1 D. Merlé, « Les classements professionnels dans les enquêtes de mobilité », Annales ESC, no 6, 1990, p. 1322. G. Béaur, « Les catégories sociales à la campagne : repenser un instrument d’analyse », Annales de Bretagne et des pays de l’Ouest, t. 106, no 1, 1999, p. 159-176.
2 AD14, 2C 300, billet du 16 juillet 1758.
3 J.-L. Viret, « Vagabonds et mendiants dans les campagnes au nord de Paris dans le premier tiers du XVIIIe siècle », Annales de démographie historique, 2006/1, no 111, p. 7-30.
4 J.-C., Farcy, « Les limites de la pluriactivité des familles agricoles dans une région de grande culture. L’exemple de la Beauce au XIXe siècle », dans La pluriactivité dans les familles agricoles, Paris, A. R. F. éditions, 1984, p. 90.
5 M. Gribaudi et A. Blum, « Des catégories aux liens individuels : l’analyse statistique de l’espace social », Annales ESC, no 6, 1990, p. 1373.
6 Jean-Claude Perrot pense que l’on ne peut pas épouser les divisions de la population telles que les contemporains les ressentaient. « Il est en un sens pathétique d’en rester là et de poser qu’un individu ou une société sont entièrement transparents à eux-mêmes ». J.-C. Perrot, op. cit., p. 247.
7 A. Fauve-Chamoux, « Domesticité et parcours de vie. Servitude, service prémarital ou métier ? », ADH, 2009, no 1, p. 6.
8 Idem., p. 454-455.
9 G. Levi, « Carrières d’artisans et marché du travail à Turin (XVIIIe-XIXe siècles), Annales ESC, no 6, 1990, p. 1357.
10 S. Benoist, « Paysans et proto industrie en Bourgogne du Nord à l’époque moderne », Histoire et sociétés rurales, 5, 1996, p. 131-144. P. Deyon, La proto industrialisation : théorie et réalité, actes du colloque de Budapest, août 1982, Revue du Nord, 248, 1981. G. Garrier et R. Hubscher (dir.), Entre faucilles et marteaux : pluriactivité et stratégies paysannes, Lyon/Paris, Presses Universitaires de Lyon/EHESS, 1988. D. Terrier, Les deux âges de la proto industrie. Les tisserands du Cambrésis et du Saint-Quentinois (1730-1880), Paris, EHESS, 1996. K. Kyung-Keun, « Le Vexin français de 1700 à 1850, I : La production agricole » ; « Le Vexin français de 1700 à 1850II : Le développement du commerce et de l’artisanat », Mémoires de la société historique et archéologique de Pontoise, du Val-d’Oise et du Vexin, LXXXI, 1998 et LXXXII, 1999.
11 R. Hubscher, « La petite exploitation en France : reproduction et compétitivité (fin XIXe siècle début XXe siècle) », Annales ESC, no 1, 1985, p 3-34.
12 Pour un bilan historiographique récent et une interprétation des diverses formes de pluriactivité : A. Antoine et M. Cocaud, « La pluriactivité dans les sociétés rurales. Approche historiographique », dans C. Cérino (dir.), Entre terre et mer. Sociétés littorales et pluriactivités (XVe-XXe siècle), PUR, 2002.
13 G. Désert, « L’essentiel et l’accessoire ? Des Bas-normands en quête d’emplois », dans G. Garrrier et R. Hubscher (dir.), Entre faucilles et marteaux, Presses Universitaires de Lyon-EHESS, Lyon, 1988, p. 63.
14 Les actes notariés, et en particulier les contrats de mariage, ont été longtemps privilégiés. A. Daumard, « Une référence pour l’étude des sociétés urbaines en France aux XVIIIe et XIXe siècles : projet de code socio-professionnel », RHMC, 10, 1963, p. 185-210. J. C. Perrot, « Introduction à l’emploi des registres fiscaux en histoire sociale : l’exemple de Caen au XVIIIe siècle », Annales de Normandie, no 1, 1966, p. 33-63.
15 J.-C., Farcy, « Les limites de la pluriactivité des familles agricoles dans une région de grande culture. L’exemple de la Beauce au XIXe siècle », dans La pluriactivité dans les familles agricoles, Paris, A. R. F. éditions, 1984, p. 95.
16 AD14, 8E 6752, 18 septembre 1791.
17 P. Goubert, Beauvais et le Beauvaisis de 1600 à 1730. Contribution à l’histoire sociale de la France du XVIIe siècle, Paris, SEVPEN, 1960, p. 166. Loutchisky, à la fin du XIXe siècle, mettait déjà l’accent sur le travail de la terre, auquel une quantité d’artisans adjoignaient une « industrie de secours ». L. Loutchisky, La petite propriété en France avant la Révolution et la vente des biens nationaux, Paris, Champion, 1897.
18 J.-C., Farcy, « Les limites de la pluriactivité des familles agricoles... », op. cit., p. 92.
19 Cela arrivait fréquemment en Touraine. B. Maillard, Les campagnes de Touraine..., op. cit., p. 262.
20 AD14, 14B 1722, 10 février 1758. Henri Lassery et Charles Pointel insistent sur le logement des soldats.
21 AD14, 14B 1737, 12 mars 1773.
22 AD14, 14B 1725, 30 octobre 1761.
23 B. Sintic, Petites villes de Normandie. Pont-Audemer, Harfleur, Louviers, Neufchâtel. Villes secondaires de la région de Rouen, 1450-1550, Publication des universités de Rouen et du Havre, Presses Universitaires de Caen, Mont-Saint-Aignan, 2011, p. 262.
24 AD14, 14B 1725, 30 octobre 1761.
25 AD14, 14B 1731, 6 février 1767 et 14B 1735, 4 septembre 1771.
26 AD14, 14B 1729, 1er février 1765 et 24 juillet 1765. L’art. 23 des statuts des apothicaires de Caen de 1546 défend aux épiciers (et droguistes) de vendre des médicaments. Les épiciers ne peuvent vendre que des drogues simples, mais en aucun cas les composées. La particularité de Caen réside dans le fait que la séparation des deux communautés de métier est conservée au XVIIIe siècle, alors qu’elles sont réunies dans de nombreuses villes. S. Tésio, Les apothicaires de Caen au XVIIIe siècle : l’organisation de la profession pharmaceutique, mémoire de maîtrise sous la direction de Daniel Teysseire, université de Caen, 1999, p. 157.
27 AD14, 14B 1722, réception du 8 février 1758.
28 AD14, 8E 23657, 11 mars 1771.
29 Faute d’avoir systématiquement l’âge des personnes concernées, l’échantillon est ici réduit à 33 personnes.
30 Pour chaque âge, j’ai considéré qu’une dizaine de mentions au minimum étaient nécessaires.
31 AD14, 8E 23652, bail du 3 septembre 1765, faisant état du contrat sous seing privé du 15 mai 1763.
32 F. Pitou, Laval au XVIIIe siècle..., op. cit., p. 346.
33 AD14, 14B 1179, assignation du 26 juin 1767.
34 AD14, 8E 23650, contrat du 23 mars 1762. Le loyer est de 1220 livres. Le bail comprend des terres.
35 La cote de l’année 1762 (62 livres), a fait l’objet d’une contestation. Pierre II a obtenu une taxe d’office l’année suivante, d’un montant nettement inférieur.
36 Il apparaît à l’âge tardif de 53 ans, en raison de son mariage avec une femme âgée de 25 ans.
37 AD14, 14B 1176, 26 octobre 1764.
38 AD14, 8E 23631, vente du 22 juin 1772, et 8E 23633, ventes du 29 avril 1778 et du 16 janvier 1779.
39 AD14, 8E 23633, 16 janvier 1779 et 8E 23663, vente du 2 avril 1778.
40 AD14, 2MI-555-R6, contrôle des actes, 6 novembre 1763, et 8E 23634, inventaire du 1er février 1780.
41 AD14, 14B 1191, 29 octobre 1779.