Remerciements

1Cet ouvrage, issu d’une thèse doctorale, est le fruit de plusieurs années de rencontres, d’échanges et de collaborations. Aussi, je souhaite remercier l’ensemble des personnes qui m’ont accompagnée au long de cette aventure et ont contribué à sa réalisation.

2J’adresse d’abord mon infinie gratitude et mon éternelle admiration à toutes les femmes rencontrées sur le terrain. Je souhaite par cet ouvrage leur rendre hommage en retour de ce qu’elles m’ont si généreusement apporté. Merci pour leur confiance, l’intensité et la richesse des moments partagés, dans la tristesse comme dans la joie. Qu’elles se considèrent comme les co-autrices de ce livre, au travers duquel j’ai tenté de porter leur voix le plus fidèlement possible. Un grand merci également aux hommes croisés au détour des associations, aux médecins, infirmières et assistantes sociales ainsi qu’aux chargées de mission qui m’ont accordé de leur temps précieux.

3Mes pensées vont ensuite à mes directrices de thèse, Dolorès Pourette et Annabel Desgrées du Loû, sans qui je n’aurais pu vivre cette expérience, ni la mener à son terme. Je remercie d’abord infiniment Dolorès Pourette pour l’enthousiasme qu’elle a manifesté à l’égard de mon projet dès notre première rencontre et pour son aide précieuse dans la recherche d’une personne habilitée à m’encadrer ainsi que de financements. J’adresse également ma profonde reconnaissance à Annabel Desgrées du Loû pour la confiance qu’elle m’a accordée et transmise tout au long de cette recherche, ainsi que pour les nombreuses possibilités qu’elle m’a offertes de participer à la vie scientifique d’ici et d’ailleurs. Je les remercie toutes deux pour leur disponibilité, leurs conseils et leurs critiques toujours constructives, ainsi que pour leurs encouragements et leur soutien inconditionnel dans les moments les plus difficiles de ce travail. Un accompagnement de cette qualité, humaine et scientifique, est un atout précieux dans le parcours parfois sinueux d’une doctorante. Cet ouvrage en illustre toute la valeur.

4J’adresse également ma gratitude à Vinh-Kim Nguyen, à Marcel Calvez, à Françoise Le Borgne-Uguen et à Patricia Paperman pour leurs lectures et commentaires de mon travail ainsi que pour leurs encouragements à sa publication. Un grand merci à Sandrine Musso pour ses conseils précieux au moment de la transformation du manuscrit en ouvrage. La conduite de cette recherche n’aurait simplement pas été possible sans les quatre années de financements de Sidaction et des fonds de dotation Pierre Bergé dont j’ai bénéficié. Je remercie en particulier Vincent Douris, Veronica Noseda, Corinne Le Huitouze, Séverine Fouran et Sophie Lhuillier pour leur soutien tout au long de la thèse. Un grand merci également à l’ANRS ayant soutenu la publication de cet ouvrage.

5Le Ceped a constitué un environnement de travail stimulant. Merci à son directeur, Étienne Gérard, ainsi qu’aux membres de l’équipe Santé et genre pour nos échanges et l’intérêt qu’ils ont porté à mon travail. Je remercie tout particulièrement Agnès Guillaume pour son aide précieuse à l’heure de finaliser le manuscrit de la thèse ainsi qu’à mes collègues et amies du Ceped, pour leurs conseils, leur soutien et pour tous les moments partagés en dehors de la vie scientifique. Je pense à Anne Bekelynck, Anne Gosselin, Hélène Lepinay, Valentine Becquet, Julie Pannetier, Clémence Schantz, Sarah Memmi, Laure Hadj et Guéda Gadio. Je pense également aux amis rencontrés, dès le début de la thèse, lors de l’Université jeunes chercheurs de Sidaction : Gwenaël Domenech-Dorca, Jacques Dutrieux, Lara Mahi. Un grand merci pour leur réconfort dans les moments de doute et pour tous les moments joyeux passés ensemble. Je pense enfin aux membres du groupe Santé-Précarité : Jérémy Geeraert, Caroline Izambert et Céline Gabarro. Je les remercie sincèrement pour nos échanges, les événements organisés ensemble, pour leur amitié et leur soutien à la fin de cette aventure. Je remercie, par là même, mes collègues du SUFCEP de l’université de Bretagne occidentale, Guillaume Fernandez, Édith Gaillard et Pierre Schmitt notamment, pour la richesse de nos échanges, leur bienveillance et leurs conseils. Toute ma reconnaissance enfin aux personnes déjà citées ainsi qu’à Gabriel Girard et à Caroline Nérot pour la relecture de certains chapitres et la richesse de leurs commentaires.

6Je dédie enfin ce travail à ma famille qui m’a toujours soutenue, quels que soient mes choix. Je pense notamment aux femmes – ma mère, ma sœur, mes grands-mères, ma marraine, mes tantes – pour la force, le courage et la passion qu’elles m’ont transmis. Mais je n’oublie pas pour autant les hommes. Mon père, parti trop tôt, qui m’a transmis la soif de vivre ; mes grands-pères, le goût de l’aventure. À mon fils, le plus beau cadeau que la vie m’ait offert. À Arnaud qui n’a jamais eu peur de déconstruire les normes de genre et d’assumer tout le travail invisible précieux qui m’a permis de mener cette recherche à son terme. À Joëlle, ma cousine, qui m’a offert l’hospitalité pour me permettre de retravailler le manuscrit au calme. À mes amis, mes camarades de danse, à toutes ces belles âmes qui m’ont accompagnée et m’accompagnent sur ce chemin : Jenny, Gaëlle, Marie, Vanessa V., Vanessa T., Laurent, Erwan, Jacko, Gwen, Romain, Vincent, Nolwenn, Émilie, Lucie, Laurence, Élodie, Julien, Florence, Nicolas, Judy, Jérôme, Julie, Charly, Eliza, Dorothée, Camille, Pascale, Gwenaëlle, Marina, Fato, Évelyne, Magda, Dulce, Luis, Yheredy, Janneth, Hugo et à Françoise, Jeannie et Mansour bien sûr. J’espère pouvoir un jour leur rendre tout ce qu’elles et ils m’ont si généreusement offert.