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Le cinéma expressionniste

 | 
Jacques Aumont
, 
Bernard Benoliel

Table des matières

Jacques Aumont et Bernard Benoliel

Avant-propos

1. Prologue

Jacques Aumont

Où commence, où finit l’expressionnisme ?

En guise d’introduction
Quelques rappels historiques
L’expressionnisme et la France
Un cinéma expressionniste ?
Où commence l’expressionnisme ? où finit-il ?

2. Le Cinéma de Weimar

Frank Kessler

Existe-t-il une esthétique du cinéma expressionniste ?

I
II
III
Stylisation
Composition picturale
Effets de sens
IV
Érik Bullot

Éloge du caligarisme

Emmanuel Siety

Quel « isme » pour Murnau ?

Murnau naturaliste ?
Murnau « Naturphilosoph » : de Paracelse à Goethe et Schelling
Natura naturans ou l’universelle variation
Métamorphose des corps : constance de la métamorphose, renouveau des corps
François Albera

De Caligari à Hitler... et quelques autres

Cinéma et mentalité collective
Le cinéma « expressionniste » et le nazisme
L’expressionnisme, « révolte » ou « style national » ?
La foule « femelle »
Contrechamp : Kuhle Wampe

3. Exressionnisme D’ailleurs

Hervé Aubron

Un cri sans fin (L’expressionnisme, le sublime et nous)

Fin d’éclipse pour une vieille lune
Exprimer, fendre l’œil
Sublime de la reproduction : de Benjamin au postmoderne
Fendre l’écran (1) : Fassbinder
Fendre l’écran (2) : Eustache
Années quatre-vingts : le cri et le criard
Pornographie de l’expression
L’expressionnisme comme lyrisme : Demy, De Palma, Lynch
L’anesthésie et le réveil (Shyamalan)

4. Épilogue

Stéphane Bouquet

Un bain de soleil

 
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