Remerciements

1Après tant d’années passées dans les archives et les bibliothèques pour réunir la documentation, après la grande épreuve de la synthèse pour la rédaction de la thèse et le second souffle nécessaire pour une contraction imposée par les contraintes éditoriales, il est naturel que, au moment de clore cette aventure, le souvenir de tous ceux qui ont enrichi ce travail de leurs conseils éclairés revienne à la mémoire.

2J’ai contracté tant de dettes auprès des conservateurs des services d’archives et de bibliothèques ainsi qu’envers les chercheurs universitaires qui s’intéressent à l’histoire de l’Ouest atlantique et à la civilisation urbaine des Temps modernes que je mesure mieux a posteriori l’importance de leur accompagnement. La forme même de cette dernière synthèse présentée au public est la meilleure manière de saluer leurs influences décisives. J’espère que chacun y retrouvera sa sensibilité.

3Je souhaite tout particulièrement exprimer ma reconnaissance à Monsieur le recteur Yves Durand, professeur à l’université de Paris-IV, qui m’a orienté vers ce type de recherche et qui a soutenu, avec ses interrogations fécondes et son érudition formatrice, cette réflexion sur les aspects sociaux de la culture politique urbaine d’Ancien Régime.

4J’ai travaillé si longtemps dans les riches archives municipales de Nantes que ma dette est énorme auprès des différents conservateurs, spécialement Monsieur Ravilly qui a guidé mes premiers pas et Madame Chapalain-Nougaret qui a vu se conclure la recherche. Les archives départementales de Loire-Atlantique, alors sous la direction généreuse de Monsieur Du Boisrouvray, ont été mon second refuge. J’y ai bénéficié de l’attention suivie et des remarques pertinentes de leur directeur-adjoint, Monsieur Nougaret, ainsi que de l’expérience et des conseils de Messieurs Rouzeau et Caraës. La quête dans le fonds ancien de la bibliothèque municipale de Nantes a été grandement facilitée par le savoir-faire de Madame Marcetteau, son exigeant conservateur.

5Je ne saurais oublier mes collègues du département d’Histoire de l’université de Nantes, Messieurs Bois, Bossis et Hermann, à qui je dois une aide intellectuelle, matérielle et morale, offerte avec délicatesse dans la phase d’achèvement du travail et au moment de la soutenance de thèse.

6Je voudrais remercier la municipalité de Nantes, dirigée par Monsieur le député-maire Jean-Marc Ayrault, qui a grandement contribué à cette publication.