1 Jules Simon, « Béranger », dans Figures et Croquis, Paris, 1909, p. 191.
2 Ibid., p. 196.
3 Amédée Duquesnel, Du travail intellectuel en France depuis 1815 jusqu’à 1837, Paris, 1839, vol. 1, p. 165.
4 Charles de Rémusat, Mémoires de ma vie, éd. Charles H. Pouthas, Paris, Plon, 1958.
5 Ibid., préface de C. H. Pouthas, p. XXVI.
6 Ibid., préface de C. H. Pouthas, p. XVI.
7 Ch. de Rémusat, op. cit., vol. 1, p. 100.
8 Ibid., vol. 1, p. 101.
9 Ibid., vol. 1, p. 102.
10 Ibid., vol. 1, p. 125.
11 Ibid., vol. 1, p. 280.
12 Ibid., p. 281. Dans sa préface aux Récits des temps mérovingiens (Œuvres d’Augustin Thierry, Paris, Garnier, 1867, t. 7, p. 11-12), Augustin Thierry rapporte d’une façon très similaire son enthousiasme à la lecture des Martyrs de Chateaubriand, si différents de la vulgate de l’histoire nationale : « L’impression que fit sur moi le chant de guerre des Franks eut quelque chose d’électrique. Je quittais la place où j’étais assis et, marchant d’un bout à l’autre de la salle, je répétais à haute voix et en faisant sonner mes pas sur le pavé : “Pharamond ! Pharamond ! nous avons combattu avec l’épée”... »
13 Ibid., p. 282.
14 Ibid., p. 283.
15 Ibid., vol. 2, p. 148.
16 Alexandre Dumas, Mes Mémoires, 1851-1855, éd. 10-18, 1962, t. 1, chap. 14.
17 Ibid., p. 160-161.
18 D’Alton-Shée, Mes Mémoires, 1826-1848, Paris, 2e éd., 1869, p. 44.
19 Ibid., p. 53.
20 Vincent Robert, Le Temps des banquets, Politique et symbolique d’une génération (1818-1848), Paris, Publications de la Sorbonne, 2010, p. 65.
21 AN, F7/6920, Ille-et-Vilaine, lettre du préfet au ministre de l’Intérieur, 13 février 1822.
22 G. Flaubert, Correspondance, Paris, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1973, p. 492.
23 Arthur Ranc, Souvenirs, correspondance, 1831-1908, Paris, 1913, p. 69-70.
24 G. Flaubert, L’Éducation sentimentale, Paris, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1952, p. 334. Sénecal ouvre la séance par la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, puis un participant entonne une chanson de Béranger, d’autres protestent et demandent « La Casquette ».
25 Jean-Claude Caron, Générations romantiques, Paris, Colin, 1991, p. 165.
26 Ibid., p. 142.
27 Ibid., p. 286.
28 Henri Avenel, Chansons et Chansonniers, Paris, Marpon et Flammarion, s. d., p. 146-147.
29 Antoine de Latour, « Béranger, notice biographique », dans Le Correspondant, 1858, p. 454.
30 Scènes de cour et de cabaret, parades historiques, publié par T. C., Paris, Levavasseur, 1830, p. 24.
31 D’Alton-Shée, op. cit., p. 30.
32 Ibid., p. 36.
33 Ibid., p. 28-29.
34 Jules Simon, op. cit., p. 191.
35 J.-J. Coulmann, Réminiscences, Paris, Michel Lévy, 1862-1869, 3 vol. , vol. 1, chap. 16.
36 Ibid., chap. 21.
37 Mme P. de Saman, Les Enchantements de Prudence, Paris, Levy, 1873, p. 17.
38 Ibid., p. 25.
39 J.-J. Coulmann, op. cit., p. 192.
40 Ibid., p. 194.
41 Mémoires du peintre français Édouard Odier, Pierre Odier éd., rééd. Slatkine, 2006, p. 44.
42 Ibid., p. 47.
43 Ph. Darriulat, La Muse du peuple, Rennes, PUR, 2010, p. 232.
44 Ernest Lavisse, Souvenirs, Paris, Calmann-Lévy, 1988, p. 59.
45 Eugène Noël, Jules Michelet et ses enfants, 2e éd., 1878, p. 79-80.
46 Ibid., p. 81.
47 Ibid., p. 83. Il est logique que la jeune génération se charge d’introduire dans la vie familiale les nouveautés romantiques.
48 Ibid., p. 87.
49 Au début des années 1830, Michelet rédige des manuels d’histoire universelle et antique. En 1833, il commence son Histoire de France. En 1843, il l’interrompt et part en guerre, au Collège de France, contre les Jésuites. Il publie en 1845 Du prêtre, de la femme et de la famille, en 1846 Le Peuple, et se lance en 1847 dans l’Histoire de la Révolution.
50 E. Noël, op. cit., p. 80.
51 Henri Monnier, « Le Dîner bourgeois », dans Scènes populaires, Paris, 1835.
52 On sait que les poètes anglais ont joué un grand rôle dans la redécouverte du répertoire traditionnel dès le XVIIIe siècle, qu’il s’agisse de MacPherson ou de Burns par exemple.
53 Ernest Lavisse, Souvenirs, Paris, Calmann-Lévy, 1988, p. 46-49.
54 Ibid., p. 34.
55 La chanson date de 1837. Dans le passage du Journal de Juliette Drouet relatif au drame de Villequier, le 7 septembre 1843, elle mentionne deux fois cette chanson, la première fois interprétée par des femmes qui gardent de petits enfants et chantent en travaillant, la seconde par des chanteurs dans un café de La Rochelle, cf. Victor Hugo, Choses vues, éd. H. Juin, Gallimard, « Folio », 1972, p. 259-260.
56 Édouard Bled, Mes écoles, Paris, Robert Laffont, 1977, p. 176-178.
57 Remy de Gourmont, Promenades littéraires, Paris, 1913, p. 317.
58 Lamartine, Cours familier de littérature, t. 4, 1857, entretien no 22, p. 345.
59 Jules Vallès, Le Bachelier, Paris, 1876-1886, éd. Livre de poche, 1985, p. 113.
60 Gustave Flaubert, Madame Bovary, dans Œuvres, Paris, Gallimard, 1951, « Bibliothèque de la Pléiade », t. 1, p. 300.
61 Gustave Nadaud, Souvenirs et récits d’un vieux Roubaisien, Roubaix, 1892, p. 13 sq.
62 Ibid., p. 15.
63 Floris Roussel.
64 Jules Grimonprez chante « Le Vin de Bourgogne », Auguste Foliot « J’aime à boire ».
65 Pierre Parent chante « La Grosse Caisse du régiment ».
66 Benjamin Cuvru, porte-drapeau de la garde nationale, chante une chanson pour l’indépendance polonaise.
67 Un certain Désiré chante « à moi, guérilla des montagnes ! »
68 Cornille chante « La Mort de Bayard » (« vieille romance »), « Mais ne voyez-vous pas ma tante/Qu’il est temps de me marier », Édouard Debuchy « Belle maîtresse ».
69 Chanté par un certain Hector.
70 Chanté par Jules Grimonprez.
71 Hector, qui chante « Le Grenier » de Béranger, chante aussi des chansons de Nadaud.
72 Louis et Jules Cheval chantent des chansons de Bérat, « La Lisette de Béranger », mais aussi « Le Marchand d’images », « Le Chalet », c’est-à-dire du répertoire lyrique.
73 Cf. George Sand, Histoire de ma vie, Gallimard, « Quarto », 2004, p. 1172 sq.
74 Jules Vallès, Le Bachelier, L.G.F., 1985 (1879-1886), p. 299-300.
75 Jules Vallès, op. cit., p. 112-113.
76 Gustave Flaubert, Correspondance, choix et présentation de Bernard Masson, Paris, Gallimard, « Folio classique », 1998, lettre no 136.
77 Ibid., p. 609.
78 Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires, Paris, Hachette, 1962 (1822-1894), p. 63.
79 Soixante ans de la vie d’un peuple, Béranger, Paris, s. d.