thèse, n’aurait pas vu le jour sans l’aide et l’affection des membres de ma famille, notamment de mes filles, qui ont grandi avec les émeutiers et les brigands des montagnes sur les traces desquels je me suis lancée, par archives interposées. Sans la compétence et la patience de Jean Legoux, j’aurais été bien en peine de mettre en place la base de données informatisée et de la traiter. Enfin, mes remerciements vont à Patrick Cabanel, mon époux, qui a su, par ses lectures attentives, d’une sévérité toujours bienveillante, corriger et améliorer mon texte.
2Je tiens à remercier également le personnel des Archives départementales, qui m’a permis, dans la plupart des cas, de travailler dans de très bonnes conditions. Je salue tout particulièrement M. Claude Petit, à Rodez, dont la collaboration m’a été précieuse, ainsi que M. Pierre Lançon, conservateur de la bibliothèque de la Société des Lettres, Sciences et Arts de l’Aveyron. Merci au personnel des Archives de l’Hérault et du Tarn, dont la disponibilité et la bienveillance ont beaucoup compté dans la progression de mon travail. Je tiens à remercier également les responsables du fonds patrimonial de la bibliothèque municipale de Toulouse : alors que ce lieu allait fermer pour une longue durée, j’ai bénéficié de leur part d’un soutien très précieux. Claire Vermont, pour sa part, m’a accompagnée de son amitié et de ses conseils durant mes dépouillements dans la bibliothèque des Études méridionales à Toulouse.
3Les cartes présentées dans ce volume sont dues à Laurent Jégou, ingénieur du laboratoire de cartographie de l’université de Toulouse-Le Mirail ; je tiens à le remercier pour sa patience, sa compréhension et la qualité de son travail.
4Trois professeurs, enfin, ont joué un rôle essentiel dans l’élaboration de ce travail de recherche. Michel Vovelle a gagné la littéraire que j’étais à l’histoire. Il a toujours manifesté à mon égard un soutien sans lequel je ne me serais pas lancée dans un long travail de recherche. Qu’il permette que je lui rende ici hommage. Georges Fournier à bien voulu diriger ma thèse et Philippe Joutard a su m’encourager de manière décisive à m’engager sur la piste délicate de la mémoire populaire des guerres de religion à l’époque de la Révolution. Sa bienveillance et son aide ont beaucoup compté pour l’élaboration de la seconde partie de mon étude.
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