Remerciements

1Cet ouvrage issu d’une thèse de doctorat soutenue à Aix-Marseille Université en 2015 est le fruit d’une longue aventure collective qui a sollicité bien au-delà d’un champ d’étude et du monde académique. En premier lieu, ce livre n’aurait jamais pu voir le jour sans le soutien et l’amitié de Pascal Bastien et du Groupe de recherche en histoire des sociabilités du département d’histoire de l’université du Québec à Montréal. Sans l’accueil et l’enthousiasme de cette équipe il ne m’aurait pas été possible de mener à bien cette entreprise éditoriale. J’espère que ce livre sera à la hauteur de leur confiance.

2Cette étude a également une dette immense envers Brigitte Marin et Jean-Louis Mestre qui ont encadré et fait fructifier une recherche doctorale débutée à l’automne 2010. Leur soutien, leur confiance et leur disponibilité ont su créer les conditions indispensables à la bonne marche de ce travail. Isabelle Backouche, Jean-François Chauvard et Robert Carvais qui ont assuré le jury de cette thèse ont grandement contribué à la réécriture de ce manuscrit par leurs précieux conseils. Les imperfections qui demeurent ne relèvent que de l’auteur de ces lignes.

3Ma reconnaissance va également à l’UMR TELEMME, dans laquelle j’ai amorcé cette recherche. Le soutien logistique et humain du laboratoire pendant mon doctorat fut primordial. À cet égard que Mathieu Coulon et Éric Carroll soient chaleureusement remerciés pour leur aide, leur patience et leur intelligence dans la formation qu’ils m’ont délivrée pour maîtriser l’outil informatique et cartographique.

4Mes remerciements s’adressent aussi aux différents centres d’archives visités, et particulièrement les archives municipales de Marseille. Par leur dévouement, leur générosité et leur disponibilité, tous les archivistes rencontrés ont considérablement facilité la réalisation de ce travail.

5Plusieurs sections de cet ouvrage doivent beaucoup aux membres de l’ANR PROCIT et aux discussions nouées pendant trois ans à leurs côtés, en particulier Simona Cerruti, Isabelle Grangaud, Thomas Glesener et Jean-Baptiste Xambo. Fleur Beauvieux et Nicolas Vidoni ont également été des amis précieux dans cette entreprise intellectuelle et humaine. Quant à Baptiste Kotras, il a apporté à ce travail bien plus que ce qu’il ne s’autorisera jamais à le reconnaître.

6La famille et les amis ont toujours fait preuve d’une curiosité qui s’est avérée bien plus profitable qu’ils ne pouvaient, et ne pourraient, l’imaginer. Enfin, Anne-Sophie. Ce travail n’égalera jamais ton soutien, ton dévouement et ta patience pendant toutes ces années. Pour tout ce que tu as fait, et pour tout ce que nous ferons, merci.