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Le métier de gendarme au XIXe siècle

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Arnaud-Dominique Houte

Avant-propos

Texte intégral

1Ce livre est la version refondue d’une thèse de doctorat soutenue en décembre 2006 à l’université Paris-Sorbonne. Il s’agit donc d’un travail de longue haleine – et même un peu plus que cela, si l’on considère qu’il prolonge un mémoire de maîtrise préparé au siècle dernier : oserai-je avouer que j’ai classé mes premiers fichiers devant une mémorable finale de coupe du monde ? Autant dire que j’ai accumulé les dettes et qu’une courte page de remerciements ne suffira certainement pas à rendre justice à tous ceux qui m’ont aidé et entouré.

2L’usage veut que l’on rende d’abord hommage à ses maîtres : ils sont nombreux à m’avoir donné le goût de l’histoire, mais je voudrais saluer ceux qui m’ont poussé à présenter mes travaux et ceux qui les ont discutés – en particulier Jean-Marc Berlière, Jacques-Olivier Boudon, Jean-François Chanet, François Cochet et Olivier Forcade, qui m’ont offert leurs lectures suggestives et stimulantes lors de la soutenance. Ils ne m’en voudront pas d’accorder une place à part à Jean-Noël Luc, qui m’honore de sa confiance et qui est le directeur que je souhaite à tout thésard.

3Ces années de recherche ont été considérablement facilitées par le concours discret mais essentiel des archivistes et des bibliothécaires, mais aussi par le soutien constant du Centre de Recherches en Histoire du XIXe siècle (Paris I – Paris IV) et de l’université Paris-Sorbonne, qui ont contribué à la publication de cet ouvrage. Un mot également, dans un autre registre, pour mes étudiants : l’écoute qu’ils m’ont accordée a été essentielle – ils m’ont permis de comprendre le sens de ce travail, et ce livre leur doit beaucoup.

4Je renonce à rendre justice aux collègues et amis qui m’ont soutenu d’une manière ou d’une autre. Qu’il me soit toutefois permis de citer ceux qui ont relu et débattu tout ou partie de ce livre : Aurélia Dusserre, Johann Chapoutot, Pierre Karila-Cohen, Jean Le Bihan, Quentin Deluermoz, Aurélien Lignereux, Laurent Lopez.

5Et bien sûr Mathilde, qui connaît mieux que personne l’histoire de cet ouvrage et sans qui rien n’aurait été possible. Et puis Jeanne, et Adèle, dont les premiers pas successifs auront épargné les piles de feuillets amoncelés sur le bureau… Je voudrais dédier cet ouvrage à mon père, trop tôt disparu, et à ma mère, en témoignage de gratitude pour leur soutien inconditionnel.

Le texte et les autres éléments (illustrations, fichiers annexes importés) sont sous Licence OpenEdition Books, sauf mention contraire.

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